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  • Articles et rapports : 11F0019M2005254
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude examine les changements qui ont touché la concentration géographique des principaux groupes d'immigrants au Canada en ce qui a trait à leur destination initiale et redistribution subséquente au cours des deux dernières décennies. En même temps, elle porte sur le rôle des collectivités immigrantes déjà établies à l'égard du choix de leur lieu d'établissement par les nouveaux immigrants. Les résultats montrent une augmentation marquée des niveaux de concentration quant à la destination initiale parmi les principaux groupes d'immigrants tout au long des années 1970 et 1980, tendance qui disparaît au cours de la décennie suivante. La redistribution après l'immigration s'est faite généralement à petite échelle et a eu des effets non uniformes sur la modification de la concentration des destinations initiales chez les groupes d'immigrants et les cohortes d'arrivée à l'intérieur d'un groupe. Même dans le cas des groupes d'immigrants et de réfugiés dont l'établissement initial a été fortement influencé par les interventions du gouvernement, la redistribution n'a modifié que partiellement la répartition géographique générale. Enfin, l'étude montre que la taille de la collectivité immigrante déjà établie n'est pas un facteur important quant au choix de leur lieu d'établissement par les nouveaux immigrants, lorsque les effets fixes du lieu sont pris en compte.

    Date de diffusion : 2005-06-29

  • Articles et rapports : 11F0019M2005255
    Géographie : Canada
    Description :

    Le present article résume les conclusions de le document de recherché intitulée: Destinations initiales et redistribution des principaux groupes d'immigrants au Canada : changements au cours des deux dernières décennies. En 1981, environ 58 % des immigrants arrivés au Canada au cours des 10 années précédentes vivaient à Toronto, à Vancouver et à Montréal; en 2001, cette proportion était passée à 74 % (Statistique Canada 2003), ce qui a déclenché une discussion sur les avantages d'une « répartition géographique mieux équilibrée des immigrants » (Citoyenneté et Immigration Canada (CIC) 2001). Les politiques visant à orienter les immigrants vers d'autres destinations que les villes carrefour de plusieurs pays occidentaux sont axées sur le choix de la destination finale et peu d'efforts ont été déployés pour influencer la mobilité par la suite. Mais ces politiques n'auront les résultats attendus que si les régions qui ne servent pas de porte d'entrée arrivent à conserver les immigrants ou à maintenir l'équilibre entre la migration interne et la migration externe. À cette fin, la présente étude examine dans quelle mesure la concentration géographique des principaux groupes d'immigrants arrivés au Canada au cours des deux dernières décennies s'est modifiée au fil du temps et procède pour ce faire à une comparaison entre les immigrants arrivés pendant les années 1970, 1980 et 1990, d'abord au point de vue de leur concentration dans les destinations initiales, puis de leur dispersion géographique subséquente. Elle accorde une attention particulière au profil de dispersion des groupes dont le lieu d'établissement initial avait été influencé par des politiques gouvernementales et examine le rôle des collectivités d'immigrants déjà établies dans la répartition géographique des nouveaux immigrants.

    Date de diffusion : 2005-06-29

  • Articles et rapports : 11F0019M1998114
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce document examine la mobilité interprovinciale de la main-d'oeuvre des immigrants comparativement à celle des Canadiens de naissance. Les Canadiens nés à l'étranger diffèrent énormément de leurs homologues nés au pays. La population née à l'étranger est géographiquement concentrée dans quelques provinces et quelques grandes villes. Dans l'ensemble, ces Canadiens sont plus âgés, plus instruits, plus susceptibles d'être mariés et d'avoir des enfants à charge et des ménages constitués d'un plus grand nombre de personnes. Ils sont moins engagés dans des études ou une formation à plein temps. Ils réussissent relativement mieux sur le marché du travail. Par conséquent, une plus grande proportion d'entre eux touchent des prestations de sécurité sociale directement associées à la présence d'enfants à charge ou à l'âge, par exemple, des prestations d'allocation familiale et des revenus de pension, mais un moins grand nombre touchent des prestations liées au rendement du marché du travail, telles que des prestations d'assurance-emploi et d'assurance sociale.

    Dans l'ensemble, la mobilité interprovinciale des immigrants est relativement moins grande, tant à l'échelle nationale que dans presque chaque province. Les destinations des immigrants qui changent de province sont géographiquement très concentrées. La plupart d'entre eux s'établissent en Alberta, en Ontario et en Colombie-Britannique. Si une proportion beaucoup plus faible changent de province pour des questions d'ordre économique, bon nombre le font à des fins d'études ou après leur retraite. Les revenus déclarés dans la province de migration sont beaucoup plus élevés. Cette situation découle tant de l'augmentation des salaires que du plus grand nombre d'heures travaillées après la migration.

    Les résultats de la régression multidimensionnelle montrent qu'il n'existe aucune différence structurelle statistiquement significative entre les facteurs déterminants des décisions de migration interprovinciale des Canadiens nés à l'étranger et ceux des Canadiens de naissance comparables. La probabilité de changer de province, qu'il s'agisse des immigrants ou des Canadiens nés au pays, est plus élevée si les salaires escomptés sont relativement meilleurs ailleurs, plus faible s'il est relativement plus difficile de trouver un emploi ailleurs, plus élevée chez les travailleurs plus instruits, plus faible chez des Canadiens francophones, plus faible parmi les travailleurs syndiqués et elle diminue en fonction de l'âge, de la taille de la famille et de la durée de l'emploi. Aucune des variables substituts des interventions du gouvernement à l'égard du marché du travail n'influe de façon importante sur la décision de changer de province. Les taux plus faibles de mobilité chez les Canadiens nés à l'étranger sont entièrement attribuables aux différences de répartition et de composition entre les populations immigrantes et non immigrantes.

    Ces conclusions ont des incidences directes sur les politiques de sélection des immigrants. Pour stimuler la croissance de la population et de la main-d''uvre dans des provinces économiquement moins prospères, il semblerait approprié et efficace de modifier le système actuel de sélection et d'approbation des immigrants, en considérant la destination comme facteur supplémentaire et en accordant des points aux requérants qui choisissent de s'établir dans des provinces désignées.

    Date de diffusion : 1998-09-23
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Analyses (3)

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  • Articles et rapports : 11F0019M2005254
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude examine les changements qui ont touché la concentration géographique des principaux groupes d'immigrants au Canada en ce qui a trait à leur destination initiale et redistribution subséquente au cours des deux dernières décennies. En même temps, elle porte sur le rôle des collectivités immigrantes déjà établies à l'égard du choix de leur lieu d'établissement par les nouveaux immigrants. Les résultats montrent une augmentation marquée des niveaux de concentration quant à la destination initiale parmi les principaux groupes d'immigrants tout au long des années 1970 et 1980, tendance qui disparaît au cours de la décennie suivante. La redistribution après l'immigration s'est faite généralement à petite échelle et a eu des effets non uniformes sur la modification de la concentration des destinations initiales chez les groupes d'immigrants et les cohortes d'arrivée à l'intérieur d'un groupe. Même dans le cas des groupes d'immigrants et de réfugiés dont l'établissement initial a été fortement influencé par les interventions du gouvernement, la redistribution n'a modifié que partiellement la répartition géographique générale. Enfin, l'étude montre que la taille de la collectivité immigrante déjà établie n'est pas un facteur important quant au choix de leur lieu d'établissement par les nouveaux immigrants, lorsque les effets fixes du lieu sont pris en compte.

    Date de diffusion : 2005-06-29

  • Articles et rapports : 11F0019M2005255
    Géographie : Canada
    Description :

    Le present article résume les conclusions de le document de recherché intitulée: Destinations initiales et redistribution des principaux groupes d'immigrants au Canada : changements au cours des deux dernières décennies. En 1981, environ 58 % des immigrants arrivés au Canada au cours des 10 années précédentes vivaient à Toronto, à Vancouver et à Montréal; en 2001, cette proportion était passée à 74 % (Statistique Canada 2003), ce qui a déclenché une discussion sur les avantages d'une « répartition géographique mieux équilibrée des immigrants » (Citoyenneté et Immigration Canada (CIC) 2001). Les politiques visant à orienter les immigrants vers d'autres destinations que les villes carrefour de plusieurs pays occidentaux sont axées sur le choix de la destination finale et peu d'efforts ont été déployés pour influencer la mobilité par la suite. Mais ces politiques n'auront les résultats attendus que si les régions qui ne servent pas de porte d'entrée arrivent à conserver les immigrants ou à maintenir l'équilibre entre la migration interne et la migration externe. À cette fin, la présente étude examine dans quelle mesure la concentration géographique des principaux groupes d'immigrants arrivés au Canada au cours des deux dernières décennies s'est modifiée au fil du temps et procède pour ce faire à une comparaison entre les immigrants arrivés pendant les années 1970, 1980 et 1990, d'abord au point de vue de leur concentration dans les destinations initiales, puis de leur dispersion géographique subséquente. Elle accorde une attention particulière au profil de dispersion des groupes dont le lieu d'établissement initial avait été influencé par des politiques gouvernementales et examine le rôle des collectivités d'immigrants déjà établies dans la répartition géographique des nouveaux immigrants.

    Date de diffusion : 2005-06-29

  • Articles et rapports : 11F0019M1998114
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce document examine la mobilité interprovinciale de la main-d'oeuvre des immigrants comparativement à celle des Canadiens de naissance. Les Canadiens nés à l'étranger diffèrent énormément de leurs homologues nés au pays. La population née à l'étranger est géographiquement concentrée dans quelques provinces et quelques grandes villes. Dans l'ensemble, ces Canadiens sont plus âgés, plus instruits, plus susceptibles d'être mariés et d'avoir des enfants à charge et des ménages constitués d'un plus grand nombre de personnes. Ils sont moins engagés dans des études ou une formation à plein temps. Ils réussissent relativement mieux sur le marché du travail. Par conséquent, une plus grande proportion d'entre eux touchent des prestations de sécurité sociale directement associées à la présence d'enfants à charge ou à l'âge, par exemple, des prestations d'allocation familiale et des revenus de pension, mais un moins grand nombre touchent des prestations liées au rendement du marché du travail, telles que des prestations d'assurance-emploi et d'assurance sociale.

    Dans l'ensemble, la mobilité interprovinciale des immigrants est relativement moins grande, tant à l'échelle nationale que dans presque chaque province. Les destinations des immigrants qui changent de province sont géographiquement très concentrées. La plupart d'entre eux s'établissent en Alberta, en Ontario et en Colombie-Britannique. Si une proportion beaucoup plus faible changent de province pour des questions d'ordre économique, bon nombre le font à des fins d'études ou après leur retraite. Les revenus déclarés dans la province de migration sont beaucoup plus élevés. Cette situation découle tant de l'augmentation des salaires que du plus grand nombre d'heures travaillées après la migration.

    Les résultats de la régression multidimensionnelle montrent qu'il n'existe aucune différence structurelle statistiquement significative entre les facteurs déterminants des décisions de migration interprovinciale des Canadiens nés à l'étranger et ceux des Canadiens de naissance comparables. La probabilité de changer de province, qu'il s'agisse des immigrants ou des Canadiens nés au pays, est plus élevée si les salaires escomptés sont relativement meilleurs ailleurs, plus faible s'il est relativement plus difficile de trouver un emploi ailleurs, plus élevée chez les travailleurs plus instruits, plus faible chez des Canadiens francophones, plus faible parmi les travailleurs syndiqués et elle diminue en fonction de l'âge, de la taille de la famille et de la durée de l'emploi. Aucune des variables substituts des interventions du gouvernement à l'égard du marché du travail n'influe de façon importante sur la décision de changer de province. Les taux plus faibles de mobilité chez les Canadiens nés à l'étranger sont entièrement attribuables aux différences de répartition et de composition entre les populations immigrantes et non immigrantes.

    Ces conclusions ont des incidences directes sur les politiques de sélection des immigrants. Pour stimuler la croissance de la population et de la main-d''uvre dans des provinces économiquement moins prospères, il semblerait approprié et efficace de modifier le système actuel de sélection et d'approbation des immigrants, en considérant la destination comme facteur supplémentaire et en accordant des points aux requérants qui choisissent de s'établir dans des provinces désignées.

    Date de diffusion : 1998-09-23
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