Recherche par mot-clé

Les Canadiens voyagent à l'étranger pour des raisons aussi nombreuses que différentes. Pour certains, il s'agit d'échapper à la routine et aux tensions quotidiennes, de reprendre des forces et de s'éloigner du train-train ordinaire pendant quelque temps. Ces Canadiens souhaitent se détendre, découvrir des cultures différentes, élargir leurs horizons, rendre visite à des amis éloignés ou simplement partie à l'aventure pour le plaisir du dépaysement. Pour d'autres Canadiens, les voyages à l'étranger sont motivés par les affaires, l'emploi, la formation ou un congrès.

Les résultats de l'enquête biennale sur les voyages des Canadiens, dont les données ont été récemment diffusées pour le premier trimestre 1996, indiquent que les Canadiens ont voyagé moins chez eux au cours des trois premiers mois de 1996 qu'ils ne l'ont fait durant la même période en 1994. Ainsi, le nombre total de voyages qu'ils ont effectué s'est établi à plus de 31 millions, en baisse de 9.4 % par rapport au premier trimestre de 1994 (tableau 1). Les baisses étaient particulièrement marquées aux mois de février et de mars 1996, alors que les Canadiens avaient réduit leurs voyages de 12.6 % et 11.9 % respectivement.

Dans ce document, on décrit le rapprochement du compte courant de la balance des paiements du Canada et des États-Unis afin d'indiquer comment les estimations apparaîtraient si les deux pays utilisaient des définitions, des méthodologies et des sources de données communes.

Dans ce document, on présente le processus suivi par Statistique Canada pour mettre en oeuvre les nouvelles définitions liées au commerce des services comme étape importante pour produire des données plus comparables internationalement.

Le 24 février 1995, les gouvernements du Canada et des États-Unis signaient l'accord "Ciels ouverts" permettant aux compagnies aériennes, tant canadiennes qu'américaines, d'établir des liaisons directes entre n'importe quelle paire de villes sises de part et d'autre de la frontière. Cette ouverture de l'espace aérien, qui s'inscrit d'ailleurs dans un mouvement général de libre-échange avec notre principal partenaire commercial, vient donc stimuler la concurrence entre les transporteurs aériens nord-américains sur le plus important marché transfrontalier au monde. Les dès ne sont pas encore complètement tirés quant aux répercussions de l'accord sur les parts de marché que les compagnies s'accapareront à long terme. En effet, l'accord prévoit une période de transition de trois ans pour permettre aux transporteurs de s'ajuster aux nouvelles conditions du marché. Même si les clauses de l'accord ne sont pas toutes en vigueur en ce moment, des changements dans l'industrie sont déjà perceptibles. Comme il serait prématuré de porter des conclusions quant aux répercussions résultant de cet accord, nous traiterons dans un premier temps, de l'effet de l'accord sur les parts de marchés que s'accaparent les compagnies américaines et canadiennes un an après la signature de "Ciels ouverts". Dans un second temps, nous nous pencherons sur les retombées possibles de l'accord sur les divers intervenants. Cette analyse utilise les données de l'Enquête sur les voyages internationaux (EVI) menée par Statistique Canada.

Ce texte a été préparé dans le but d'éclairer les lecteurs d'info-voyages au sujet de l'utilité d'un nouvel outil d'anlyse que sont les Indicateurs nationaux du tourisme. Ces estimations, qui mesurent les tendances du tourisme au Canada, seront mises en perspective ici, en tenant compte des concepts et des définitions qui ont servi à leur élaboration.

Les résultats de l'enquête biennale sur les voyages des Canadiens, dont les données ont été récemment diffusées pour le premier trimestre 1996, indiquent que les Canadiens ont voyagé moins chez eux au cours des trois premiers mois de 1996 qu'ils ne l'ont fait durant la même période en 1994. Ainsi, le nombre total de voyages qu'ils ont effectué s'est établi à plus de 31 millions, en baisse de 9.4 % par rapport au premier trimestre de 1994 (tableau 1). Les baisses étaient particulièrement marquées aux mois de février et de mars 1996, alors que les Canadiens avaient réduit leurs voyages de 12.6 % et 11.9 % respectivement.

Les Canadiens voyagent à l'étranger pour des raisons aussi nombreuses que différentes. Pour certains, il s'agit d'échapper à la routine et aux tensions quotidiennes, de reprendre des forces et de s'éloigner du train-train ordinaire pendant quelque temps. Ces Canadiens souhaitent se détendre, découvrir des cultures différentes, élargir leurs horizons, rendre visite à des amis éloignés ou simplement partie à l'aventure pour le plaisir du dépaysement. Pour d'autres Canadiens, les voyages à l'étranger sont motivés par les affaires, l'emploi, la formation ou un congrès.

Dans ce document, on décrit le rapprochement du compte courant de la balance des paiements du Canada et des États-Unis afin d'indiquer comment les estimations apparaîtraient si les deux pays utilisaient des définitions, des méthodologies et des sources de données communes.

Dans ce document, on présente le processus suivi par Statistique Canada pour mettre en oeuvre les nouvelles définitions liées au commerce des services comme étape importante pour produire des données plus comparables internationalement.

Le 24 février 1995, les gouvernements du Canada et des États-Unis signaient l'accord "Ciels ouverts" permettant aux compagnies aériennes, tant canadiennes qu'américaines, d'établir des liaisons directes entre n'importe quelle paire de villes sises de part et d'autre de la frontière. Cette ouverture de l'espace aérien, qui s'inscrit d'ailleurs dans un mouvement général de libre-échange avec notre principal partenaire commercial, vient donc stimuler la concurrence entre les transporteurs aériens nord-américains sur le plus important marché transfrontalier au monde. Les dès ne sont pas encore complètement tirés quant aux répercussions de l'accord sur les parts de marché que les compagnies s'accapareront à long terme. En effet, l'accord prévoit une période de transition de trois ans pour permettre aux transporteurs de s'ajuster aux nouvelles conditions du marché. Même si les clauses de l'accord ne sont pas toutes en vigueur en ce moment, des changements dans l'industrie sont déjà perceptibles. Comme il serait prématuré de porter des conclusions quant aux répercussions résultant de cet accord, nous traiterons dans un premier temps, de l'effet de l'accord sur les parts de marchés que s'accaparent les compagnies américaines et canadiennes un an après la signature de "Ciels ouverts". Dans un second temps, nous nous pencherons sur les retombées possibles de l'accord sur les divers intervenants. Cette analyse utilise les données de l'Enquête sur les voyages internationaux (EVI) menée par Statistique Canada.

Ce texte a été préparé dans le but d'éclairer les lecteurs d'info-voyages au sujet de l'utilité d'un nouvel outil d'anlyse que sont les Indicateurs nationaux du tourisme. Ces estimations, qui mesurent les tendances du tourisme au Canada, seront mises en perspective ici, en tenant compte des concepts et des définitions qui ont servi à leur élaboration.