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- Articles et rapports : 11F0019M2007291Géographie : CanadaDescription :
En utilisant le Fichier de données longitudinales sur la main d'oeuvre de Statistique Canada, nous examinons les pertes de gains à court et à long terme concernant un important échantillon (10 %) de travailleurs canadiens qui ont perdu leur emploi en raison de la fermeture d'une entreprise ou d'un licenciement collectif à la fin des années 1980 et dans les années 1990. L'utilisation d'un échantillon représentatif à l'échelon national nous permet d'étudier la façon dont les pertes de gains varient selon le groupe d'âge, le sexe, l'industrie et la taille des entreprises. De plus, nous effectuons des analyses distinctes concernant les travailleurs déplacés uniquement en raison de la fermeture d'une entreprise et concernant un échantillon élargi de travailleurs déplacés en raison de la fermeture d'une entreprise ou d'un licenciement collectif. Nous avons surtout constaté que, tandis que les pertes moyennes de gains à long terme subies par les travailleurs déplacés en raison de la fermeture d'une entreprise ou d'un licenciement collectif sont importantes, celles qu'essuient les travailleurs déplacés ayant beaucoup d'ancienneté semblent être encore plus considérables. Comme l'ont constaté aussi Jacobson, Lalonde et Sullivan (1993) aux États-Unis, les travailleurs de sexe masculin possédant beaucoup d'ancienneté subissent des pertes de gains à long terme représentant entre 18 % et 35 % de leurs gains avant déplacement. Dans le cas des femmes, les estimations varient de 24 % à 35 %.
Date de diffusion : 2007-01-16 - Articles et rapports : 11-624-M2005010Géographie : CanadaDescription :
Le présent document suit la croissance et le déclin des industries des technologies de l'information et des communications (TIC), qui ont été à la base de la prospérité de ce qu'il est convenu d'appeler la nouvelle économie, à la fin des années 90, et de la débâcle subséquente qui s'est produite au début des années 2000. L'analyse vise principalement à déterminer si la débâcle des TIC a été accompagnée par une transition structurelle qui se caractérise par une diminution du processus de renouvellement des entreprises. L'analyse montre que, jusqu'à maintenant, il existe peu de preuves d'une transition structurelle. Les taux d'entrée de nouveaux établissements dans le secteur des TIC ont été supérieurs à ceux des autres secteurs de l'économie, à la fois pendant les années de prospérité et les années de débâcle des TIC. Il existe des preuves que les entreprises et les entrepreneurs ont continué de percevoir les occasions de développer de nouveaux produits et marchés, même en période de repli. L'emplacement des entreprises du secteur des TIC fait ressortir peu de pistes de changement.
Date de diffusion : 2005-03-02 - Articles et rapports : 11F0019M2000123Géographie : CanadaDescription :
Des études récentes ont démontré l'importance quantitative de la création et de la disparition d'entreprises ainsi que de la croissance et du déclin de la population industrielle. C'est ce processus de renouvellement qui récompense l'activité innovatrice et contribue à la croissance de la productivité.
Bien que la taille de la population de nouveaux venus soit impressionnante - particulièrement lorsqu'on examine l'effet cumulatif dans le temps, l'importance de la création d'entreprises se mesure en fin de compte par son incidence sur l'innovation au sein de l'économie. Dans une économie dynamique, axée sur le marché, il est important de faire des expériences. Or, les jeunes entreprises jouent sur ce plan un rôle essentiel. Les nouveaux entrepreneurs offrent constamment aux consommateurs des nouveautés-tant pour ce qui est des produits de base que du niveau de service qui les accompagnent.
Ce tâtonnement se traduit par des coûts considérables, car un bon nombre de jeunes entreprises disparaissent. Les jeunes entreprises courent davantage le risque de disparaître; des données tirées d'un fichier longitudinal de jeunes entreprises canadiennes tant dans le secteur des biens que dans celui des services révèlent que plus de la moitié des nouvelles entreprises qui ferment leurs portes le font au cours de leurs deux premières années d'existence. La plupart des jeunes entreprises ont une durée de vie brève. En fait, seulement une nouvelle entreprise sur cinq célèbre un dixième anniversaire.
Comme un bon nombre de jeunes entreprises abandonnent en cours de route, on est désireux de comprendre les conditions qui sont associées à la réussite, celles qui permettent aux nouveaux entrepreneurs de réaliser leur potentiel. Les jeunes entreprises qui réussissent sont celles qui ont choisi la bonne combinaison de stratégies et d'activités. Pour comprendre comment ces éléments contribuent à la croissance, il est nécessaire d'étudier les relations entre la performance des jeunes entreprises et les différences en ce qui a trait aux stratégies et aux activités mises en oeuvre.
Ce document a pour objectif de décrire le contexte et les caractéristiques propres aux jeunes entreprises qui réussissent à survivre et à prospérer. Pour ce faire, il examine deux questions : premièrement, l'aptitude à innover des jeunes entreprises et la mesure dans laquelle leur croissance en dépend; deuxièmement, le fait de mettre l'accent sur les compétences des travailleurs-élément qui est relié en partie à la formation qui est complémentaire à l'innovation et contribue à la croissance.
Date de diffusion : 2000-12-08 - Revues et périodiques : 61-526-XGéographie : CanadaDescription :
La présente étude porte sur les déterminants de l'échec des nouvelles entreprises canadiennes. On y examine l'incidence de certains facteurs sur la probabilité de survie - facteurs liés à la structure du secteur d'activité, au profil démographique des entreprises et aux cycles macro-économiques. On vérifie si les déterminants de l'échec sont les mêmes pour les jeunes entreprises et celles ayant atteint l'adolescence, et si l'ampleur de ces différences a une portée économique. On examine enfin si, après avoir neutralisé certaines influences, les taux d'échec varient entre les secteurs et entre les provinces.
L'analyse touche à deux thèmes principaux. L'incidence d'abord qu'exercent certaines caractéristiques du secteur - par exemple la taille moyenne des entreprises et la concentration - sur le processus d'entrée et de sortie, que ce soit par leur effet sur les coûts liés à l'échec ou sur l'intensité de la concurrence. Le deuxième thème a trait à la façon dont les dimensions de l'échec changent à mesure que les nouvelles entreprises s'aguerrissent aux particularités du marché.
Date de diffusion : 2000-02-16 - Articles et rapports : 88-003-X19990025344Géographie : CanadaDescription :
Une étude de Statistique Canada utilise la démographie des entreprises pour en apprendre davantage au sujet de l'innovation et des changements technologiques et pour déterminer les modèles intéressants. Contrairement aux attentes, l'auteur a mis au jour une somme considérable de volatilité (créatioins et fermetures d'entreprises) dans le secteur des services. Le taux de votalité pour ce secteur était de 31 %, compartivement à 23 % pour le secteur de la fabrication. Les entreprises qui n'innovent pas fréquemment sont remplacées par des nouvelles, qui offrent des produits nouveaux ou améliorés, ou qui emploient des méthodes plus efficaces de production et d'exécution.
Date de diffusion : 2000-01-17 - 6. Un portrait des entrées et des sorties ArchivéArticles et rapports : 11F0019M1999121Géographie : CanadaDescription :
L'entrée et la sortie sont des phénomènes importants. Ce document présente des données démontrant l'ampleur de ce processus et sa contribution à la productivité et à l'innovation. Il dresse ensuite un bilan détaillé des caractéristiques des nouvelles entreprises qui survivent et de celles qui échouent. Ce faisant, il décrit le type de compétences qui sont mises en oeuvre dans l'une et l'autre catégorie d'entreprises. Il s'interroge quant aux compétences mises en valeur par les nouvelles entreprises. Plus particulièrement, il s'attarde sur les aptitudes à l'innovation de ces entreprises. Il démontre que les petites entreprises en général et les jeunes entreprises en particulier sont hétérogènes du point de vue de leur activité novatrice. Le type d'activité novatrice auquel elles s'adonnent varie grandement. Certaines se concentrent sur la recherche et développement (R et D), sur les nouveaux produits et d'autres sur les nouvelles technologies. D'autres encore mettent l'accent sur l'amélioration du capital humain. En outre, ce document examine l'environnement concurrentiel dans lequel évoluent les nouvelles entreprises ainsi que le lien entre la croissance et l'innovation. Il cerne également les compétences complémentaires dont font montre les innovateurs. Enfin, il analyse les causes d'échec au sein de la population d'entreprises. Il étend la portée des conclusions de travaux antérieurs selon lesquelles les entreprises qui échouent diffèrent de celles qui survivent du point de vue de leurs compétences fondamentales-en gestion, en gestion financière et en marketing.
Date de diffusion : 1999-02-25 - 7. Les faillites d'entreprise au Canada ArchivéRevues et périodiques : 61-525-XGéographie : CanadaDescription :
Les taux de faillite sont en hausse au Canada. Près de la moitié des faillites au Canada sont principalement attribuables à des lacunes de l'entreprise plutôt qu'à des problèmes qui échappent à son contrôle. Ces entreprises n'ont pas acquis les compétences de base essentielles à leur survie. Les lacunes en matière de gestion ainsi que le manque de débouchés pour leur produit ont causé leur perte.
La présente étude laisse entendre que, à tout le moins dans une large mesure, les problèmes de financement de l'entreprise sont tributaires des lacunes des gestionnaires plutôt que des facteurs externes associés à l'imperfection des marchés financiers. De nombreux faillis ont du mal à obtenir du financement dans les marchés financiers; cependant, il convient de souligner que bon nombre d'entre eux éprouvent également des problèmes internes (par exemple, les gestionnaires méconnaissent les différentes options de financement).
Date de diffusion : 1998-04-01
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Analyses (7)
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- Articles et rapports : 11F0019M2007291Géographie : CanadaDescription :
En utilisant le Fichier de données longitudinales sur la main d'oeuvre de Statistique Canada, nous examinons les pertes de gains à court et à long terme concernant un important échantillon (10 %) de travailleurs canadiens qui ont perdu leur emploi en raison de la fermeture d'une entreprise ou d'un licenciement collectif à la fin des années 1980 et dans les années 1990. L'utilisation d'un échantillon représentatif à l'échelon national nous permet d'étudier la façon dont les pertes de gains varient selon le groupe d'âge, le sexe, l'industrie et la taille des entreprises. De plus, nous effectuons des analyses distinctes concernant les travailleurs déplacés uniquement en raison de la fermeture d'une entreprise et concernant un échantillon élargi de travailleurs déplacés en raison de la fermeture d'une entreprise ou d'un licenciement collectif. Nous avons surtout constaté que, tandis que les pertes moyennes de gains à long terme subies par les travailleurs déplacés en raison de la fermeture d'une entreprise ou d'un licenciement collectif sont importantes, celles qu'essuient les travailleurs déplacés ayant beaucoup d'ancienneté semblent être encore plus considérables. Comme l'ont constaté aussi Jacobson, Lalonde et Sullivan (1993) aux États-Unis, les travailleurs de sexe masculin possédant beaucoup d'ancienneté subissent des pertes de gains à long terme représentant entre 18 % et 35 % de leurs gains avant déplacement. Dans le cas des femmes, les estimations varient de 24 % à 35 %.
Date de diffusion : 2007-01-16 - Articles et rapports : 11-624-M2005010Géographie : CanadaDescription :
Le présent document suit la croissance et le déclin des industries des technologies de l'information et des communications (TIC), qui ont été à la base de la prospérité de ce qu'il est convenu d'appeler la nouvelle économie, à la fin des années 90, et de la débâcle subséquente qui s'est produite au début des années 2000. L'analyse vise principalement à déterminer si la débâcle des TIC a été accompagnée par une transition structurelle qui se caractérise par une diminution du processus de renouvellement des entreprises. L'analyse montre que, jusqu'à maintenant, il existe peu de preuves d'une transition structurelle. Les taux d'entrée de nouveaux établissements dans le secteur des TIC ont été supérieurs à ceux des autres secteurs de l'économie, à la fois pendant les années de prospérité et les années de débâcle des TIC. Il existe des preuves que les entreprises et les entrepreneurs ont continué de percevoir les occasions de développer de nouveaux produits et marchés, même en période de repli. L'emplacement des entreprises du secteur des TIC fait ressortir peu de pistes de changement.
Date de diffusion : 2005-03-02 - Articles et rapports : 11F0019M2000123Géographie : CanadaDescription :
Des études récentes ont démontré l'importance quantitative de la création et de la disparition d'entreprises ainsi que de la croissance et du déclin de la population industrielle. C'est ce processus de renouvellement qui récompense l'activité innovatrice et contribue à la croissance de la productivité.
Bien que la taille de la population de nouveaux venus soit impressionnante - particulièrement lorsqu'on examine l'effet cumulatif dans le temps, l'importance de la création d'entreprises se mesure en fin de compte par son incidence sur l'innovation au sein de l'économie. Dans une économie dynamique, axée sur le marché, il est important de faire des expériences. Or, les jeunes entreprises jouent sur ce plan un rôle essentiel. Les nouveaux entrepreneurs offrent constamment aux consommateurs des nouveautés-tant pour ce qui est des produits de base que du niveau de service qui les accompagnent.
Ce tâtonnement se traduit par des coûts considérables, car un bon nombre de jeunes entreprises disparaissent. Les jeunes entreprises courent davantage le risque de disparaître; des données tirées d'un fichier longitudinal de jeunes entreprises canadiennes tant dans le secteur des biens que dans celui des services révèlent que plus de la moitié des nouvelles entreprises qui ferment leurs portes le font au cours de leurs deux premières années d'existence. La plupart des jeunes entreprises ont une durée de vie brève. En fait, seulement une nouvelle entreprise sur cinq célèbre un dixième anniversaire.
Comme un bon nombre de jeunes entreprises abandonnent en cours de route, on est désireux de comprendre les conditions qui sont associées à la réussite, celles qui permettent aux nouveaux entrepreneurs de réaliser leur potentiel. Les jeunes entreprises qui réussissent sont celles qui ont choisi la bonne combinaison de stratégies et d'activités. Pour comprendre comment ces éléments contribuent à la croissance, il est nécessaire d'étudier les relations entre la performance des jeunes entreprises et les différences en ce qui a trait aux stratégies et aux activités mises en oeuvre.
Ce document a pour objectif de décrire le contexte et les caractéristiques propres aux jeunes entreprises qui réussissent à survivre et à prospérer. Pour ce faire, il examine deux questions : premièrement, l'aptitude à innover des jeunes entreprises et la mesure dans laquelle leur croissance en dépend; deuxièmement, le fait de mettre l'accent sur les compétences des travailleurs-élément qui est relié en partie à la formation qui est complémentaire à l'innovation et contribue à la croissance.
Date de diffusion : 2000-12-08 - Revues et périodiques : 61-526-XGéographie : CanadaDescription :
La présente étude porte sur les déterminants de l'échec des nouvelles entreprises canadiennes. On y examine l'incidence de certains facteurs sur la probabilité de survie - facteurs liés à la structure du secteur d'activité, au profil démographique des entreprises et aux cycles macro-économiques. On vérifie si les déterminants de l'échec sont les mêmes pour les jeunes entreprises et celles ayant atteint l'adolescence, et si l'ampleur de ces différences a une portée économique. On examine enfin si, après avoir neutralisé certaines influences, les taux d'échec varient entre les secteurs et entre les provinces.
L'analyse touche à deux thèmes principaux. L'incidence d'abord qu'exercent certaines caractéristiques du secteur - par exemple la taille moyenne des entreprises et la concentration - sur le processus d'entrée et de sortie, que ce soit par leur effet sur les coûts liés à l'échec ou sur l'intensité de la concurrence. Le deuxième thème a trait à la façon dont les dimensions de l'échec changent à mesure que les nouvelles entreprises s'aguerrissent aux particularités du marché.
Date de diffusion : 2000-02-16 - Articles et rapports : 88-003-X19990025344Géographie : CanadaDescription :
Une étude de Statistique Canada utilise la démographie des entreprises pour en apprendre davantage au sujet de l'innovation et des changements technologiques et pour déterminer les modèles intéressants. Contrairement aux attentes, l'auteur a mis au jour une somme considérable de volatilité (créatioins et fermetures d'entreprises) dans le secteur des services. Le taux de votalité pour ce secteur était de 31 %, compartivement à 23 % pour le secteur de la fabrication. Les entreprises qui n'innovent pas fréquemment sont remplacées par des nouvelles, qui offrent des produits nouveaux ou améliorés, ou qui emploient des méthodes plus efficaces de production et d'exécution.
Date de diffusion : 2000-01-17 - 6. Un portrait des entrées et des sorties ArchivéArticles et rapports : 11F0019M1999121Géographie : CanadaDescription :
L'entrée et la sortie sont des phénomènes importants. Ce document présente des données démontrant l'ampleur de ce processus et sa contribution à la productivité et à l'innovation. Il dresse ensuite un bilan détaillé des caractéristiques des nouvelles entreprises qui survivent et de celles qui échouent. Ce faisant, il décrit le type de compétences qui sont mises en oeuvre dans l'une et l'autre catégorie d'entreprises. Il s'interroge quant aux compétences mises en valeur par les nouvelles entreprises. Plus particulièrement, il s'attarde sur les aptitudes à l'innovation de ces entreprises. Il démontre que les petites entreprises en général et les jeunes entreprises en particulier sont hétérogènes du point de vue de leur activité novatrice. Le type d'activité novatrice auquel elles s'adonnent varie grandement. Certaines se concentrent sur la recherche et développement (R et D), sur les nouveaux produits et d'autres sur les nouvelles technologies. D'autres encore mettent l'accent sur l'amélioration du capital humain. En outre, ce document examine l'environnement concurrentiel dans lequel évoluent les nouvelles entreprises ainsi que le lien entre la croissance et l'innovation. Il cerne également les compétences complémentaires dont font montre les innovateurs. Enfin, il analyse les causes d'échec au sein de la population d'entreprises. Il étend la portée des conclusions de travaux antérieurs selon lesquelles les entreprises qui échouent diffèrent de celles qui survivent du point de vue de leurs compétences fondamentales-en gestion, en gestion financière et en marketing.
Date de diffusion : 1999-02-25 - 7. Les faillites d'entreprise au Canada ArchivéRevues et périodiques : 61-525-XGéographie : CanadaDescription :
Les taux de faillite sont en hausse au Canada. Près de la moitié des faillites au Canada sont principalement attribuables à des lacunes de l'entreprise plutôt qu'à des problèmes qui échappent à son contrôle. Ces entreprises n'ont pas acquis les compétences de base essentielles à leur survie. Les lacunes en matière de gestion ainsi que le manque de débouchés pour leur produit ont causé leur perte.
La présente étude laisse entendre que, à tout le moins dans une large mesure, les problèmes de financement de l'entreprise sont tributaires des lacunes des gestionnaires plutôt que des facteurs externes associés à l'imperfection des marchés financiers. De nombreux faillis ont du mal à obtenir du financement dans les marchés financiers; cependant, il convient de souligner que bon nombre d'entre eux éprouvent également des problèmes internes (par exemple, les gestionnaires méconnaissent les différentes options de financement).
Date de diffusion : 1998-04-01
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