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  • Articles et rapports : 82-003-X19960043021
    Géographie : Canada
    Description :

    En 1994, on estime que 6% des Canadiens âgés de 18 ans et plus, soit 1.1 million d'adultes, ont subi un épisode dépressif majeur. Même si la dépression peut être traîtée, moins de la moitié (43%) des personnes présentant ce genre de trouble au cours de l'année écoulée (environ 487 000) ont indiqué avoir parlé de troubles émotifs ou mentaux avec un professionnel de la santé. En outre, seulement 26% des personnes ayant subi un épisode dépressif majeur ont indiqué avoir consulté quatre fois ou plus. Évidemment, c'est la dépression non chronique qui était la plus susceptible de ne pas avoir été traitée. De même, les personnes atteintes de dépression, en bonne santé physique et celles qui n'avaient pas connu récemment d'évènements négatifs étaient moins susceptibles d'être traitées. Toutefois, une fois ces facteurs contrôlés, le modèle multivarié fait ressortir qu'un plus faible niveau de scolarité et un revenu inadéquat constituent des obstacles au traitement. Des contacts relativement peu fréquents avec un omnipraticien réduisent considérablement les chances que la personne soit traitée. En outre, les hommes et les personnes mariées déprimés étaient moins susceptibles d'être traités pour la dépression. À partir des données de l'Enquête nationale sur la santé de la population (ENSP) de Statistique Canada pour 1994-1995, le présent article examine les caractéristiques des personnes qui répondent aux critères de l'épisode dépressif majeur, mais qui n'ont pas reçu de traitement ou qui l'ont interrompu. Le choix des variables explicatives a été justifié par un cadre théorique proposé par Andersen et Newman. Ce cadre établit les déterminants individuels dans l'utilisation des services de santé. La probabilité que des personnes ayant subi un épisode dépressif majeur ne soient pas traitées a été déterminée par la méthode de régression logistique.

    Date de diffusion : 1997-04-21
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  • Articles et rapports : 82-003-X19960043021
    Géographie : Canada
    Description :

    En 1994, on estime que 6% des Canadiens âgés de 18 ans et plus, soit 1.1 million d'adultes, ont subi un épisode dépressif majeur. Même si la dépression peut être traîtée, moins de la moitié (43%) des personnes présentant ce genre de trouble au cours de l'année écoulée (environ 487 000) ont indiqué avoir parlé de troubles émotifs ou mentaux avec un professionnel de la santé. En outre, seulement 26% des personnes ayant subi un épisode dépressif majeur ont indiqué avoir consulté quatre fois ou plus. Évidemment, c'est la dépression non chronique qui était la plus susceptible de ne pas avoir été traitée. De même, les personnes atteintes de dépression, en bonne santé physique et celles qui n'avaient pas connu récemment d'évènements négatifs étaient moins susceptibles d'être traitées. Toutefois, une fois ces facteurs contrôlés, le modèle multivarié fait ressortir qu'un plus faible niveau de scolarité et un revenu inadéquat constituent des obstacles au traitement. Des contacts relativement peu fréquents avec un omnipraticien réduisent considérablement les chances que la personne soit traitée. En outre, les hommes et les personnes mariées déprimés étaient moins susceptibles d'être traités pour la dépression. À partir des données de l'Enquête nationale sur la santé de la population (ENSP) de Statistique Canada pour 1994-1995, le présent article examine les caractéristiques des personnes qui répondent aux critères de l'épisode dépressif majeur, mais qui n'ont pas reçu de traitement ou qui l'ont interrompu. Le choix des variables explicatives a été justifié par un cadre théorique proposé par Andersen et Newman. Ce cadre établit les déterminants individuels dans l'utilisation des services de santé. La probabilité que des personnes ayant subi un épisode dépressif majeur ne soient pas traitées a été déterminée par la méthode de régression logistique.

    Date de diffusion : 1997-04-21
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