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- Articles et rapports : 11-010-X20040127744Géographie : CanadaDescription :
De récents reportages dans les média ont laissé entendre que le ratio du revenu national brut (anciennement le produit national brut) au produit intérieur brut signale la «maturité économique» d'un pays. Les pays à un stade de développement plus avancé présentent généralement un RNB plus grand que le PIB en raison de leurs investissements passés à l'étranger. Les pays moins développés qui dépendent davantage de l'arrivée d'investissements étrangers sur leur territoire pour assurer leur croissance ont un RNB plus petit que leur PIB. Le présent article examine la situation au Canada. Depuis 1998, notre ratio du RNB au PIB est passé de 96 % à 98 %. En dollars, les Canadiens auraient, en valeur monétaire, reçu 16,4 milliards de moins en revenu si le RNB n'avait eu que le rythme de croissance du PIB. Ce chiffre équivaut à 512 $ par habitant. À en juger par les tendances récentes, le RNB pourrait, pour la première fois dans l'histoire, dépasser le PIB au pays avant la fin de la décennie en cours.
Date de diffusion : 2004-12-16 - Articles et rapports : 11F0024M20040007449Description :
Le secteur des administrations locales et des États est propriétaire de près de 90 % des immobilisations corporelles non militaires et de 70 % du matériel non militaire aux États Unis. Par conséquent, les administrations locales et des États sont les décideurs clés en ce qui concerne les niveaux d'investissement en infrastructure. Cependant, en tant que gardiens de l'infrastructure, les États ont eu un passé difficile. Selon les études d'ingénierie actuelles portant sur les immobilisations corporelles aux États Unis, une grande partie de ces biens seraient en mauvais état et il faudrait investir près de 1,6 millions de dollars durant les cinq prochaines années pour rendre leur pleine fonctionnalité aux principaux types d'infrastructures.
Les États affichent dernièrement un regain d'intérêt pour l'utilisation de l'investissement de capitaux dans l'infrastructure comme outil de développement économique. Selon les théories populaires du développement économique fondées sur l'amélioration des agglomérations industrielles, l'état des infrastructures clés est souvent un facteur qui entre en cause dans la croissance économique. Même si de nombreux États acceptent cette conclusion, ils se trouvent devant une énigme stratégique. Face à une situation fiscale serrée, les États et les administrations locales tâchent de déterminer quels investissements en infrastructure importent pour relancer la croissance économique. Dans ce document, l'auteur examine ce que l'on sait sur la mesure de l'effet de l'investissement en infrastructure et se penche sur la question de savoir si les États posent les bonnes questions avant de faire des dépenses en infrastructure.
Date de diffusion : 2004-11-25
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- Articles et rapports : 11-010-X20040127744Géographie : CanadaDescription :
De récents reportages dans les média ont laissé entendre que le ratio du revenu national brut (anciennement le produit national brut) au produit intérieur brut signale la «maturité économique» d'un pays. Les pays à un stade de développement plus avancé présentent généralement un RNB plus grand que le PIB en raison de leurs investissements passés à l'étranger. Les pays moins développés qui dépendent davantage de l'arrivée d'investissements étrangers sur leur territoire pour assurer leur croissance ont un RNB plus petit que leur PIB. Le présent article examine la situation au Canada. Depuis 1998, notre ratio du RNB au PIB est passé de 96 % à 98 %. En dollars, les Canadiens auraient, en valeur monétaire, reçu 16,4 milliards de moins en revenu si le RNB n'avait eu que le rythme de croissance du PIB. Ce chiffre équivaut à 512 $ par habitant. À en juger par les tendances récentes, le RNB pourrait, pour la première fois dans l'histoire, dépasser le PIB au pays avant la fin de la décennie en cours.
Date de diffusion : 2004-12-16 - Articles et rapports : 11F0024M20040007449Description :
Le secteur des administrations locales et des États est propriétaire de près de 90 % des immobilisations corporelles non militaires et de 70 % du matériel non militaire aux États Unis. Par conséquent, les administrations locales et des États sont les décideurs clés en ce qui concerne les niveaux d'investissement en infrastructure. Cependant, en tant que gardiens de l'infrastructure, les États ont eu un passé difficile. Selon les études d'ingénierie actuelles portant sur les immobilisations corporelles aux États Unis, une grande partie de ces biens seraient en mauvais état et il faudrait investir près de 1,6 millions de dollars durant les cinq prochaines années pour rendre leur pleine fonctionnalité aux principaux types d'infrastructures.
Les États affichent dernièrement un regain d'intérêt pour l'utilisation de l'investissement de capitaux dans l'infrastructure comme outil de développement économique. Selon les théories populaires du développement économique fondées sur l'amélioration des agglomérations industrielles, l'état des infrastructures clés est souvent un facteur qui entre en cause dans la croissance économique. Même si de nombreux États acceptent cette conclusion, ils se trouvent devant une énigme stratégique. Face à une situation fiscale serrée, les États et les administrations locales tâchent de déterminer quels investissements en infrastructure importent pour relancer la croissance économique. Dans ce document, l'auteur examine ce que l'on sait sur la mesure de l'effet de l'investissement en infrastructure et se penche sur la question de savoir si les États posent les bonnes questions avant de faire des dépenses en infrastructure.
Date de diffusion : 2004-11-25
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