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Tout (10) ((10 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2018404
    Description :

    À l’aide des données de l’Enquête sur le financement et la croissance des petites et moyennes entreprises de 2011 et de 2014, on examine, dans le présent document, l’accès au financement des immigrants propriétaires d’entreprises. On y documente les principales sources de financement pour les petites et moyennes entreprises (PME) appartenant à des immigrants et pour celles appartenant à des Canadiens.

    Date de diffusion : 2018-06-18

  • Articles et rapports : 21-006-X2012001
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans les régions rurales et les petites villes, les travailleurs autonomes exploitent généralement de petites entreprises qui, pour la plupart, ne sont pas constituées en société. Ces petites entreprises autonomes offrent généralement d'importants services dans les régions rurales et les petites villes, qu'il s'agisse de magasins de marchandises diverses, de salons de coiffure, de services de plomberie ou d'installations électriques ou encore de cabinets de dentiste. Le présent bulletin renferme une analyse de l'importance relative de chacune de ces entreprises autonomes dans les régions rurales et les petites villes du Canada. Il présente un examen de la structure par âge des travailleurs autonomes visant à déterminer si on peut s'attendre à une hausse imminente des départs à la retraite au sein des travailleurs autonomes en milieu rural.

    Date de diffusion : 2012-07-12

  • Articles et rapports : 11-010-X200800410559
    Géographie : Canada
    Description :

    Malgré la turbulence sur les marchés financiers et un ralentissement aux États-Unis, la croissance a été remarquablement stable au Canada en 2007. Il s'agit de la conséquence de l'essor continu dans le secteur des ressources et de la poussée que le dollar canadien en hausse a exercée sur les dépenses au pays.

    Date de diffusion : 2008-04-10

  • Articles et rapports : 11F0027M2002003
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans cet article, on examine l'importance des petits producteurs dans les secteurs de la fabrication au Canada et aux États-Unis à partir du début des années 1970 jusque vers la fin des années 1990.

    Date de diffusion : 2002-05-23

  • Articles et rapports : 11F0019M1999133
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document met en évidence les faits récents survenus dans le secteur de l'emploi autonome au Canada et il analyse les rapports de l'emploi autonome avec le chômage et l'emploi à plein temps rémunéré. Il y a maintenant deux millions et demi de Canadiens qui exploitent leur propre entreprise et qui constituent 16,2 % de la population active totale et représentent 17,8 % de l'emploi total. Au cours des huit premières des années 1990, l'emploi autonome s'est accru en moyenne de 4,1 % par année et il a fourni plus de trois sur quatre des nouveaux emplois créés par l'économie. Les données concernant les entrées et les sorties, dans ce secteur de l'économie, montrent qu'il s'y produit des mouvements d'entrée et de sortie considérables. Les mouvements bruts d'entrée et de sortie, dans le secteur de l'emploi autonome, en tant que principale activité sur le marché du travail, se sont élevés en moyenne à près d'un demi-million par année, entre 1982 et 1994, et ont touché 42 % de la population totale des travailleurs autonomes.Les résultats de la modélisation à effets fixes montrent un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Cette conclusion reste vrai pour différentes sources de données, pour différentes période de temps, pour différentes mesures et définitions, pour différents échantillons empiriques et pour diverses techniques d'estimation. Il existe aussi un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre les sorties du secteur de l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Il semble qu'une foule de facteurs non cycliques expliquent l'essor récent de l'emploi autonome.

    Date de diffusion : 1999-04-27

  • Articles et rapports : 11F0019M1999134
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document i) examine l'envergure et la cyclicité du flux de création et de disparition des emplois autonomes; ii) explore les transitions liées à ces mouvements; iii) évalue l'incidence de caractéristiques individuelles et de l'expérience du marché du travail ainsi que de conditions macro-économiques sur la probabilité d'accéder au travail autonome ou de le quitter.

    Le secteur de l'emploi autonome regroupe aujourd'hui plus de deux millions et demi de travailleurs canadiens; il a augmenté en moyenne de plus de 4 % par année au cours de la présente décennie et représente plus de trois quarts des nouveaux emplois que l'économie crée. Il y a eu, au cours des 15 dernières années, un flux important de création et de disparition d'emplois autonomes. Ce flux brut était en moyenne de près de un demi-million par année entre 1982 et 1994, ce qui représentait 42 % du nombre total de travailleurs autonomes.

    Les résultats de la régression ne présentent aucune preuve statistique corroborant l'hypothèse de la pression plutôt que celle de l'attraction exercée; selon cette notion, la détérioration de l'économie contraint de plus en plus les gens à créer leur propre emploi. Cette analyse s'effectue à la fois au moyen d'une analyse des séries chronologiques et d'une analyse des déterminants des flux de création (et de disparition) d'emplois autonomes. Comme pour les emplois rémunérés, les Canadiens plus jeunes connaissent un roulement plus élevé lorsqu'ils occupent un emploi autonome. Ils sont plus susceptibles non seulement de créer un tel emploi, mais aussi, et de loin, de le quitter. L'expérience préalable d'un emploi rémunéré et d'un emploi autonome augmente dans les deux cas la probabilité de créer un travail autonome. Plus longtemps une personne occupe un travail autonome, moins elle est susceptible de le quitter. Si le conjoint est en affaires (occupant un emploi autonome), la possibilité que l'autre conjoint occupe à son tour un emploi autonome augmente sensiblement, car un conjoint travailleur autonome amène souvent l'autre à se joindre à l'entreprise familiale ou à démarrer sa propre entreprise. On constate également qu'un revenu familial stable provenant de l'emploi rémunéré du conjoint augmente la viabilité financière du travailleur autonome (l'autre conjoint) en lui permettant de poursuivre son entreprise, ce qui réduit la possibilité qu'il quitte son emploi autonome.

    Date de diffusion : 1999-03-22

  • Articles et rapports : 11F0019M1996093
    Géographie : Canada
    Description :

    La constatation statistique selon laquelle les petites entreprises ont créé la majorité des nouveaux emplois durant les années 80 a eu une incidence considérable sur les politiques gouvernementales. Pour encourager la croissance de l'emploi, les gouvernements se sont tournés vers les petites entreprises et ont adopté des politiques favorisant leur expansion. Il ressort toutefois de recherches menées récemment aux États-Unis qu'on a peut-être surestimé la création nette d' emplois dans les petites entreprises par rapport aux grandes entreprises. La première partie de la présente étude examine diverses questions soulevées dans des travaux de recherche récents relativement aux méthodes de mesure. On y réévalue la création d' emplois selon la taille des entreprises à l'aide d'un ensemble unique de données longitudinales sur toutes les sociétés canadiennes. On conclut qu'au cours de la période de 1978 à 1992, le taux de croissance nette et brute de l'emploi décroît de façon monotone lorsque la taille des entreprises augmente, quelle que soit la méthode utilisée pour déterminer la taille, et ce, pour l'ensemble de l'économie aussi bien que pour le secteur de la fabrication au Canada. Toutefois, le type de mesure utilisée à une certaine incidence, la différence entre les taux de croissance des petites et des grandes entreprises dépendant beaucoup des méthodes de mesure choisies. La première partie de l'étude fournit également des résultats concernant divers secteurs industriels et examine la croissance de l'emploi dans les petites et les grandes entreprises existantes (c.-à-d. à l'exclusion des entreprises nouvellement créées). On constate que la croissance de l'emploi est presque la même dans les petites et dans les grandes entreprises existantes. Enfin, on tente de prendre en compte l'aspect qualité du travail en fondant les calculs sur la répartition de la masse salariale plutôt que sur lesemplois. Il s'avère que les taux de croissance et de décroissance nette et brute de la masse salariale selon la taille des entreprises ne diffèrent que légèrement des taux de croissance et de décroissance de l'emploi pour les mêmes groupes de taille. La deuxième partie de l'étude analyse la concentration des créations et des pertes d'emplois à l'intérieur des divers groupes d'entreprises définis selon la taille. Cette question est pertinente car, si la croissance est fortement concentrée, le fait de savoir qu'une entreprise est de petite taille ne nous éclaire guère sur ses perspectives de croissance. La plupart des petites entreprises enregistreraient soit une progression relativement faible, soit un déclin, tandis qu'un petit nombre d'entre elles connaîtraient une vive expansion. Il est constaté que, dans tous les groupes de taille, les créations et les pertes d'emplois sont très concentrées dans un nombre relativement restreint d'entreprises, mais qu'elles sont plus nombreuses dans les petites et moyennes entreprises que dansles grandes. Enfin, on a tenté d'établir une corrélation entre les variations de l'emploi dans lesentreprises sur deux périodes de trois années. Il en ressort que le fait de savoir qu'une entreprise a été très performante (en nombre d'emploiss créés) pendant une période donnée n'a qu'une valeur limitée lorsqu'il s'agit de déterminer sa croissance durant la période suivante, et ce, tout particulièrement dans le cas des petites entreprises. Ces résultats indiquent que les entreprises qui prennent rapidement de l'expansion au cours d'une période seront remplacées dans une large mesure par d'autres entreprises durant la période suivante.

    Date de diffusion : 1997-07-17

  • Articles et rapports : 11F0019M1996088
    Géographie : Canada
    Description :

    Les petites entreprises sont souvent perçues comme le moteur de la croissance économique. Essentiellement, deux preuves empiriques sont avancées à l'appui de cette assertion : la première est que la création d'emploi est principalement le fait des petites entreprises; la seconde est que la part de l'emploi imputable aux petites entreprises a augmenté au cours des vingt dernières années. Ces deux arguments reposent sur un seul facteur : l'emploi. Le présent document a pour objet de déterminer si le changement d'instrument de mesure peut influer sur la perception du rôle des petites entreprises dans le processus de croissance économique.

    Dans la première section du document, l'emploi constitue l'unité de mesure pour évaluer l'importance des petites entreprises; cependant, la mesure brute de l'emploi est modifiée, de façon à ce qu'il soit tenu compte du fait que les salaires versés par les petites entreprises sont moins élevés que ceux versés par les grandes entreprises. On y examine également les éléments et données qui indiquent que les producteurs de plus petite taille dans le secteur manufacturier paient des salaires moins élevés que les grands producteurs, et que l'écart s'est creusé au fil des ans. Des taux salariaux relatifs sont ensuite utilisés pour faire l'évaluation de l'emploi, ce qui permet de démontrer que la performance des petits producteurs n'est pas meilleure que celle des grands producteurs sur le plan de la création d'emploi au cours des années 1970 et 1980 au Canada, une fois pris en compte l'écart entre les taux salariaux.

    Dans la deuxième section, la performance relative est évaluée en fonction de la productivité du travail et des extrants au lieu de l'emploi. Le document montre que, si la part des emplois que détiennent les petits producteurs a augmenté considérablement, leur part des extrants n'a presque pas progressé. Les petites entreprises ont perdu du terrain par rapport aux grandes sociétés pour ce qui est des salaires versés et de la productivité du travail. La part des emplois que détiennent les grands producteurs a diminué, tandis que leur part des extrants s'est maintenue, ce qui a eu pour conséquence une hausse spectaculaire de leur productivité relative du travail.

    Date de diffusion : 1996-09-24

  • Articles et rapports : 11F0019M1994070
    Géographie : Canada
    Description :

    On utilise ici les données sur le renouvellement des emplois pour comparer dans quelle mesure les créations d'emplois, les disparitions d'emplois et la variation nette diffèrent selon les petits et les grands établissements du secteur canadien de la fabrication. Plusieurs techniques servent à corriger le problème du retour à la moyenne qui, comme on l'a laissé entendre, pourrait se traduire par la conclusion erronée que les petits établissements créent un nombre disproportionné de nouveaux emplois. L'étude conclut que le nombre net de nouveaux emplois créés pour les petits établissements est plus élevé que celui des grands établissements lorsqu'on apporte ces corrections. L'étude compare aussi l'importance des petits et des grands établissements du secteur de la fabrication du Canada et des États-Unis. On sait que le secteur canadien de la fabrication se caractérise par une proportion plus élevée d'emplois dans les établissements plus petits, mais qu'il possède aussi un secteur des petits établissements dont l'importance relative augmente par rapport à celui des États-Unis.

    Date de diffusion : 1994-11-16

  • Articles et rapports : 11F0019M1994071
    Géographie : Canada
    Description :

    L'observation statistique selon laquelle les petites entreprises ont créé la majorité des nouveaux emplois au cours des années 1980 a eu une incidence énorme sur la politique officielle. Les gouvernements désireux de favoriser la croissance de l'emploi se sont tournés vers le secteur des petites entreprises et ont préconisé l'adoption de politiques visant à accroître l'expansion de ce secteur. Toutefois, selon des recherches récentes réalisées aux États-Unis, la création nette d'emplois dans le secteur des petites entreprises a peut-être été surestimée, par rapport à la création nette d'emplois dans les grandes entreprises. Le présent document aborde les diverses questions relatives aux méthodes de mesure utilisées, soulevées dans ces études récentes et, à l'aide d'un ensemble de données longitudinal unique qui porte sur toutes les entreprises de l'économie canadienne, réévalue la question de la création d'emplois selon la taille de l'entreprise. Nous concluons qu'au cours de la période allant de 1978 à 1992, pour l'ensemble de l'économie marchande au Canada comme pour le secteur manufacturier, il existe une relation monotone décroissante entre le taux de croissance (nette) de l'emploi et la taille des entreprises, et ce quelle que soit la méthode de mesure utilisée pour déterminer la taille des entreprises. Au secteur des petites entreprises correspond une part disproportionnée des gains bruts et des pertes brutes d'emplois et, après agrégation, une part disproportionnée de l'augmentation du nombre d'emplois au cours de la période. Toutefois, la méthode de mesure utilisée est importante, puisque l'importance de la différence dans les taux de croissance entre les petites et les grandes entreprises varie fortement selon la méthode de mesure utilisée. Nous présentons aussi les résultats observés pour divers secteurs d'activité et nous nous demandons si les résultats constatés pour l'ensemble de l'économie sont attribuables à la croissance plus rapide dans les secteurs comprenant une forte proportion de petites entreprises. En outre, nous examinons la croissance de l'emploi dans les petites et grandes entreprises existantes (c'est-à-dire en excluant les nouvelles entreprises) et constatons que la croissance de l'emploi pour l'ensemble des petites et grandes entreprises existantes est fort similaire.

    Date de diffusion : 1994-11-16
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Analyses (10)

Analyses (10) ((10 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2018404
    Description :

    À l’aide des données de l’Enquête sur le financement et la croissance des petites et moyennes entreprises de 2011 et de 2014, on examine, dans le présent document, l’accès au financement des immigrants propriétaires d’entreprises. On y documente les principales sources de financement pour les petites et moyennes entreprises (PME) appartenant à des immigrants et pour celles appartenant à des Canadiens.

    Date de diffusion : 2018-06-18

  • Articles et rapports : 21-006-X2012001
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans les régions rurales et les petites villes, les travailleurs autonomes exploitent généralement de petites entreprises qui, pour la plupart, ne sont pas constituées en société. Ces petites entreprises autonomes offrent généralement d'importants services dans les régions rurales et les petites villes, qu'il s'agisse de magasins de marchandises diverses, de salons de coiffure, de services de plomberie ou d'installations électriques ou encore de cabinets de dentiste. Le présent bulletin renferme une analyse de l'importance relative de chacune de ces entreprises autonomes dans les régions rurales et les petites villes du Canada. Il présente un examen de la structure par âge des travailleurs autonomes visant à déterminer si on peut s'attendre à une hausse imminente des départs à la retraite au sein des travailleurs autonomes en milieu rural.

    Date de diffusion : 2012-07-12

  • Articles et rapports : 11-010-X200800410559
    Géographie : Canada
    Description :

    Malgré la turbulence sur les marchés financiers et un ralentissement aux États-Unis, la croissance a été remarquablement stable au Canada en 2007. Il s'agit de la conséquence de l'essor continu dans le secteur des ressources et de la poussée que le dollar canadien en hausse a exercée sur les dépenses au pays.

    Date de diffusion : 2008-04-10

  • Articles et rapports : 11F0027M2002003
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans cet article, on examine l'importance des petits producteurs dans les secteurs de la fabrication au Canada et aux États-Unis à partir du début des années 1970 jusque vers la fin des années 1990.

    Date de diffusion : 2002-05-23

  • Articles et rapports : 11F0019M1999133
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document met en évidence les faits récents survenus dans le secteur de l'emploi autonome au Canada et il analyse les rapports de l'emploi autonome avec le chômage et l'emploi à plein temps rémunéré. Il y a maintenant deux millions et demi de Canadiens qui exploitent leur propre entreprise et qui constituent 16,2 % de la population active totale et représentent 17,8 % de l'emploi total. Au cours des huit premières des années 1990, l'emploi autonome s'est accru en moyenne de 4,1 % par année et il a fourni plus de trois sur quatre des nouveaux emplois créés par l'économie. Les données concernant les entrées et les sorties, dans ce secteur de l'économie, montrent qu'il s'y produit des mouvements d'entrée et de sortie considérables. Les mouvements bruts d'entrée et de sortie, dans le secteur de l'emploi autonome, en tant que principale activité sur le marché du travail, se sont élevés en moyenne à près d'un demi-million par année, entre 1982 et 1994, et ont touché 42 % de la population totale des travailleurs autonomes.Les résultats de la modélisation à effets fixes montrent un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Cette conclusion reste vrai pour différentes sources de données, pour différentes période de temps, pour différentes mesures et définitions, pour différents échantillons empiriques et pour diverses techniques d'estimation. Il existe aussi un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre les sorties du secteur de l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Il semble qu'une foule de facteurs non cycliques expliquent l'essor récent de l'emploi autonome.

    Date de diffusion : 1999-04-27

  • Articles et rapports : 11F0019M1999134
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document i) examine l'envergure et la cyclicité du flux de création et de disparition des emplois autonomes; ii) explore les transitions liées à ces mouvements; iii) évalue l'incidence de caractéristiques individuelles et de l'expérience du marché du travail ainsi que de conditions macro-économiques sur la probabilité d'accéder au travail autonome ou de le quitter.

    Le secteur de l'emploi autonome regroupe aujourd'hui plus de deux millions et demi de travailleurs canadiens; il a augmenté en moyenne de plus de 4 % par année au cours de la présente décennie et représente plus de trois quarts des nouveaux emplois que l'économie crée. Il y a eu, au cours des 15 dernières années, un flux important de création et de disparition d'emplois autonomes. Ce flux brut était en moyenne de près de un demi-million par année entre 1982 et 1994, ce qui représentait 42 % du nombre total de travailleurs autonomes.

    Les résultats de la régression ne présentent aucune preuve statistique corroborant l'hypothèse de la pression plutôt que celle de l'attraction exercée; selon cette notion, la détérioration de l'économie contraint de plus en plus les gens à créer leur propre emploi. Cette analyse s'effectue à la fois au moyen d'une analyse des séries chronologiques et d'une analyse des déterminants des flux de création (et de disparition) d'emplois autonomes. Comme pour les emplois rémunérés, les Canadiens plus jeunes connaissent un roulement plus élevé lorsqu'ils occupent un emploi autonome. Ils sont plus susceptibles non seulement de créer un tel emploi, mais aussi, et de loin, de le quitter. L'expérience préalable d'un emploi rémunéré et d'un emploi autonome augmente dans les deux cas la probabilité de créer un travail autonome. Plus longtemps une personne occupe un travail autonome, moins elle est susceptible de le quitter. Si le conjoint est en affaires (occupant un emploi autonome), la possibilité que l'autre conjoint occupe à son tour un emploi autonome augmente sensiblement, car un conjoint travailleur autonome amène souvent l'autre à se joindre à l'entreprise familiale ou à démarrer sa propre entreprise. On constate également qu'un revenu familial stable provenant de l'emploi rémunéré du conjoint augmente la viabilité financière du travailleur autonome (l'autre conjoint) en lui permettant de poursuivre son entreprise, ce qui réduit la possibilité qu'il quitte son emploi autonome.

    Date de diffusion : 1999-03-22

  • Articles et rapports : 11F0019M1996093
    Géographie : Canada
    Description :

    La constatation statistique selon laquelle les petites entreprises ont créé la majorité des nouveaux emplois durant les années 80 a eu une incidence considérable sur les politiques gouvernementales. Pour encourager la croissance de l'emploi, les gouvernements se sont tournés vers les petites entreprises et ont adopté des politiques favorisant leur expansion. Il ressort toutefois de recherches menées récemment aux États-Unis qu'on a peut-être surestimé la création nette d' emplois dans les petites entreprises par rapport aux grandes entreprises. La première partie de la présente étude examine diverses questions soulevées dans des travaux de recherche récents relativement aux méthodes de mesure. On y réévalue la création d' emplois selon la taille des entreprises à l'aide d'un ensemble unique de données longitudinales sur toutes les sociétés canadiennes. On conclut qu'au cours de la période de 1978 à 1992, le taux de croissance nette et brute de l'emploi décroît de façon monotone lorsque la taille des entreprises augmente, quelle que soit la méthode utilisée pour déterminer la taille, et ce, pour l'ensemble de l'économie aussi bien que pour le secteur de la fabrication au Canada. Toutefois, le type de mesure utilisée à une certaine incidence, la différence entre les taux de croissance des petites et des grandes entreprises dépendant beaucoup des méthodes de mesure choisies. La première partie de l'étude fournit également des résultats concernant divers secteurs industriels et examine la croissance de l'emploi dans les petites et les grandes entreprises existantes (c.-à-d. à l'exclusion des entreprises nouvellement créées). On constate que la croissance de l'emploi est presque la même dans les petites et dans les grandes entreprises existantes. Enfin, on tente de prendre en compte l'aspect qualité du travail en fondant les calculs sur la répartition de la masse salariale plutôt que sur lesemplois. Il s'avère que les taux de croissance et de décroissance nette et brute de la masse salariale selon la taille des entreprises ne diffèrent que légèrement des taux de croissance et de décroissance de l'emploi pour les mêmes groupes de taille. La deuxième partie de l'étude analyse la concentration des créations et des pertes d'emplois à l'intérieur des divers groupes d'entreprises définis selon la taille. Cette question est pertinente car, si la croissance est fortement concentrée, le fait de savoir qu'une entreprise est de petite taille ne nous éclaire guère sur ses perspectives de croissance. La plupart des petites entreprises enregistreraient soit une progression relativement faible, soit un déclin, tandis qu'un petit nombre d'entre elles connaîtraient une vive expansion. Il est constaté que, dans tous les groupes de taille, les créations et les pertes d'emplois sont très concentrées dans un nombre relativement restreint d'entreprises, mais qu'elles sont plus nombreuses dans les petites et moyennes entreprises que dansles grandes. Enfin, on a tenté d'établir une corrélation entre les variations de l'emploi dans lesentreprises sur deux périodes de trois années. Il en ressort que le fait de savoir qu'une entreprise a été très performante (en nombre d'emploiss créés) pendant une période donnée n'a qu'une valeur limitée lorsqu'il s'agit de déterminer sa croissance durant la période suivante, et ce, tout particulièrement dans le cas des petites entreprises. Ces résultats indiquent que les entreprises qui prennent rapidement de l'expansion au cours d'une période seront remplacées dans une large mesure par d'autres entreprises durant la période suivante.

    Date de diffusion : 1997-07-17

  • Articles et rapports : 11F0019M1996088
    Géographie : Canada
    Description :

    Les petites entreprises sont souvent perçues comme le moteur de la croissance économique. Essentiellement, deux preuves empiriques sont avancées à l'appui de cette assertion : la première est que la création d'emploi est principalement le fait des petites entreprises; la seconde est que la part de l'emploi imputable aux petites entreprises a augmenté au cours des vingt dernières années. Ces deux arguments reposent sur un seul facteur : l'emploi. Le présent document a pour objet de déterminer si le changement d'instrument de mesure peut influer sur la perception du rôle des petites entreprises dans le processus de croissance économique.

    Dans la première section du document, l'emploi constitue l'unité de mesure pour évaluer l'importance des petites entreprises; cependant, la mesure brute de l'emploi est modifiée, de façon à ce qu'il soit tenu compte du fait que les salaires versés par les petites entreprises sont moins élevés que ceux versés par les grandes entreprises. On y examine également les éléments et données qui indiquent que les producteurs de plus petite taille dans le secteur manufacturier paient des salaires moins élevés que les grands producteurs, et que l'écart s'est creusé au fil des ans. Des taux salariaux relatifs sont ensuite utilisés pour faire l'évaluation de l'emploi, ce qui permet de démontrer que la performance des petits producteurs n'est pas meilleure que celle des grands producteurs sur le plan de la création d'emploi au cours des années 1970 et 1980 au Canada, une fois pris en compte l'écart entre les taux salariaux.

    Dans la deuxième section, la performance relative est évaluée en fonction de la productivité du travail et des extrants au lieu de l'emploi. Le document montre que, si la part des emplois que détiennent les petits producteurs a augmenté considérablement, leur part des extrants n'a presque pas progressé. Les petites entreprises ont perdu du terrain par rapport aux grandes sociétés pour ce qui est des salaires versés et de la productivité du travail. La part des emplois que détiennent les grands producteurs a diminué, tandis que leur part des extrants s'est maintenue, ce qui a eu pour conséquence une hausse spectaculaire de leur productivité relative du travail.

    Date de diffusion : 1996-09-24

  • Articles et rapports : 11F0019M1994070
    Géographie : Canada
    Description :

    On utilise ici les données sur le renouvellement des emplois pour comparer dans quelle mesure les créations d'emplois, les disparitions d'emplois et la variation nette diffèrent selon les petits et les grands établissements du secteur canadien de la fabrication. Plusieurs techniques servent à corriger le problème du retour à la moyenne qui, comme on l'a laissé entendre, pourrait se traduire par la conclusion erronée que les petits établissements créent un nombre disproportionné de nouveaux emplois. L'étude conclut que le nombre net de nouveaux emplois créés pour les petits établissements est plus élevé que celui des grands établissements lorsqu'on apporte ces corrections. L'étude compare aussi l'importance des petits et des grands établissements du secteur de la fabrication du Canada et des États-Unis. On sait que le secteur canadien de la fabrication se caractérise par une proportion plus élevée d'emplois dans les établissements plus petits, mais qu'il possède aussi un secteur des petits établissements dont l'importance relative augmente par rapport à celui des États-Unis.

    Date de diffusion : 1994-11-16

  • Articles et rapports : 11F0019M1994071
    Géographie : Canada
    Description :

    L'observation statistique selon laquelle les petites entreprises ont créé la majorité des nouveaux emplois au cours des années 1980 a eu une incidence énorme sur la politique officielle. Les gouvernements désireux de favoriser la croissance de l'emploi se sont tournés vers le secteur des petites entreprises et ont préconisé l'adoption de politiques visant à accroître l'expansion de ce secteur. Toutefois, selon des recherches récentes réalisées aux États-Unis, la création nette d'emplois dans le secteur des petites entreprises a peut-être été surestimée, par rapport à la création nette d'emplois dans les grandes entreprises. Le présent document aborde les diverses questions relatives aux méthodes de mesure utilisées, soulevées dans ces études récentes et, à l'aide d'un ensemble de données longitudinal unique qui porte sur toutes les entreprises de l'économie canadienne, réévalue la question de la création d'emplois selon la taille de l'entreprise. Nous concluons qu'au cours de la période allant de 1978 à 1992, pour l'ensemble de l'économie marchande au Canada comme pour le secteur manufacturier, il existe une relation monotone décroissante entre le taux de croissance (nette) de l'emploi et la taille des entreprises, et ce quelle que soit la méthode de mesure utilisée pour déterminer la taille des entreprises. Au secteur des petites entreprises correspond une part disproportionnée des gains bruts et des pertes brutes d'emplois et, après agrégation, une part disproportionnée de l'augmentation du nombre d'emplois au cours de la période. Toutefois, la méthode de mesure utilisée est importante, puisque l'importance de la différence dans les taux de croissance entre les petites et les grandes entreprises varie fortement selon la méthode de mesure utilisée. Nous présentons aussi les résultats observés pour divers secteurs d'activité et nous nous demandons si les résultats constatés pour l'ensemble de l'économie sont attribuables à la croissance plus rapide dans les secteurs comprenant une forte proportion de petites entreprises. En outre, nous examinons la croissance de l'emploi dans les petites et grandes entreprises existantes (c'est-à-dire en excluant les nouvelles entreprises) et constatons que la croissance de l'emploi pour l'ensemble des petites et grandes entreprises existantes est fort similaire.

    Date de diffusion : 1994-11-16
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