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  • Articles et rapports : 11F0019M2002189
    Géographie : Canada
    Description :

    Pour comprendre l'importance du processus dynamique d'entrée dans l'économie canadienne, il faut en mesurer l'étendue. Ce document vise principalement à résumer l'information dont nous disposons sur l'envergure de l'entrée dans l'économie du Canada.

    Ce document vise également un second but. Certaines études ont été axées sur des comparaisons entre pays (Geroski et Schwalbach, 1991; Organisation de coopération et de développement économiques, 2001). Il n'est pas facile d'interpréter les résultats de ces études à moins d'aborder les questions méthodologiques qui se rattachent à la façon de mesurer l'entrée dans l'économie. Il est également difficile d'évaluer des comparaisons à l'échelle internationale si l'on ne comprend pas à quel point les différentes bases de données produisent des résultats distincts. Les comparaisons entre pays établies à partir de sources de données extrêmement différentes peuvent être trompeuses en raison de leur manque de comparabilité.

    Bien qu'il existe plus d'une base de données fiable pouvant servir à estimer l'entrée dans l'économie canadienne, nous nous demandons, dans ce document, à quel point les taux d'entrée mesurés varient d'une base de données à une autre. En examinant l'écart entre les taux d'entrée produits par ces bases, nous fournissons une estimation de la plage ou de l'intervalle de confiance qu'il faudrait utiliser pour savoir s'il existe, d'un pays à un autre, des différences réelles entre les taux d'entrée mesurés. Ce document vise aussi à guider le lecteur afin qu'il sache quelles questions il y aurait lieu de poser au sujet des bases de données utilisées par les chercheurs qui effectuent des études internationales. Enfin, on y trouve des suggestions quant aux domaines de comparaison sur lesquels les études internationales devraient porter.

    Date de diffusion : 2002-05-29

  • Articles et rapports : 11F0019M2001173
    Géographie : Canada
    Description :

    Nous examinons dans le présent document, à l'aide de données d'enquête, les problèmes auxquels font face les entreprises du secteur canadien de la fabrication lorsqu'elles décident d'adopter des technologies de pointe. Les données montrent que l'utilisation des technologies de pointe est relativement importante (leurs utilisateurs représentant plus de 80 % de toutes les livraisons), mais que leur emploi n'est pas répandu dans les entreprises (leurs utilisateurs ne constituant qu'environ le tiers de tous les établissements). Cette situation vient notamment du fait que les technologies de pointe offrent une vaste gamme d'avantages, mais que les entreprises sont également confrontées à une série d'entraves, des problèmes qui les empêchent d'adopter ces technologies. Ces entraves s'inscrivent à l'intérieur de cinq groupes : les problèmes liés aux coûts, les problèmes liés au cadre institutionnel, les problèmes en matière de main-d'oeuvre, les problèmes liés à la structure organisationnelle et les problèmes en matière d'information.

    Même si l'on pourrait s'attendre à ce que les entraves soient plus grandes pour les non-utilisateurs que pour les utilisateurs des technologies de pointe, c'est le contraire qui se produit. Nous postulons qu'il en est ainsi parce que l'innovation suppose un processus d'apprentissage. Les innovateurs et les utilisateurs des technologies de pointe font face à des problèmes qu'ils doivent régler et les entreprises plus innovatrices ont des plus gros problèmes. Nous vérifions ce postulat en examinant les facteurs liés au fait qu'une entreprise signale ou ne signale pas qu'elle a fait face à des entraves. Notre analyse multidimensionnelle révèle que les utilisateurs des technologies de pointe et que les entreprises qui innovent signalent plus souvent des entraves que les non-utilisateurs de ces technologies et que les entreprises qui n'innovent pas. Nous concluons qu'il ne faudrait pas interpréter l'information sur les entraves dans les rapports des enquêtes sur la technologie et d'autres enquêtes connexes (sur l'innovation) comme des obstacles infranchissables qui empêchent les entreprises d'adopter des technologies. Ces enquêtes indiquent plutôt les domaines où les entreprises qui connaissent le succès font face à des problèmes et les règlent.

    Date de diffusion : 2001-09-21
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Analyses (2)

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  • Articles et rapports : 11F0019M2002189
    Géographie : Canada
    Description :

    Pour comprendre l'importance du processus dynamique d'entrée dans l'économie canadienne, il faut en mesurer l'étendue. Ce document vise principalement à résumer l'information dont nous disposons sur l'envergure de l'entrée dans l'économie du Canada.

    Ce document vise également un second but. Certaines études ont été axées sur des comparaisons entre pays (Geroski et Schwalbach, 1991; Organisation de coopération et de développement économiques, 2001). Il n'est pas facile d'interpréter les résultats de ces études à moins d'aborder les questions méthodologiques qui se rattachent à la façon de mesurer l'entrée dans l'économie. Il est également difficile d'évaluer des comparaisons à l'échelle internationale si l'on ne comprend pas à quel point les différentes bases de données produisent des résultats distincts. Les comparaisons entre pays établies à partir de sources de données extrêmement différentes peuvent être trompeuses en raison de leur manque de comparabilité.

    Bien qu'il existe plus d'une base de données fiable pouvant servir à estimer l'entrée dans l'économie canadienne, nous nous demandons, dans ce document, à quel point les taux d'entrée mesurés varient d'une base de données à une autre. En examinant l'écart entre les taux d'entrée produits par ces bases, nous fournissons une estimation de la plage ou de l'intervalle de confiance qu'il faudrait utiliser pour savoir s'il existe, d'un pays à un autre, des différences réelles entre les taux d'entrée mesurés. Ce document vise aussi à guider le lecteur afin qu'il sache quelles questions il y aurait lieu de poser au sujet des bases de données utilisées par les chercheurs qui effectuent des études internationales. Enfin, on y trouve des suggestions quant aux domaines de comparaison sur lesquels les études internationales devraient porter.

    Date de diffusion : 2002-05-29

  • Articles et rapports : 11F0019M2001173
    Géographie : Canada
    Description :

    Nous examinons dans le présent document, à l'aide de données d'enquête, les problèmes auxquels font face les entreprises du secteur canadien de la fabrication lorsqu'elles décident d'adopter des technologies de pointe. Les données montrent que l'utilisation des technologies de pointe est relativement importante (leurs utilisateurs représentant plus de 80 % de toutes les livraisons), mais que leur emploi n'est pas répandu dans les entreprises (leurs utilisateurs ne constituant qu'environ le tiers de tous les établissements). Cette situation vient notamment du fait que les technologies de pointe offrent une vaste gamme d'avantages, mais que les entreprises sont également confrontées à une série d'entraves, des problèmes qui les empêchent d'adopter ces technologies. Ces entraves s'inscrivent à l'intérieur de cinq groupes : les problèmes liés aux coûts, les problèmes liés au cadre institutionnel, les problèmes en matière de main-d'oeuvre, les problèmes liés à la structure organisationnelle et les problèmes en matière d'information.

    Même si l'on pourrait s'attendre à ce que les entraves soient plus grandes pour les non-utilisateurs que pour les utilisateurs des technologies de pointe, c'est le contraire qui se produit. Nous postulons qu'il en est ainsi parce que l'innovation suppose un processus d'apprentissage. Les innovateurs et les utilisateurs des technologies de pointe font face à des problèmes qu'ils doivent régler et les entreprises plus innovatrices ont des plus gros problèmes. Nous vérifions ce postulat en examinant les facteurs liés au fait qu'une entreprise signale ou ne signale pas qu'elle a fait face à des entraves. Notre analyse multidimensionnelle révèle que les utilisateurs des technologies de pointe et que les entreprises qui innovent signalent plus souvent des entraves que les non-utilisateurs de ces technologies et que les entreprises qui n'innovent pas. Nous concluons qu'il ne faudrait pas interpréter l'information sur les entraves dans les rapports des enquêtes sur la technologie et d'autres enquêtes connexes (sur l'innovation) comme des obstacles infranchissables qui empêchent les entreprises d'adopter des technologies. Ces enquêtes indiquent plutôt les domaines où les entreprises qui connaissent le succès font face à des problèmes et les règlent.

    Date de diffusion : 2001-09-21
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