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  • Articles et rapports : 81-004-X200900210897
    Description :

    Des comparaisons internationales révèlent que le Canada présente le pourcentage le plus élevé de diplômés collégiaux et universitaires touchant de faibles revenus d'emploi comparativement aux autres principaux pays. Cet article utilise des données de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR) afin d'identifier des caractéristiques professionnelles et démographiques clés qui pourraient expliquer leur situation de travailleurs à faible revenu.

    Date de diffusion : 2009-06-17

  • Stats en bref : 81-600-X2009001
    Géographie : Canada
    Description :

    Voici l'un d'une série de quatre feuillets d'information préparés à partir de sources de données de Statistique Canada sur les études et la formation des travailleurs qui oeuvrent dans le domaine de la santé. À partir de l'Enquête nationale de 2005 auprès des diplômés de 2000, ce feuillet d'information fournit des renseignements sur la proportion de nouveaux diplômés des sciences de la santé qui accèdent à des professions dans le domaine de la santé au cours des cinq ans suivant l'obtention de leur diplôme et sur la proportion de ceux qui trouvent un emploi dans d'autres secteurs de l'économie.

    Date de diffusion : 2009-05-01

  • Articles et rapports : 81-595-M2007054
    Géographie : Canada
    Description :

    Cheminements des jeunes Canadiens des études au marché du travail : résultats de l'Enquête auprès des jeunes en transition. Ce rapport a pour but d'examiner les différents chemins qu'empruntent les jeunes du Canada pour se rendre de l'école secondaire au marché du travail, de savoir qui prend ces chemins et de déterminer les résultats qui en découlent sur le marché du travail.

    La présente étude emploie les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) de 2004. L'EJET est une enquête longitudinale qui a recueilli des données auprès de jeunes de deux groupes d'âge lors du premier cycle de l'enquête, en l'an 2000, les premiers ayant 15 ans (Cohorte A) et les autres, de 18 à 20 ans (Cohorte B), au début de leur participation. L'analyse dans ce rapport utilise les données pour le deuxième groupe. Les deux cohortes ont été invitées à fournir un éventail de renseignements sur leurs expériences d'études et d'emploi et sur des caractéristiques personnelles telles que leurs aspirations scolaires.

    La première entrevue de suivi des participants de l'EJET s'est déroulée au début de 2002. À ce moment-là, les participants de la Cohorte B étaient âgés de 20 à 22 ans. La deuxième entrevue de suivi s'est tenue en 2004, pour la période de référence de décembre 2003, quand les participants de la Cohorte B étaient alors âgés de 22 à 24 ans.

    Le présent rapport s'appuie sur les descriptions des cheminements de base que suivaient les non-étudiants en décembre 2003, cernant d'abord les grands facteurs qui aident à prédire qui suivra quel chemin. Cela fait, nous examinons le lien entre ces cheminements et la « réussite » sur le marché du travail. Plus précisément, le restant du rapport est organisé comme suit :

    Chapitre 2 : Ce chapitre analyse en quoi certains facteurs contextuels permettent de prédire les parcours de l'école au marché du travail que suivaient les jeunes adultes de 22 à 24 ans en décembre 2003; il s'agit essentiellement de facteurs statiques qui ne changent pas (par exemple le sexe, l'âge, l'origine ethnique, le niveau de scolarité des parents, etc.).

    Chapitre 3 : Ce chapitre introduit des facteurs « intermédiaires », mesurés durant les études secondaires (par exemple la moyenne pondérée cumulative, travailler pendant le secondaire, etc.). Ces facteurs joueraient, croit-on, un rôle important d'atténuation de l'effet qu'exercent les facteurs contextuels susmentionnés sur la prévision des transitions de l'école au travail.

    Chapitre 4 : Dans ce chapitre, l'analyse change d'optique. Au lieu d'y étudier les prédicteurs des cheminements de l'école au travail, nous nous intéressons aux cheminements en tant qu'indicateurs de la situation sur le marché du travail. Dans ce chapitre, nous sommes en mesure de déterminer si certains parcours sont plus ou moins porteurs de succès professionnel et prometteurs de « bons » emplois, ainsi définis en fonction du revenu et du degré de satisfaction au travail. Nous sommes aussi à même de déterminer la profession qu'exerçaient les répondants en décembre 2003.

    Chapitre 5 : Ce chapitre de conclusion résume les résultats et l'analyse.

    Date de diffusion : 2007-11-01

  • Articles et rapports : 11F0019M2004235
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans ce document, on présente les résultats d'une analyse empirique de l'écart entre les gains des hommes et des femmes ayant récemment obtenu un diplôme de baccalauréat dans les universités canadiennes. Les heures de travail constituent l'influence la plus importante, tandis que l'expérience de travail antérieure, les caractéristiques de l'emploi, la situation familiale, la province de résidence et la langue ont des effets plus faibles et plus mixtes.

    Date de diffusion : 2004-11-30

  • Articles et rapports : 81-595-M2004018
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce rapport fournit un portrait du cheminement des jeunes de 20 à 22 ans dans les domaines suivants : l'achèvement des études secondaires, les inscriptions aux études postsecondaires et la participation sur le marché du travail. À cette fin, on utilise les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition.

    Date de diffusion : 2004-06-16

  • Articles et rapports : 81-003-X20020036671
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce document donne un aperçu du personnel enseignant à temps partiel dans les universités et les collèges. À cette fin, on utilise les données de l'Enquête sur le personnel d'enseignement dans les universités et les collèges.

    Date de diffusion : 2003-10-20

  • Articles et rapports : 81-595-M2003004
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans le cadre de cette étude, on utilise les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) pour analyser le rapport entre le travail pendant les études secondaires et le décrochage.

    Date de diffusion : 2003-05-26

  • Articles et rapports : 81-003-X20010046386
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans cet article, on évalue le coût immédiat pour les étudiants canadiens inscrits à un programme de maîtrise pour une année entière dans une université canadienne selon la province, le domaine d'études et le sexe. Les données proviennent de l'Enquête nationale auprès des diplômés, de même que de renseignements supplémentaires sur les droits de scolarité et les frais connexes, les livres, le coût du logement et des repas, et la perte de revenus des étudiants pendant leur période d'études.

    Date de diffusion : 2002-10-29

  • Articles et rapports : 11F0019M2002164
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce document présente les résultats d'une analyse empirique des premiers résultats professionnels des bacheliers récents au Canada selon les disciplines et pour les trois cycles de l'Enquête nationale auprès des diplômés avec leur riche fonds d'information décrivant les gens qui ont achevé leurs études universitaires au pays en 1982, 1986 et 1990. Les données en question ont été recueillies par des interviews réalisées auprès de divers groupes de diplômés deux et cinq ans après l'obtention du diplôme (1984-1987, 1988-1992 et 1990-1995).

    Cette analyse de résultats selon le sexe et les disciplines renseigne sur la répartition des diplômés entre les disciplines et les proportions de diplômées, les pourcentages de diplômés qui ont ultérieurement achevé un autre programme d'études, l'évaluation globale du choix d'une spécialité (les intéressés feraient-ils le même choix?), les taux de chômage, les pourcentages de travailleurs occupant des emplois à temps partiel ou temporaires et établis à leur compte (travailleurs indépendants), l'appariement compétences (titres scolaires)-emplois, les niveaux de gains avec leurs taux de croissance, ainsi que la satisfaction au travail (à l'égard des gains et dans l'ensemble).

    On s'attendait à nombre de résultats obtenus, qui traduisent habituellement les orientations propres aux diverses disciplines quant à une préparation directe à la carrière. Dans ce cas, les professions dites libérales et les autres domaines appliqués se caractérisent généralement par des taux moindres de chômage, un meilleur appariement compétences-emplois, des gains supérieurs, etc. Par ailleurs, si les domaines d'application donnent aussi de bons résultats pour ce qui est des mesures plus subjectives de la satisfaction au travail et de l'évaluation globale des choix de programmes d'études (les diplômés feraient-ils les mêmes choix?), les données indiquent aussi que, dans leur appréciation de leur expérience professionnelle après le diplôme et dans le jugement global qu'ils portent sur les programmes d'études qu'ils ont achevés, les diplômés font plus que sommer des valeurs types de mesure de la « réussite » sur le marché du travail, puisque l'évaluation qu'ils font de leur satisfaction au travail et - ce qui est peut-être le plus intéressant - la mesure globale qu'ils prennent des programmes d'études s'écartent souvent de ce qu'auraient pu faire prévoir les mesures objectives (taux de chômage, niveaux de gains, etc.). Il sera question ici de certaines conséquences de ces constatations et des voies d'investigation qui pourraient s'ouvrir à l'avenir aux chercheurs.

    Date de diffusion : 2002-03-21

  • Articles et rapports : 11F0019M2002183
    Géographie : Canada
    Description :

    On présume souvent que les changements sur le marché du travail tels qu'un accroissement de l'incidence du travail à temps partiel ou saisonnier, du cumul de plusieurs emplois ou du travail indépendant sont régis par des variations de la demande, c'est-à-dire qu'ils résultent d'un manque de débouchés pour les emplois plus traditionnels plutôt que d'un changement des préférences des travailleurs. Pourtant, malgré l'intérêt et l'importance de la question du travail non classique, on dispose à son sujet de relativement peu de données empiriques.

    L'objectif général du présent rapport est d'exposer les résultats d'une étude empirique qui utilise l'indicateur de statut du travail indépendant disponible dans les bases de données de l'Enquête nationale auprès des diplômés (et les enquêtes de suivi). Il présente et analyse les modes de travail indépendant dans plusieurs cohortes de diplômés d'études supérieures au Canada au cours des cinq premières années suivant l'obtention de leur diplôme. Plus précisément, il fournit de solides données empiriques sur l'incidence du travail indépendant (niveaux, configurations, tendances) parmi les diplômés récents des secteurs collégial et universitaire, dans leur ensemble et selon le sexe, l'année et le niveau du diplôme. Ce document aborde aussi la question de savoir si le travail indépendant tend à être l'option privilégiée par ceux qui s'y engagent ou s'il découle d'un manque de débouchés dans les emplois dits « conventionnels », ou encore d'une combinaison des deux.

    Deux grandes conclusions se dégagent de cette analyse. Premièrement, pour les trois premières cohortes étudiées, l'incidence du travail indépendant est relativement stable. Les taux globaux se situent entre 6,5 % et 11,1 % chez les hommes et entre 3,2 % et 6,7 % chez les femmes. Les taux tendent à être supérieurs chez certains diplômés (mais pas tous) de la cohorte la plus récente (1995).

    Deuxièmement, le travail indépendant semble généralement représenter un statut professionnel relativement attrayant en moyenne : Dans chaque cohorte, les taux de travail indépendant augmentent de la première entrevue (deux ans après l'obtention du diplôme) à la seconde (cinq ans après), un intervalle durant lequel les débouchés s'améliorent généralement beaucoup pour les diplômés.Il ressort de simples comparaisons ponctuelles (transversales) des rémunérations, de l'adéquation entre emplois et qualifications scolaires ainsi que des niveaux de satisfaction au travail que, malgré des résultats un peu inégaux, le travail indépendant ne se caractérise généralement pas par des résultats moins favorables et se démarque peut-être par des niveaux de satisfaction au travail habituellement supérieurs (plutôt qu'inférieurs).Finalement, tant le modèle transversal conventionnel des rémunérations que les équations en différences premières, dans lesquelles sont neutralisés différents effets fixes susceptibles d'être corrélés avec le statut professionnel, confirment que le travail indépendant offre de meilleures rémunérations (et est donc plus attrayant) que le statut de salarié conventionnel.

    Date de diffusion : 2002-03-21
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Analyses (21)

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  • Articles et rapports : 81-004-X200900210897
    Description :

    Des comparaisons internationales révèlent que le Canada présente le pourcentage le plus élevé de diplômés collégiaux et universitaires touchant de faibles revenus d'emploi comparativement aux autres principaux pays. Cet article utilise des données de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR) afin d'identifier des caractéristiques professionnelles et démographiques clés qui pourraient expliquer leur situation de travailleurs à faible revenu.

    Date de diffusion : 2009-06-17

  • Stats en bref : 81-600-X2009001
    Géographie : Canada
    Description :

    Voici l'un d'une série de quatre feuillets d'information préparés à partir de sources de données de Statistique Canada sur les études et la formation des travailleurs qui oeuvrent dans le domaine de la santé. À partir de l'Enquête nationale de 2005 auprès des diplômés de 2000, ce feuillet d'information fournit des renseignements sur la proportion de nouveaux diplômés des sciences de la santé qui accèdent à des professions dans le domaine de la santé au cours des cinq ans suivant l'obtention de leur diplôme et sur la proportion de ceux qui trouvent un emploi dans d'autres secteurs de l'économie.

    Date de diffusion : 2009-05-01

  • Articles et rapports : 81-595-M2007054
    Géographie : Canada
    Description :

    Cheminements des jeunes Canadiens des études au marché du travail : résultats de l'Enquête auprès des jeunes en transition. Ce rapport a pour but d'examiner les différents chemins qu'empruntent les jeunes du Canada pour se rendre de l'école secondaire au marché du travail, de savoir qui prend ces chemins et de déterminer les résultats qui en découlent sur le marché du travail.

    La présente étude emploie les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) de 2004. L'EJET est une enquête longitudinale qui a recueilli des données auprès de jeunes de deux groupes d'âge lors du premier cycle de l'enquête, en l'an 2000, les premiers ayant 15 ans (Cohorte A) et les autres, de 18 à 20 ans (Cohorte B), au début de leur participation. L'analyse dans ce rapport utilise les données pour le deuxième groupe. Les deux cohortes ont été invitées à fournir un éventail de renseignements sur leurs expériences d'études et d'emploi et sur des caractéristiques personnelles telles que leurs aspirations scolaires.

    La première entrevue de suivi des participants de l'EJET s'est déroulée au début de 2002. À ce moment-là, les participants de la Cohorte B étaient âgés de 20 à 22 ans. La deuxième entrevue de suivi s'est tenue en 2004, pour la période de référence de décembre 2003, quand les participants de la Cohorte B étaient alors âgés de 22 à 24 ans.

    Le présent rapport s'appuie sur les descriptions des cheminements de base que suivaient les non-étudiants en décembre 2003, cernant d'abord les grands facteurs qui aident à prédire qui suivra quel chemin. Cela fait, nous examinons le lien entre ces cheminements et la « réussite » sur le marché du travail. Plus précisément, le restant du rapport est organisé comme suit :

    Chapitre 2 : Ce chapitre analyse en quoi certains facteurs contextuels permettent de prédire les parcours de l'école au marché du travail que suivaient les jeunes adultes de 22 à 24 ans en décembre 2003; il s'agit essentiellement de facteurs statiques qui ne changent pas (par exemple le sexe, l'âge, l'origine ethnique, le niveau de scolarité des parents, etc.).

    Chapitre 3 : Ce chapitre introduit des facteurs « intermédiaires », mesurés durant les études secondaires (par exemple la moyenne pondérée cumulative, travailler pendant le secondaire, etc.). Ces facteurs joueraient, croit-on, un rôle important d'atténuation de l'effet qu'exercent les facteurs contextuels susmentionnés sur la prévision des transitions de l'école au travail.

    Chapitre 4 : Dans ce chapitre, l'analyse change d'optique. Au lieu d'y étudier les prédicteurs des cheminements de l'école au travail, nous nous intéressons aux cheminements en tant qu'indicateurs de la situation sur le marché du travail. Dans ce chapitre, nous sommes en mesure de déterminer si certains parcours sont plus ou moins porteurs de succès professionnel et prometteurs de « bons » emplois, ainsi définis en fonction du revenu et du degré de satisfaction au travail. Nous sommes aussi à même de déterminer la profession qu'exerçaient les répondants en décembre 2003.

    Chapitre 5 : Ce chapitre de conclusion résume les résultats et l'analyse.

    Date de diffusion : 2007-11-01

  • Articles et rapports : 11F0019M2004235
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans ce document, on présente les résultats d'une analyse empirique de l'écart entre les gains des hommes et des femmes ayant récemment obtenu un diplôme de baccalauréat dans les universités canadiennes. Les heures de travail constituent l'influence la plus importante, tandis que l'expérience de travail antérieure, les caractéristiques de l'emploi, la situation familiale, la province de résidence et la langue ont des effets plus faibles et plus mixtes.

    Date de diffusion : 2004-11-30

  • Articles et rapports : 81-595-M2004018
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce rapport fournit un portrait du cheminement des jeunes de 20 à 22 ans dans les domaines suivants : l'achèvement des études secondaires, les inscriptions aux études postsecondaires et la participation sur le marché du travail. À cette fin, on utilise les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition.

    Date de diffusion : 2004-06-16

  • Articles et rapports : 81-003-X20020036671
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce document donne un aperçu du personnel enseignant à temps partiel dans les universités et les collèges. À cette fin, on utilise les données de l'Enquête sur le personnel d'enseignement dans les universités et les collèges.

    Date de diffusion : 2003-10-20

  • Articles et rapports : 81-595-M2003004
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans le cadre de cette étude, on utilise les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) pour analyser le rapport entre le travail pendant les études secondaires et le décrochage.

    Date de diffusion : 2003-05-26

  • Articles et rapports : 81-003-X20010046386
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans cet article, on évalue le coût immédiat pour les étudiants canadiens inscrits à un programme de maîtrise pour une année entière dans une université canadienne selon la province, le domaine d'études et le sexe. Les données proviennent de l'Enquête nationale auprès des diplômés, de même que de renseignements supplémentaires sur les droits de scolarité et les frais connexes, les livres, le coût du logement et des repas, et la perte de revenus des étudiants pendant leur période d'études.

    Date de diffusion : 2002-10-29

  • Articles et rapports : 11F0019M2002164
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce document présente les résultats d'une analyse empirique des premiers résultats professionnels des bacheliers récents au Canada selon les disciplines et pour les trois cycles de l'Enquête nationale auprès des diplômés avec leur riche fonds d'information décrivant les gens qui ont achevé leurs études universitaires au pays en 1982, 1986 et 1990. Les données en question ont été recueillies par des interviews réalisées auprès de divers groupes de diplômés deux et cinq ans après l'obtention du diplôme (1984-1987, 1988-1992 et 1990-1995).

    Cette analyse de résultats selon le sexe et les disciplines renseigne sur la répartition des diplômés entre les disciplines et les proportions de diplômées, les pourcentages de diplômés qui ont ultérieurement achevé un autre programme d'études, l'évaluation globale du choix d'une spécialité (les intéressés feraient-ils le même choix?), les taux de chômage, les pourcentages de travailleurs occupant des emplois à temps partiel ou temporaires et établis à leur compte (travailleurs indépendants), l'appariement compétences (titres scolaires)-emplois, les niveaux de gains avec leurs taux de croissance, ainsi que la satisfaction au travail (à l'égard des gains et dans l'ensemble).

    On s'attendait à nombre de résultats obtenus, qui traduisent habituellement les orientations propres aux diverses disciplines quant à une préparation directe à la carrière. Dans ce cas, les professions dites libérales et les autres domaines appliqués se caractérisent généralement par des taux moindres de chômage, un meilleur appariement compétences-emplois, des gains supérieurs, etc. Par ailleurs, si les domaines d'application donnent aussi de bons résultats pour ce qui est des mesures plus subjectives de la satisfaction au travail et de l'évaluation globale des choix de programmes d'études (les diplômés feraient-ils les mêmes choix?), les données indiquent aussi que, dans leur appréciation de leur expérience professionnelle après le diplôme et dans le jugement global qu'ils portent sur les programmes d'études qu'ils ont achevés, les diplômés font plus que sommer des valeurs types de mesure de la « réussite » sur le marché du travail, puisque l'évaluation qu'ils font de leur satisfaction au travail et - ce qui est peut-être le plus intéressant - la mesure globale qu'ils prennent des programmes d'études s'écartent souvent de ce qu'auraient pu faire prévoir les mesures objectives (taux de chômage, niveaux de gains, etc.). Il sera question ici de certaines conséquences de ces constatations et des voies d'investigation qui pourraient s'ouvrir à l'avenir aux chercheurs.

    Date de diffusion : 2002-03-21

  • Articles et rapports : 11F0019M2002183
    Géographie : Canada
    Description :

    On présume souvent que les changements sur le marché du travail tels qu'un accroissement de l'incidence du travail à temps partiel ou saisonnier, du cumul de plusieurs emplois ou du travail indépendant sont régis par des variations de la demande, c'est-à-dire qu'ils résultent d'un manque de débouchés pour les emplois plus traditionnels plutôt que d'un changement des préférences des travailleurs. Pourtant, malgré l'intérêt et l'importance de la question du travail non classique, on dispose à son sujet de relativement peu de données empiriques.

    L'objectif général du présent rapport est d'exposer les résultats d'une étude empirique qui utilise l'indicateur de statut du travail indépendant disponible dans les bases de données de l'Enquête nationale auprès des diplômés (et les enquêtes de suivi). Il présente et analyse les modes de travail indépendant dans plusieurs cohortes de diplômés d'études supérieures au Canada au cours des cinq premières années suivant l'obtention de leur diplôme. Plus précisément, il fournit de solides données empiriques sur l'incidence du travail indépendant (niveaux, configurations, tendances) parmi les diplômés récents des secteurs collégial et universitaire, dans leur ensemble et selon le sexe, l'année et le niveau du diplôme. Ce document aborde aussi la question de savoir si le travail indépendant tend à être l'option privilégiée par ceux qui s'y engagent ou s'il découle d'un manque de débouchés dans les emplois dits « conventionnels », ou encore d'une combinaison des deux.

    Deux grandes conclusions se dégagent de cette analyse. Premièrement, pour les trois premières cohortes étudiées, l'incidence du travail indépendant est relativement stable. Les taux globaux se situent entre 6,5 % et 11,1 % chez les hommes et entre 3,2 % et 6,7 % chez les femmes. Les taux tendent à être supérieurs chez certains diplômés (mais pas tous) de la cohorte la plus récente (1995).

    Deuxièmement, le travail indépendant semble généralement représenter un statut professionnel relativement attrayant en moyenne : Dans chaque cohorte, les taux de travail indépendant augmentent de la première entrevue (deux ans après l'obtention du diplôme) à la seconde (cinq ans après), un intervalle durant lequel les débouchés s'améliorent généralement beaucoup pour les diplômés.Il ressort de simples comparaisons ponctuelles (transversales) des rémunérations, de l'adéquation entre emplois et qualifications scolaires ainsi que des niveaux de satisfaction au travail que, malgré des résultats un peu inégaux, le travail indépendant ne se caractérise généralement pas par des résultats moins favorables et se démarque peut-être par des niveaux de satisfaction au travail habituellement supérieurs (plutôt qu'inférieurs).Finalement, tant le modèle transversal conventionnel des rémunérations que les équations en différences premières, dans lesquelles sont neutralisés différents effets fixes susceptibles d'être corrélés avec le statut professionnel, confirment que le travail indépendant offre de meilleures rémunérations (et est donc plus attrayant) que le statut de salarié conventionnel.

    Date de diffusion : 2002-03-21
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