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Tout (4)

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  • Articles et rapports : 12-001-X201000211378
    Description :

    L'une des clés de la réduction ou de l'éradication de la pauvreté dans le tiers monde est l'obtention d'information fiable sur les pauvres et sur leur emplacement, afin que les interventions et l'aide soient dirigées vers les personnes les plus nécessiteuses. L'estimation sur petits domaines est une méthode statistique utilisée pour surveiller la pauvreté et décider de la répartition de l'aide de façon à réaliser les Objectifs du millénaire pour le développement. Elbers, Lanjouw et Lanjouw (ELL) (2003) ont proposé, pour produire des mesures de la pauvreté fondées sur le revenu ou sur les dépenses, une méthode d'estimation sur petits domaines qui est mise en oeuvre par la Banque mondiale dans ses projets de cartographie de la pauvreté grâce à la participation des organismes statistiques centraux de nombreux pays du tiers monde, dont le Cambodge, le Laos, les Philippines, la Thaïlande et le Vietnam, et qui est intégrée dans le logiciel PovMap de la Banque mondiale. Dans le présent article, nous présentons la méthode ELL, qui consiste à modéliser d'abord les données d'enquête, puis à appliquer le modèle obtenu à des données de recensement, en nous penchant surtout sur la première phase, c'est-à-dire l'ajustement des modèles de régression, ainsi que sur les erreurs-types estimées à la deuxième phase. Nous présentons d'autres méthodes d'ajustement de modèles de régression, telles que la régression généralisée sur données d'enquête (RGE) (décrite dans Lohr (1999), chapitre 11) et celles utilisées dans les méthodes existantes d'estimations sur petits domaines, à savoir la méthode du meilleur prédicteur linéaire sans biais pseudo-empirique (pseudo-MPLSB) (You et Rao 2002) et la méthode itérative à équations d'estimation pondérées (IEEP) (You, Rao et Kovacevic 2003), et nous les comparons à la stratégie de modélisation de ELL. La différence la plus importante entre la méthode ELL et les autres techniques tient au fondement théorique de la méthode d'ajustement du modèle proposée par ELL. Nous nous servons d'un exemple fondé sur la Family Income and Expenses Survey des Philippines pour illustrer les différences entre les estimations des paramètres et leurs erreurs-types correspondantes, ainsi qu'entre les composantes de la variance générées par les diverses méthodes et nous étendons la discussion à l'effet de ces différences sur l'exactitude estimée des estimations sur petits domaines finales. Nous mettons l'accent sur la nécessité de produire de bonnes estimations des composantes de la variance, ainsi que des coefficients de régression et de leurs erreurs-types aux fins de l'estimation sur petits domaines de la pauvreté.

    Date de diffusion : 2010-12-21

  • Articles et rapports : 12-001-X201000211380
    Description :

    Diverses formes d'estimateurs de variance par linéarisation pour les estimateurs par calage généralisé sont définies en choisissant différents poids à appliquer a) aux résidus et b) aux coefficients de régression estimés utilisés dans le calcul des résidus. Des éléments de théorie sont présentés pour trois formes de l'estimateur par calage généralisé, à savoir l'estimateur par ratissage croisé classique, l'estimateur par calage basé sur le « maximum de vraisemblance » et l'estimateur par la régression généralisée, ainsi que pour les estimateurs de variance par linéarisation connexes. Une étude par simulation est effectuée en se servant des données d'une enquête sur la population active et d'une enquête sur les revenus et dépenses. Les propriétés des estimateurs sont évaluées en fonction de l'échantillonnage ainsi que de la non-réponse. L'étude révèle peu de différences entre les propriétés des divers estimateurs par calage pour un plan d'échantillonnage et un modèle de non-réponse donnés. En ce qui concerne les estimateurs de variance, l'approche consistant à pondérer les résidus par les poids de sondage peut être fortement biaisée en présence de non-réponse. L'approche de pondération des résidus par les poids calés a tendance à produire un biais nettement plus faible. Le choix de différents types de poids pour produire les coefficients de régression a peu d'incidence.

    Date de diffusion : 2010-12-21

  • Articles et rapports : 13-604-M2010067
    Description :

    Cette publication présente des estimations des recettes des administrations publiques attribuables au tourisme pour 2003 à 2009. Les estimations des recettes attribuables aux dépenses touristiques des non-résidents (c.-à.-d. les exportations touristiques) et des résidents (c.-à.-d. la demande touristique intérieure) sont aussi disponibles. Les principales sources de données sont le Compte satellite du tourisme du Canada, les comptes des revenus et dépenses, les tableaux d'entrées-sorties et les fichiers de versement d'impôt T 4.

    Les recettes des administrations publiques comprennent les rentrées de fonds provenant des impôts sur les revenus (c. à d. sur les revenus d'emploi, les bénéfices des sociétés, le revenu net des entreprises non constituées en sociétés et le revenu net des entreprises publiques), des cotisations aux régimes d'assurance sociale (c. à d. le Régime de pensions du Canada et le Régime de rentes du Québec, l'assurance-emploi et l'indemnisation des accidents du travail), des taxes sur la production et les produits (comme les taxes de vente et foncières), et des ventes de biens et services gouvernementaux. Ces recettes sont divisées en sections pouvant être imputées au tourisme, la demande touristique intérieure et les exportations touristiques pour l'ensemble des administrations publiques et pour chacun des trois paliers de gouvernement (le gouvernement fédéral, les gouvernements provinciaux et territoriaux et les administrations municipales). Des estimations des recettes des administrations publiques que produit chaque cent dollars dépensés par l'ensemble des touristes et par les résidents et les non-résidents sont également présentées .La publication contient plusieurs graphiques et tableaux récapitulatifs montrant les recettes imputables au tourisme selon les paliers de gouvernement et selon la source de recettes. On trouve également des renseignements sur les concepts, les définitions, les sources de données et les méthodes utilisées dans le cadre de l'étude.

    Date de diffusion : 2010-11-10

  • Articles et rapports : 21-601-M2010092
    Description :

    L'objectif du présent document est de dresser un profil des organismes de bienfaisance enregistrés en régions rurales et urbaines.

    Date de diffusion : 2010-05-18
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Analyses (4)

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  • Articles et rapports : 12-001-X201000211378
    Description :

    L'une des clés de la réduction ou de l'éradication de la pauvreté dans le tiers monde est l'obtention d'information fiable sur les pauvres et sur leur emplacement, afin que les interventions et l'aide soient dirigées vers les personnes les plus nécessiteuses. L'estimation sur petits domaines est une méthode statistique utilisée pour surveiller la pauvreté et décider de la répartition de l'aide de façon à réaliser les Objectifs du millénaire pour le développement. Elbers, Lanjouw et Lanjouw (ELL) (2003) ont proposé, pour produire des mesures de la pauvreté fondées sur le revenu ou sur les dépenses, une méthode d'estimation sur petits domaines qui est mise en oeuvre par la Banque mondiale dans ses projets de cartographie de la pauvreté grâce à la participation des organismes statistiques centraux de nombreux pays du tiers monde, dont le Cambodge, le Laos, les Philippines, la Thaïlande et le Vietnam, et qui est intégrée dans le logiciel PovMap de la Banque mondiale. Dans le présent article, nous présentons la méthode ELL, qui consiste à modéliser d'abord les données d'enquête, puis à appliquer le modèle obtenu à des données de recensement, en nous penchant surtout sur la première phase, c'est-à-dire l'ajustement des modèles de régression, ainsi que sur les erreurs-types estimées à la deuxième phase. Nous présentons d'autres méthodes d'ajustement de modèles de régression, telles que la régression généralisée sur données d'enquête (RGE) (décrite dans Lohr (1999), chapitre 11) et celles utilisées dans les méthodes existantes d'estimations sur petits domaines, à savoir la méthode du meilleur prédicteur linéaire sans biais pseudo-empirique (pseudo-MPLSB) (You et Rao 2002) et la méthode itérative à équations d'estimation pondérées (IEEP) (You, Rao et Kovacevic 2003), et nous les comparons à la stratégie de modélisation de ELL. La différence la plus importante entre la méthode ELL et les autres techniques tient au fondement théorique de la méthode d'ajustement du modèle proposée par ELL. Nous nous servons d'un exemple fondé sur la Family Income and Expenses Survey des Philippines pour illustrer les différences entre les estimations des paramètres et leurs erreurs-types correspondantes, ainsi qu'entre les composantes de la variance générées par les diverses méthodes et nous étendons la discussion à l'effet de ces différences sur l'exactitude estimée des estimations sur petits domaines finales. Nous mettons l'accent sur la nécessité de produire de bonnes estimations des composantes de la variance, ainsi que des coefficients de régression et de leurs erreurs-types aux fins de l'estimation sur petits domaines de la pauvreté.

    Date de diffusion : 2010-12-21

  • Articles et rapports : 12-001-X201000211380
    Description :

    Diverses formes d'estimateurs de variance par linéarisation pour les estimateurs par calage généralisé sont définies en choisissant différents poids à appliquer a) aux résidus et b) aux coefficients de régression estimés utilisés dans le calcul des résidus. Des éléments de théorie sont présentés pour trois formes de l'estimateur par calage généralisé, à savoir l'estimateur par ratissage croisé classique, l'estimateur par calage basé sur le « maximum de vraisemblance » et l'estimateur par la régression généralisée, ainsi que pour les estimateurs de variance par linéarisation connexes. Une étude par simulation est effectuée en se servant des données d'une enquête sur la population active et d'une enquête sur les revenus et dépenses. Les propriétés des estimateurs sont évaluées en fonction de l'échantillonnage ainsi que de la non-réponse. L'étude révèle peu de différences entre les propriétés des divers estimateurs par calage pour un plan d'échantillonnage et un modèle de non-réponse donnés. En ce qui concerne les estimateurs de variance, l'approche consistant à pondérer les résidus par les poids de sondage peut être fortement biaisée en présence de non-réponse. L'approche de pondération des résidus par les poids calés a tendance à produire un biais nettement plus faible. Le choix de différents types de poids pour produire les coefficients de régression a peu d'incidence.

    Date de diffusion : 2010-12-21

  • Articles et rapports : 13-604-M2010067
    Description :

    Cette publication présente des estimations des recettes des administrations publiques attribuables au tourisme pour 2003 à 2009. Les estimations des recettes attribuables aux dépenses touristiques des non-résidents (c.-à.-d. les exportations touristiques) et des résidents (c.-à.-d. la demande touristique intérieure) sont aussi disponibles. Les principales sources de données sont le Compte satellite du tourisme du Canada, les comptes des revenus et dépenses, les tableaux d'entrées-sorties et les fichiers de versement d'impôt T 4.

    Les recettes des administrations publiques comprennent les rentrées de fonds provenant des impôts sur les revenus (c. à d. sur les revenus d'emploi, les bénéfices des sociétés, le revenu net des entreprises non constituées en sociétés et le revenu net des entreprises publiques), des cotisations aux régimes d'assurance sociale (c. à d. le Régime de pensions du Canada et le Régime de rentes du Québec, l'assurance-emploi et l'indemnisation des accidents du travail), des taxes sur la production et les produits (comme les taxes de vente et foncières), et des ventes de biens et services gouvernementaux. Ces recettes sont divisées en sections pouvant être imputées au tourisme, la demande touristique intérieure et les exportations touristiques pour l'ensemble des administrations publiques et pour chacun des trois paliers de gouvernement (le gouvernement fédéral, les gouvernements provinciaux et territoriaux et les administrations municipales). Des estimations des recettes des administrations publiques que produit chaque cent dollars dépensés par l'ensemble des touristes et par les résidents et les non-résidents sont également présentées .La publication contient plusieurs graphiques et tableaux récapitulatifs montrant les recettes imputables au tourisme selon les paliers de gouvernement et selon la source de recettes. On trouve également des renseignements sur les concepts, les définitions, les sources de données et les méthodes utilisées dans le cadre de l'étude.

    Date de diffusion : 2010-11-10

  • Articles et rapports : 21-601-M2010092
    Description :

    L'objectif du présent document est de dresser un profil des organismes de bienfaisance enregistrés en régions rurales et urbaines.

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