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Tout (5) ((5 résultats))

  • Articles et rapports : 91F0015M2007008
    Géographie : Canada
    Description :

    Si la faible fécondité, le vieillissement, l'immigration, la croissance démographique et la diversité ethnoculturelle sont tous des phénomènes qui permettent une description juste de la population du Canada dans son ensemble, ils ne sauraient cependant servir à qualifier également les milieux urbains et les milieux ruraux. Le rythme et les sources de leur croissance respective diffèrent parfois de façon très importante, suggérant que la situation observable à l'échelle canadienne résulte en fait de l'agrégation de démographies distinctes, variables d'un type de région à l'autre.

    L'objectif de cet article est de documenter les différences démographiques qui séparent les unes des autres les régions urbaines et rurales du Canada en classant ces régions selon un continuum qui va des plus grandes régions métropolitaines aux milieux les plus ruraux. En appliquant aux données des recensements de 1971 à 2001 une structure géographique qui maintient les frontières constantes d'une période à l'autre, les auteurs analysent la croissance démographique de huit types de régions urbaines et rurales, la contribution de l'immigration, de la migration interne et de la fécondité à leur croissance différentielle, de même que les conséquences en terme de vieillissement et de diversité ethnoculturelle des différences démographiques observées.

    L'étude montre que la croissance se concentre dans les plus grandes régions métropolitaines du pays de même que dans les régions rurales sur lesquelles elles exercent une forte influence et qu'ailleurs, la croissance est de moins en moins forte à mesure que le degré de ruralité augmente. La migration interne semble avoir largement contribué à cette croissance différentielle, les régions les plus urbanisées - exception faite de Montréal, Toronto, et de Vancouver - ayant enregistré d'importants gains par voie de migration interne de même qu'une forte croissance démographique. Ce fut également le cas des régions rurales qui subissent une forte influence métropolitaine. Les plus rurales des régions ont de leur côté connu une faible croissance, voire une décroissance démographique, malgré une fécondité supérieure à celle des autres régions. La forte croissance de la population des trois plus grandes régions métropolitaines du Canada - Montréal, Toronto et Vancouver - a de son côté été largement tributaire des arrivées nombreuses d'immigrants qui ont décidé d'y élire résidence. La concentration des nouveaux arrivants dans ces régions a eu pour conséquence d'accroître l'écart qui les sépare du reste du pays en matière de diversité ethnoculturelle.

    Date de diffusion : 2007-04-26

  • Articles et rapports : 21-601-M2002055
    Description :

    Dans ce document, on examine l'immigration dans les régions rurales et petites villes (RRPV) au Canada et l'émigration de celles-ci, afin de mieux comprendre la contribution des migrations sur la population des RRPV. L'examen porte également sur les caractéristiques des personnes de 15 ans et plus qui déménagent.

    Date de diffusion : 2002-09-11

  • Articles et rapports : 21-006-X2001006
    Géographie : Canada
    Description :

    La migration interne est un sujet de préoccupation dans les régions rurales et les petites villes (RRPV) du Canada, car le développement rural est un phénomène avant tout démographique. Jusqu'à maintenant, les tendances migratoires et leur incidence sur les RRPV ont fait l'objet de peu d'analyses. En vue de mieux comprendre l'apport des migrants internes aux RRPV, le présent rapport sert à documenter l'immigration interne dans les RRPV du Canada et l'émigration interne de celles-ci. L'examen porte plus précisément sur les caractéristiques des personnes de 15 ans et plus qui déménagent et, particulièrement, sur leur capital humain. En outre, les caractéristiques des jeunes qui migrent sont analysées, étant donné que la jeunesse peut être perçue comme un indicateur de la situation des régions rurales et que les jeunes sont un facteur important du développement rural. La compréhension des tendances migratoires pourrait aider à cerner des solutions permettant de garder le capital humain dans les RRPV et de favoriser le développement rural.

    Date de diffusion : 2002-03-01

  • Articles et rapports : 11F0019M2000152
    Géographie : Canada
    Description :

    La déperdition des jeunes des collectivités rurales cause depuis un bon moment déjà bien des inquiétudes. On pense généralement que la plupart des collectivités rurales offrent peu de possibilités à leurs jeunes, ce qui les oblige à partir vers les villes, vraisemblablement pour toujours. Même s'il existe un corpus de recherche considérable sur la migration interprovinciale, on sait assez peu de choses des modèles de migration entre les régions rurales et urbaines du Canada.

    D'après notre analyse, les jeunes de 15 à 19 ans de presque toutes les provinces quittent en plus grand nombre les régions rurales que les régions urbaines, en partie pour poursuivre des études post-secondaires. Les modèles de migration sont plus complexes pour le groupe des 20 à 29 ans, mais toute la migration a pour résultat net que les provinces de l'Atlantique, tout comme le Manitoba et la Saskatchewan, enregistrent des pertes nettes de leur population rurale de 15 à 29 ans. Le problème est particulièrement aigu à Terre-Neuve. Les régions rurales des provinces de l'Atlantique qui obtiennent des résultats inférieurs à la moyenne nationale, en termes de gains nets de la population de jeunes, enregistrent ces pertes non pas parce qu'elles perdent une proportion de jeunes plus élevée que la moyenne nationale, mais parce qu'elles ne parviennent pas à attirer assez de jeunes personnes à venir vivre chez elles.

    Tout au plus 25 % des personnes qui quittent leur collectivité rurale y reviennent dix ans plus tard. L'effet de ce résultat est clair : on ne peut pas compter sur la migration de retour pour préserver la taille de la population d'une cohorte donnée. Les régions rurales doivent plutôt compter sur les arrivants d'autres régions (urbaines) pour atteindre cet objectif. Certaines collectivités rurales y parviennent, c'est-à-dire qu'elles enregistrent une migration d'entrée nette positive des individus de 25 à 29 ans ou plus, même si elles enregistrent une perte nette pour les plus jeunes.

    Ceux qui quittent les régions rurales connaissent généralement une croissance de leurs revenus supérieure à celle de ceux qui restent. La question suivante sur le sens dans lequel joue le rapport de causalité reste cependant sans réponse : le processus de migration lui-même entraîne-t-il une croissance des gains supérieure ou reflète-t-il la possibilité que ceux dont le potentiel de croissance des gains est supérieur ont plus tendance à partir?

    Date de diffusion : 2000-09-05

  • Articles et rapports : 91-209-X19970004871
    Géographie : Canada
    Description :

    Au cours du siècle qui s'achève, la structure de la population canadienne s'est modifiée principalement sous l'effet de la lente baisse de la fécondité, donnant à la pyramide des âges une base de plus en plus étroite et alourdissant du même coup le sommet. Cette évolution presque régulière fut interrompue pendant vingt ans par le phénomène encore inexpliqué du baby-boom. De 1946 à 1965 fécondité et natalité retrouvèrent des niveaux que l'on pensait à jamais perdus, suscitant la fameuse explosion des naissances.

    Date de diffusion : 1998-06-24
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Analyses (5)

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  • Articles et rapports : 91F0015M2007008
    Géographie : Canada
    Description :

    Si la faible fécondité, le vieillissement, l'immigration, la croissance démographique et la diversité ethnoculturelle sont tous des phénomènes qui permettent une description juste de la population du Canada dans son ensemble, ils ne sauraient cependant servir à qualifier également les milieux urbains et les milieux ruraux. Le rythme et les sources de leur croissance respective diffèrent parfois de façon très importante, suggérant que la situation observable à l'échelle canadienne résulte en fait de l'agrégation de démographies distinctes, variables d'un type de région à l'autre.

    L'objectif de cet article est de documenter les différences démographiques qui séparent les unes des autres les régions urbaines et rurales du Canada en classant ces régions selon un continuum qui va des plus grandes régions métropolitaines aux milieux les plus ruraux. En appliquant aux données des recensements de 1971 à 2001 une structure géographique qui maintient les frontières constantes d'une période à l'autre, les auteurs analysent la croissance démographique de huit types de régions urbaines et rurales, la contribution de l'immigration, de la migration interne et de la fécondité à leur croissance différentielle, de même que les conséquences en terme de vieillissement et de diversité ethnoculturelle des différences démographiques observées.

    L'étude montre que la croissance se concentre dans les plus grandes régions métropolitaines du pays de même que dans les régions rurales sur lesquelles elles exercent une forte influence et qu'ailleurs, la croissance est de moins en moins forte à mesure que le degré de ruralité augmente. La migration interne semble avoir largement contribué à cette croissance différentielle, les régions les plus urbanisées - exception faite de Montréal, Toronto, et de Vancouver - ayant enregistré d'importants gains par voie de migration interne de même qu'une forte croissance démographique. Ce fut également le cas des régions rurales qui subissent une forte influence métropolitaine. Les plus rurales des régions ont de leur côté connu une faible croissance, voire une décroissance démographique, malgré une fécondité supérieure à celle des autres régions. La forte croissance de la population des trois plus grandes régions métropolitaines du Canada - Montréal, Toronto et Vancouver - a de son côté été largement tributaire des arrivées nombreuses d'immigrants qui ont décidé d'y élire résidence. La concentration des nouveaux arrivants dans ces régions a eu pour conséquence d'accroître l'écart qui les sépare du reste du pays en matière de diversité ethnoculturelle.

    Date de diffusion : 2007-04-26

  • Articles et rapports : 21-601-M2002055
    Description :

    Dans ce document, on examine l'immigration dans les régions rurales et petites villes (RRPV) au Canada et l'émigration de celles-ci, afin de mieux comprendre la contribution des migrations sur la population des RRPV. L'examen porte également sur les caractéristiques des personnes de 15 ans et plus qui déménagent.

    Date de diffusion : 2002-09-11

  • Articles et rapports : 21-006-X2001006
    Géographie : Canada
    Description :

    La migration interne est un sujet de préoccupation dans les régions rurales et les petites villes (RRPV) du Canada, car le développement rural est un phénomène avant tout démographique. Jusqu'à maintenant, les tendances migratoires et leur incidence sur les RRPV ont fait l'objet de peu d'analyses. En vue de mieux comprendre l'apport des migrants internes aux RRPV, le présent rapport sert à documenter l'immigration interne dans les RRPV du Canada et l'émigration interne de celles-ci. L'examen porte plus précisément sur les caractéristiques des personnes de 15 ans et plus qui déménagent et, particulièrement, sur leur capital humain. En outre, les caractéristiques des jeunes qui migrent sont analysées, étant donné que la jeunesse peut être perçue comme un indicateur de la situation des régions rurales et que les jeunes sont un facteur important du développement rural. La compréhension des tendances migratoires pourrait aider à cerner des solutions permettant de garder le capital humain dans les RRPV et de favoriser le développement rural.

    Date de diffusion : 2002-03-01

  • Articles et rapports : 11F0019M2000152
    Géographie : Canada
    Description :

    La déperdition des jeunes des collectivités rurales cause depuis un bon moment déjà bien des inquiétudes. On pense généralement que la plupart des collectivités rurales offrent peu de possibilités à leurs jeunes, ce qui les oblige à partir vers les villes, vraisemblablement pour toujours. Même s'il existe un corpus de recherche considérable sur la migration interprovinciale, on sait assez peu de choses des modèles de migration entre les régions rurales et urbaines du Canada.

    D'après notre analyse, les jeunes de 15 à 19 ans de presque toutes les provinces quittent en plus grand nombre les régions rurales que les régions urbaines, en partie pour poursuivre des études post-secondaires. Les modèles de migration sont plus complexes pour le groupe des 20 à 29 ans, mais toute la migration a pour résultat net que les provinces de l'Atlantique, tout comme le Manitoba et la Saskatchewan, enregistrent des pertes nettes de leur population rurale de 15 à 29 ans. Le problème est particulièrement aigu à Terre-Neuve. Les régions rurales des provinces de l'Atlantique qui obtiennent des résultats inférieurs à la moyenne nationale, en termes de gains nets de la population de jeunes, enregistrent ces pertes non pas parce qu'elles perdent une proportion de jeunes plus élevée que la moyenne nationale, mais parce qu'elles ne parviennent pas à attirer assez de jeunes personnes à venir vivre chez elles.

    Tout au plus 25 % des personnes qui quittent leur collectivité rurale y reviennent dix ans plus tard. L'effet de ce résultat est clair : on ne peut pas compter sur la migration de retour pour préserver la taille de la population d'une cohorte donnée. Les régions rurales doivent plutôt compter sur les arrivants d'autres régions (urbaines) pour atteindre cet objectif. Certaines collectivités rurales y parviennent, c'est-à-dire qu'elles enregistrent une migration d'entrée nette positive des individus de 25 à 29 ans ou plus, même si elles enregistrent une perte nette pour les plus jeunes.

    Ceux qui quittent les régions rurales connaissent généralement une croissance de leurs revenus supérieure à celle de ceux qui restent. La question suivante sur le sens dans lequel joue le rapport de causalité reste cependant sans réponse : le processus de migration lui-même entraîne-t-il une croissance des gains supérieure ou reflète-t-il la possibilité que ceux dont le potentiel de croissance des gains est supérieur ont plus tendance à partir?

    Date de diffusion : 2000-09-05

  • Articles et rapports : 91-209-X19970004871
    Géographie : Canada
    Description :

    Au cours du siècle qui s'achève, la structure de la population canadienne s'est modifiée principalement sous l'effet de la lente baisse de la fécondité, donnant à la pyramide des âges une base de plus en plus étroite et alourdissant du même coup le sommet. Cette évolution presque régulière fut interrompue pendant vingt ans par le phénomène encore inexpliqué du baby-boom. De 1946 à 1965 fécondité et natalité retrouvèrent des niveaux que l'on pensait à jamais perdus, suscitant la fameuse explosion des naissances.

    Date de diffusion : 1998-06-24
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