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Tout (4)

Tout (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2005267
    Géographie : Canada
    Description :

    Nous analysons la mobilité intergénérationnelle du revenu des Canadiens nés de parents immigrants d'après les données du Recensement de 2001. Nous brossons un portrait détaillé de la population canadienne et fournissons des estimations de la mobilité intergénérationnelle chez les enfants d'immigrants originaires de 70 pays différents. Le degré de persistance, estimé au moyen de modèles de régression vers la moyenne, est à peu près le même pour les immigrants que pour l'ensemble de la population, et la mobilité intergénérationnelle chez les immigrants est plus importante au Canada qu'aux États Unis. Nous recourons également à la régression quantile afin de distinguer le rôle du capital social de celui d'autres contraintes limitant la mobilité et constatons que ces contraintes existent et sont associées au niveau de scolarité du père.

    Date de diffusion : 2005-10-25

  • Revues et périodiques : 89-614-X
    Géographie : Canada
    Description :

    En suivant le cheminement des nouveaux arrivants au fil du temps, l'ELIC permet d'aider les chercheurs et les décideurs à cesser de simplement décrire les résultats du processus d'intégration des immigrants pour commencer à examiner la façon dont les nouveaux arrivants s'y sont pris pour obtenir ces résultats, bref, à répondre aux « comment » et « pourquoi » de l'intégration. Bien que l'enquête ne prendra sa pleine valeur qu'au terme des trois cycles de collecte, ce tout premier n'en fournit pas moins d'importantes données de référence.

    La présente publication s'intéresse aux premiers pas de la démarche d'établissement, soit d'avant la migration jusqu'à six mois après l'arrivée. Nous y faisons d'abord un survol de la population de l'ELIC, examinant les caractéristiques des immigrants avant qu'ils ne migrent et à leur arrivée. Suit un examen détaillé des six premiers mois de la démarche d'établissement sous l'angle de questions telles que la santé, le logement, la mobilité, les études et la formation depuis l'arrivée, l'emploi, le revenu et la perception qu'ont les immigrants en général de leur démarche d'établissement. La dernière section s'attarde un peu plus aux problèmes et aux difficultés qu'éprouvent les nouveaux arrivants dans quatre grands domaines d'intégration : l'accès aux services de santé, la recherche d'un logement, l'accès aux études et à la formation et la recherche d'un emploi. Les défis de l'intégration sont examinés dans l'optique de l'aide requise, de l'aide reçue et de qui elle a été reçue, ainsi que de l'aide requise mais non reçue.

    Date de diffusion : 2005-09-13

  • Articles et rapports : 11F0019M2005262
    Géographie : Canada
    Description :

    Il est question dans ce document de l'accentuation de l'écart de gains entre les immigrants et les Canadiens de souche depuis deux décennies, et des explications actuelles de cette détérioration du marché du travail parmi les immigrants récents en particulier. Le document fait état également de l'écart grandissant du taux de faible revenu entre les immigrants et les non-immigrants. Tout comme les études antérieures, l'auteur conclut que l'écart de gains à l'arrivée s'est élargi pour les immigrants qui sont arrivés au Canada pendant les années 1990, comparativement à ceux des années 1970. En outre, l'écart du taux de faible revenu s'élargit sans cesse. Le taux de faible revenu a augmenté parmi les immigrants (particulièrement les immigrants récents) pendant les années 1990, mais il a baissé chez les personnes nées au Canada. La hausse du taux de faible revenu chez les immigrants a été généralisée et elle a touché tous les groupes de scolarité et les groupes d'âge, et la plupart des pays d'origine (sauf les « régions d'origine traditionnelle »). Les immigrants ayant un diplôme universitaire n'ont pas été exclus de cette hausse du taux de faible revenu, malgré les débats au sujet de la demande croissante de travailleurs très spécialisés au Canada. Étant donné à la fois la hausse du taux de faible revenu chez les immigrants et leur proportion sans cesse croissante dans la population, dans les principales villes canadiennes, la presque totalité de l'augmentation du taux de faible revenu dans les villes pendant les années 1990 s'est produite principalement dans la population immigrante.

    Nous examinons ici également les explications données dans les ouvrages publiés de la dégradation des résultats économiques des immigrants. Trois raisons principales sont cernées comme étant importantes sur le plan empirique, qui toutes tiennent à la détérioration des résultats sur le marché du travail. En premier lieu, l'évolution des caractéristiques des immigrants (p. ex., différentes régions d'origine, niveaux de scolarité à la hausse) semble expliquer environ le tiers de l'élargissement de l'écart de gains à l'entrée (c. à d. l'écart entre les immigrants et leurs homologues nés au Canada). En deuxième lieu, la baisse de la rétribution économique de l'expérience de travail acquise à l'étranger semble jouer un rôle également important. En troisième lieu, il y a eu une détérioration générale des résultats sur le marché du travail de tous les nouveaux entrants sur le marché du travail canadien et, lorsque de nouveaux immigrants arrivent au Canada, on observe un phénomène semblable dans leur cas, quel que soit leur âge. D'autres explications possibles sont également examinées. Il importe de souligner que la décroissance de la rétribution de l'instruction ne semble pas être au nombre des facteurs auxquels la détérioration serait attribuable. Les immigrants, en moyenne, reçoivent une plus faible rétribution économique de leur instruction acquise avant l'immigration (mais non pas de l'instruction acquise au Canada), mais cette situation n'a pas beaucoup évolué au cours des deux dernières décennies.

    Date de diffusion : 2005-06-27

  • Articles et rapports : 11F0019M2005241
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans le présent document, nous examinons l'effet des quartiers sur la croissance des salaires ainsi que sur d'autres résultats obtenus sur le marché du travail par les immigrants de sexe masculin au Canada au moyen des données des recensements de 1981, 1986, 1991 et 1996. Même si nous établissons l'appartenance principalement d'après le pays de naissance, nous examinons également l'appartenance ethnique, la langue et l'appartenance à une minorité visible pour déterminer la robustesse des résultats. Conformément aux résultats observés aux États Unis, nous constatons que les quartiers fondées sur le pays de naissance ont un effet négatif sur la croissance des salaires des immigrants au cours d'une période de dix ans. En outre, nous constatons que le modèle de croissance salariale est robuste à différentes périodes et différentes années de référence ainsi qu'à l'utilisation de la langue et de l'appartenance ethnique pour déterminer le groupe d'appartenance. Lorsque nous utilisons le pays de naissance comme indice d'appartenance, nous constatons que l'exposition a un effet négatif sur la croissance des gains totaux et hebdomadaires ainsi que sur les salaires initiaux des cohortes d'entrée. Même s'il y a peu de preuves de l'effet des quartiers sur l'évolution de l'emploi, nous constatons que l'exposition a un effet négatif sur les taux d'emploi à l'arrivée au pays des cohortes les plus récentes. En outre, même si l'effet global des quartiers sur la croissance des salaires est négatif, nous constatons que les quartiers ont un effet différent sur différentes cohortes, à savoir, un effet positif sur la croissance des salaires des cohortes plus récentes et un effet négatif sur celle des salaires des cohortes antérieures.

    Date de diffusion : 2005-02-25
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Analyses (4)

Analyses (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2005267
    Géographie : Canada
    Description :

    Nous analysons la mobilité intergénérationnelle du revenu des Canadiens nés de parents immigrants d'après les données du Recensement de 2001. Nous brossons un portrait détaillé de la population canadienne et fournissons des estimations de la mobilité intergénérationnelle chez les enfants d'immigrants originaires de 70 pays différents. Le degré de persistance, estimé au moyen de modèles de régression vers la moyenne, est à peu près le même pour les immigrants que pour l'ensemble de la population, et la mobilité intergénérationnelle chez les immigrants est plus importante au Canada qu'aux États Unis. Nous recourons également à la régression quantile afin de distinguer le rôle du capital social de celui d'autres contraintes limitant la mobilité et constatons que ces contraintes existent et sont associées au niveau de scolarité du père.

    Date de diffusion : 2005-10-25

  • Revues et périodiques : 89-614-X
    Géographie : Canada
    Description :

    En suivant le cheminement des nouveaux arrivants au fil du temps, l'ELIC permet d'aider les chercheurs et les décideurs à cesser de simplement décrire les résultats du processus d'intégration des immigrants pour commencer à examiner la façon dont les nouveaux arrivants s'y sont pris pour obtenir ces résultats, bref, à répondre aux « comment » et « pourquoi » de l'intégration. Bien que l'enquête ne prendra sa pleine valeur qu'au terme des trois cycles de collecte, ce tout premier n'en fournit pas moins d'importantes données de référence.

    La présente publication s'intéresse aux premiers pas de la démarche d'établissement, soit d'avant la migration jusqu'à six mois après l'arrivée. Nous y faisons d'abord un survol de la population de l'ELIC, examinant les caractéristiques des immigrants avant qu'ils ne migrent et à leur arrivée. Suit un examen détaillé des six premiers mois de la démarche d'établissement sous l'angle de questions telles que la santé, le logement, la mobilité, les études et la formation depuis l'arrivée, l'emploi, le revenu et la perception qu'ont les immigrants en général de leur démarche d'établissement. La dernière section s'attarde un peu plus aux problèmes et aux difficultés qu'éprouvent les nouveaux arrivants dans quatre grands domaines d'intégration : l'accès aux services de santé, la recherche d'un logement, l'accès aux études et à la formation et la recherche d'un emploi. Les défis de l'intégration sont examinés dans l'optique de l'aide requise, de l'aide reçue et de qui elle a été reçue, ainsi que de l'aide requise mais non reçue.

    Date de diffusion : 2005-09-13

  • Articles et rapports : 11F0019M2005262
    Géographie : Canada
    Description :

    Il est question dans ce document de l'accentuation de l'écart de gains entre les immigrants et les Canadiens de souche depuis deux décennies, et des explications actuelles de cette détérioration du marché du travail parmi les immigrants récents en particulier. Le document fait état également de l'écart grandissant du taux de faible revenu entre les immigrants et les non-immigrants. Tout comme les études antérieures, l'auteur conclut que l'écart de gains à l'arrivée s'est élargi pour les immigrants qui sont arrivés au Canada pendant les années 1990, comparativement à ceux des années 1970. En outre, l'écart du taux de faible revenu s'élargit sans cesse. Le taux de faible revenu a augmenté parmi les immigrants (particulièrement les immigrants récents) pendant les années 1990, mais il a baissé chez les personnes nées au Canada. La hausse du taux de faible revenu chez les immigrants a été généralisée et elle a touché tous les groupes de scolarité et les groupes d'âge, et la plupart des pays d'origine (sauf les « régions d'origine traditionnelle »). Les immigrants ayant un diplôme universitaire n'ont pas été exclus de cette hausse du taux de faible revenu, malgré les débats au sujet de la demande croissante de travailleurs très spécialisés au Canada. Étant donné à la fois la hausse du taux de faible revenu chez les immigrants et leur proportion sans cesse croissante dans la population, dans les principales villes canadiennes, la presque totalité de l'augmentation du taux de faible revenu dans les villes pendant les années 1990 s'est produite principalement dans la population immigrante.

    Nous examinons ici également les explications données dans les ouvrages publiés de la dégradation des résultats économiques des immigrants. Trois raisons principales sont cernées comme étant importantes sur le plan empirique, qui toutes tiennent à la détérioration des résultats sur le marché du travail. En premier lieu, l'évolution des caractéristiques des immigrants (p. ex., différentes régions d'origine, niveaux de scolarité à la hausse) semble expliquer environ le tiers de l'élargissement de l'écart de gains à l'entrée (c. à d. l'écart entre les immigrants et leurs homologues nés au Canada). En deuxième lieu, la baisse de la rétribution économique de l'expérience de travail acquise à l'étranger semble jouer un rôle également important. En troisième lieu, il y a eu une détérioration générale des résultats sur le marché du travail de tous les nouveaux entrants sur le marché du travail canadien et, lorsque de nouveaux immigrants arrivent au Canada, on observe un phénomène semblable dans leur cas, quel que soit leur âge. D'autres explications possibles sont également examinées. Il importe de souligner que la décroissance de la rétribution de l'instruction ne semble pas être au nombre des facteurs auxquels la détérioration serait attribuable. Les immigrants, en moyenne, reçoivent une plus faible rétribution économique de leur instruction acquise avant l'immigration (mais non pas de l'instruction acquise au Canada), mais cette situation n'a pas beaucoup évolué au cours des deux dernières décennies.

    Date de diffusion : 2005-06-27

  • Articles et rapports : 11F0019M2005241
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans le présent document, nous examinons l'effet des quartiers sur la croissance des salaires ainsi que sur d'autres résultats obtenus sur le marché du travail par les immigrants de sexe masculin au Canada au moyen des données des recensements de 1981, 1986, 1991 et 1996. Même si nous établissons l'appartenance principalement d'après le pays de naissance, nous examinons également l'appartenance ethnique, la langue et l'appartenance à une minorité visible pour déterminer la robustesse des résultats. Conformément aux résultats observés aux États Unis, nous constatons que les quartiers fondées sur le pays de naissance ont un effet négatif sur la croissance des salaires des immigrants au cours d'une période de dix ans. En outre, nous constatons que le modèle de croissance salariale est robuste à différentes périodes et différentes années de référence ainsi qu'à l'utilisation de la langue et de l'appartenance ethnique pour déterminer le groupe d'appartenance. Lorsque nous utilisons le pays de naissance comme indice d'appartenance, nous constatons que l'exposition a un effet négatif sur la croissance des gains totaux et hebdomadaires ainsi que sur les salaires initiaux des cohortes d'entrée. Même s'il y a peu de preuves de l'effet des quartiers sur l'évolution de l'emploi, nous constatons que l'exposition a un effet négatif sur les taux d'emploi à l'arrivée au pays des cohortes les plus récentes. En outre, même si l'effet global des quartiers sur la croissance des salaires est négatif, nous constatons que les quartiers ont un effet différent sur différentes cohortes, à savoir, un effet positif sur la croissance des salaires des cohortes plus récentes et un effet négatif sur celle des salaires des cohortes antérieures.

    Date de diffusion : 2005-02-25
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