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  • Profil d'une communauté ou d'une région : 99-014-X2011020
    Description :

    À l'aide des données de l'Enquête nationale auprès des ménages (ENM) de 2011, ce profil fournit un aperçu statistique des variables portant sur l'Immigration et la diversité ethnoculturelle, les peuples autochtones, la scolarité, le travail, la mobilité et la migration, le revenu et les gains, et le logement et les coûts d’habitation.

    Dans la gamme des produits de l'Enquête nationale auprès des ménages, les groupes de variables connexes sont appelés « composantes de diffusion des profils ». Ces dernières sont offertes avec les diffusions principales des variables du cycle de l'ENM, en commençant par les diffusions Immigration et diversité ethnoculturelle, et Peuples autochtones. Ensemble, elles formeront le Profil de l'ENM complet de toutes les variables pour chaque niveau géographique. Les données relatives aux composantes du profil sont offertes au niveau du Canada, des provinces et des territoires, des divisions de recensement et des subdivisions de recensement, au niveau des régions métropolitaines de recensement et des agglomérations de recensement, au niveau des secteurs de recensement, ainsi qu'au niveau des circonscriptions électorales fédérales (fondées sur l'Ordonnance de représentation de 2013).

    Date de diffusion : 2014-05-21

  • Articles et rapports : 11-622-M2012023
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude porte sur le processus amenant les migrants à réaliser des gains salariaux à la suite de leur migration; l'examen porte plus particulièrement sur l'avantage associé à la migration vers des marchés du travail métropolitains dynamiques et de grande taille, Toronto servant à cet égard de point de référence. On peut observer deux profils de gains distincts associés à la migration. Le premier correspond à une augmentation immédiate du revenu du travailleur à la suite de la migration. Le second consiste en une progression accélérée du revenu après la migration. Le gain immédiat est associé à l'obtention d'un poste au sein d'une entreprise plus productive, ou encore à un meilleur appariement entre les compétences et habiletés du travailleur et les tâches associées à son poste. L'accélération du gain de revenu est pour sa part rattachée à des processus qui exigent un certain temps, par exemple l'apprentissage ou le changement d'emploi au fil de la recherche d'une plus grande compatibilité entre travailleurs et entreprises. Notre évaluation porte ici sur l'hypothèse que les économies reliées aux grandes régions métropolitaines permettent aux travailleurs de profiter au départ d'un avantage découlant d'une hausse ponctuelle de productivité et/ou d'un processus dynamique permettant d'accélérer la progression de leur revenu grâce à l'apprentissage et à un meilleur appariement. Divers ensembles de données et méthodologies, y compris la méthode de l'appariement par scores de propension, servent à évaluer les profils de progression du revenu associés à la migration à Toronto.

    Date de diffusion : 2012-05-03

  • Articles et rapports : 11-010-X200800510592
    Géographie : Province ou territoire
    Description :

    Au cours des dernières années, la frénésie des ressources a engendré une croissance sans précédent en Saskatchewan et à Terre-Neuve. En plus de donner un coup d'envoi à l'économie, cette croissance a renversé les sorties migratoires à long terme de leur population.

    Date de diffusion : 2008-05-15

  • Profil d'une communauté ou d'une région : 94-581-X2006001
    Description :

    À l'aide des données du Recensement de 2006, ce profil fournit un aperçu statistique des variables revenu et gains, et logement et coûts d'habitation, en sus de toutes les autres variables qui ont déjà été diffusées, pour le Canada, les provinces, les territoires, les divisions de recensement et les subdivisions de recensement.

    Dans la gamme des produits du recensement, des groupements de variables comme celui-ci sont appelés « composantes de diffusion des profils ». Ils sont offerts avec les diffusions principales de variables du cycle de recensement, commençant avec les variables âge et sexe. Ensemble, ils formeront un profil cumulatif complet de toutes les variables pour tous les échelons géographiques, en plus d'un profil cumulatif complet pour les subdivisions de recensement abolies.

    Commençant avec le jour principal de diffusion des variables âge et sexe, et avec les principaux jours de diffusion suivants, les données des composantes de profil sont diffusées par thèmes au niveau du Canada, des provinces et territoires, des divisions de recensement et subdivisions de recensement, au niveau des régions métropolitaines de recensement, des agglomérations de recensement et des secteurs de recensement, et au niveau des circonscriptions électorales fédérales (fondées sur l'Ordonnance de représentation de 2003). Pour toutes les autres régions géographiques normalisées, notamment les aires de diffusion, les régions urbaines, les localités désignées et les régions de tri d'acheminement, les données seront diffusées environ quatre semaines après les principaux jours de diffusion.

    Date de diffusion : 2008-05-01

  • Profil d'une communauté ou d'une région : 94-581-X2006007
    Description :

    À l'aide des données du Recensement de 2006, ce profil fournit un aperçu statistique des variables revenu et gains, et logement et coûts d'habitation, en sus de toutes les autres variables qui ont déjà été diffusées, pour le Canada, les provinces, les territoires et les circonscriptions électorales fédérales (Ordonnance de représentation de 2003).

    Dans la gamme des produits du recensement, des groupements de variables comme celui-ci sont appelés « composantes de diffusion des profils ». Ils sont offerts avec les diffusions principales de variables du cycle de recensement, commençant avec les variables âge et sexe. Ensemble, ils formeront un profil cumulatif complet de toutes les variables pour tous les échelons géographiques, en plus d'un profil cumulatif complet pour les subdivisions de recensement abolies.

    Commençant avec le jour principal de diffusion des variables âge et sexe, et avec les principaux jours de diffusion suivants, les données des composantes de profil sont diffusées par thèmes au niveau du Canada, des provinces et territoires, des divisions de recensement et subdivisions de recensement, au niveau des régions métropolitaines de recensement, des agglomérations de recensement et des secteurs de recensement, et au niveau des circonscriptions électorales fédérales (fondées sur l'Ordonnance de représentation de 2003). Pour toutes les autres régions géographiques normalisées, notamment les aires de diffusion, les régions urbaines, les localités désignées et les régions de tri d'acheminement, les données seront diffusées environ quatre semaines après les principaux jours de diffusion.

    Date de diffusion : 2008-05-01

  • Articles et rapports : 11F0019M2007289
    Géographie : Canada
    Description :

    La mesure dans laquelle les travailleurs quittent le pays a suscité un grand débat au Canada - et ailleurs - vers la fin des années 1990, bien que des données empiriques récentes révèlent que, après tout, ce phénomène n'était pas si généralisé et que, ces dernières années, les taux de sortie ont nettement diminué. Il y a cependant un aspect de la dynamique de la mobilité internationale qui n'a pas encore été abordé : celui de l'incidence de cette sortie et de ce retour migratoires sur les gains individuels. Si les données empiriques manquent à ce sujet, c'est surtout qu'on ne dispose pas du genre de données longitudinales nécessaire à une telle analyse. Notre propos sera de livrer des indications sur l'incidence de cette sortie et de ce retour migratoires sur les gains individuels grâce à une analyse effectuée avec la Banque de données administratives longitudinales. Les modèles estimés se reportent aux profils prédépart (relatifs) des migrants comme point de comparaison pour l'analyse des tendances des gains (relatifs) postretour afin de tenir compte de toute différence préexistante de profil de gains entre les migrants et les non-migrants (tout en tenant compte d'autres facteurs qui ont une incidence sur les gains individuels en tout temps).

    On constate de façon générale que, à leur retour, les migrants ont des gains supérieurs à ceux des non-migrants; précisons toutefois que la plus grande partie de l'écart existait déjà avant la migration. Au chapitre de la croissance des gains nets, ce sont les gens qui ont séjourné à l'étranger de deux à cinq ans qui obtiennent les meilleurs résultats, leurs gains progressant de 12 % au cours des cinq années suivant leur retour par rapport à la période précédant la migration (une fois pris en compte certains facteurs); les personnes qui partent pour une année seulement connaissent une hausse moins marquée de leurs gains, tandis que les personnes ayant séjourné plus longtemps à l'étranger ont des gains (relatifs) moindres qu'avant leur départ (en raison peut'être d'autres évènements associés à leurs profils de mobilité). Fait à noter, ce sont principalement les personnes qui avaient le niveau de gains le plus bas avant de migrer (moins de 60 000 $) qui semblent profiter de la hausse de gains la plus marquée; dans le cas des personnes dont les gains étaient supérieurs à ce montant, la hausse a été plus faible et plus variable.

    Date de diffusion : 2007-01-18

  • Articles et rapports : 89-613-M2005006
    Géographie : Canada
    Description :

    Le rapport traite de l'emploi, du chômage, du travail, des gains, de la structure industrielle, de la concentration et de la diversité des industries, du capital humain et de la croissance de la population attribuables à l'immigration et la mobilité dans les régions métropolitaines de recensement (RMR) de 1981 à 2001.

    En 2001, les taux d'emploi et de chômage des résidents des RMR étaient semblables à ceux de 1981 malgré les changements dans la structure de l'économie urbaine et plus particulièrement le déclin de l'importance des manufactures, et la hausse d'emploi dans le secteur des industries des services.

    Les effectifs du marché du travail dans les plus grandes régions urbaines du Canada ont énormément varié en 2001, bien que depuis 1981 la différence entre les RMR est en décroissance, que ce soit au niveau des marchés du travail faibles ou forts.

    De 1981 à 2001, les immigrants, les salariés économiquement faibles et les jeunes travailleurs ont perdu du terrain dans le marché du travail. Au cours de cette même période, les gains des femmes se sont accrus au niveau de l'emploi et des revenus comparativement aux hommes.

    En 2001, la concentration des titulaires de diplômes universitaires se retrouvait dans les RMR. De 1996 à 2001, les immigrants récents ont contribué substantiellement à la croissance de l'ensemble du capital humain dans certaines RMR. Au cours de cette même période, plusieurs petites RMR ont perdu les personnes ayant un niveau d'études élevé et les jeunes au profit des grandes RMR.

    Ce rapport a utilisé les données des Recensements du Canada de 1981, 1991 et 2001 ainsi que celles de l'Enquête sur la population de 1987 à 2003.

    Date de diffusion : 2005-04-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2001163
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document fait état des résultats d'une recherche empirique sur l'incidence de la migration interprovinciale sur les gains des particuliers axée sur la Banque de données administratives longitudinales (BDAL), disponible depuis peu. Les principaux résultats sont fondés sur un modèle des différences qui permet d'estimer l'incidence de la mobilité sur les gains (fonction logarithmique); ce modèle neutralise implicitement les niveaux initiaux de gains et d'autres effets constants de même que d'autres influences intégrées aux variables explicatives des modèles. Les résultats révèlent que la mobilité interprovinciale est associée à une modification statistiquement significative et, dans de nombreux cas, quantitativement importante des gains des particuliers, ces effets variant selon l'âge, le sexe et la province d'origine. Les profils des gains antérieurs et postérieurs au déménagement sont également analysés et tendent à confirmer la validité du modèle des différences dans la mesure où les migrants intègrent rapidement le marché local du travail après un déménagement. Nous discutons les répercussions et proposons des orientations possibles pour des recherches ultérieures.

    Date de diffusion : 2001-10-25

  • Articles et rapports : 11F0019M2000142
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article aborde le sujet de la migration interprovinciale en fonction de la question fondamentale suivante : « Qui sont les migrants? » Des modèles logits par panel de la probabilité de migrer d'une année à l'autre sont estimés au moyen d'échantillons tirés de la Banque de données administratives longitudinales, couvrant la période 1982-1995. Parmi les variables explicatives, notons les facteurs « environnementaux », les caractéristiques personnelles, les attributs du marché du travail et une série de variables relatives à l'année. Des modèles distincts ont été estimés pour huit groupes d'âge-sexe.

    Les principaux résultats sont les suivants : i) les taux de migration sont inversement associés à la taille de la province, ce qui traduit vraisemblablement la conjoncture économique, les effets d'échelle du marché du travail et la simple distance géographique; la langue tient également un rôle important à cet égard; ii) les personnes vivant dans les petits centres urbains, les petites villes et, plus particulièrement, dans les régions rurales sont moins susceptibles de migrer que les résidents de grands centres urbains; iii) l'âge, le fait d'être marié et la présence d'enfants sont négativement associés à la mobilité, tant pour les hommes que pour les femmes; iv) la migration est positivement liée au taux de chômage provincial, à la perception de prestations d'assurance-emploi (sauf dans le cas des hommes à l'âge d'entrée), à des revenus d'emploi nuls (sauf dans le cas des hommes et des femmes à l'âge d'entrée) et à la perception de prestations d'aide sociale (notamment chez les hommes); v) abstraction faite des revenus nuls, la migration est positivement liée aux niveaux de revenu pour les hommes d'âge moyen et mûr, mais non pour les autres, et ces effets sont généralement peu prononcés (les autres facteurs étant neutralisés); vi) on n'observe pas de variations très marquées des taux de migration au fil des ans; néanmoins, les taux de migration des hommes ont légèrement fléchi au cours des années 1990, tandis que, chez les femmes (exception faite des femmes à l'âge d'entrée), ces taux sont généralement restés stables ou ont augmenté légèrement, ce qui indique une divergence des tendances selon le sexe.

    Date de diffusion : 2000-09-05

  • Articles et rapports : 11F0019M2000152
    Géographie : Canada
    Description :

    La déperdition des jeunes des collectivités rurales cause depuis un bon moment déjà bien des inquiétudes. On pense généralement que la plupart des collectivités rurales offrent peu de possibilités à leurs jeunes, ce qui les oblige à partir vers les villes, vraisemblablement pour toujours. Même s'il existe un corpus de recherche considérable sur la migration interprovinciale, on sait assez peu de choses des modèles de migration entre les régions rurales et urbaines du Canada.

    D'après notre analyse, les jeunes de 15 à 19 ans de presque toutes les provinces quittent en plus grand nombre les régions rurales que les régions urbaines, en partie pour poursuivre des études post-secondaires. Les modèles de migration sont plus complexes pour le groupe des 20 à 29 ans, mais toute la migration a pour résultat net que les provinces de l'Atlantique, tout comme le Manitoba et la Saskatchewan, enregistrent des pertes nettes de leur population rurale de 15 à 29 ans. Le problème est particulièrement aigu à Terre-Neuve. Les régions rurales des provinces de l'Atlantique qui obtiennent des résultats inférieurs à la moyenne nationale, en termes de gains nets de la population de jeunes, enregistrent ces pertes non pas parce qu'elles perdent une proportion de jeunes plus élevée que la moyenne nationale, mais parce qu'elles ne parviennent pas à attirer assez de jeunes personnes à venir vivre chez elles.

    Tout au plus 25 % des personnes qui quittent leur collectivité rurale y reviennent dix ans plus tard. L'effet de ce résultat est clair : on ne peut pas compter sur la migration de retour pour préserver la taille de la population d'une cohorte donnée. Les régions rurales doivent plutôt compter sur les arrivants d'autres régions (urbaines) pour atteindre cet objectif. Certaines collectivités rurales y parviennent, c'est-à-dire qu'elles enregistrent une migration d'entrée nette positive des individus de 25 à 29 ans ou plus, même si elles enregistrent une perte nette pour les plus jeunes.

    Ceux qui quittent les régions rurales connaissent généralement une croissance de leurs revenus supérieure à celle de ceux qui restent. La question suivante sur le sens dans lequel joue le rapport de causalité reste cependant sans réponse : le processus de migration lui-même entraîne-t-il une croissance des gains supérieure ou reflète-t-il la possibilité que ceux dont le potentiel de croissance des gains est supérieur ont plus tendance à partir?

    Date de diffusion : 2000-09-05
Données (3)

Données (3) ((3 résultats))

  • Profil d'une communauté ou d'une région : 99-014-X2011020
    Description :

    À l'aide des données de l'Enquête nationale auprès des ménages (ENM) de 2011, ce profil fournit un aperçu statistique des variables portant sur l'Immigration et la diversité ethnoculturelle, les peuples autochtones, la scolarité, le travail, la mobilité et la migration, le revenu et les gains, et le logement et les coûts d’habitation.

    Dans la gamme des produits de l'Enquête nationale auprès des ménages, les groupes de variables connexes sont appelés « composantes de diffusion des profils ». Ces dernières sont offertes avec les diffusions principales des variables du cycle de l'ENM, en commençant par les diffusions Immigration et diversité ethnoculturelle, et Peuples autochtones. Ensemble, elles formeront le Profil de l'ENM complet de toutes les variables pour chaque niveau géographique. Les données relatives aux composantes du profil sont offertes au niveau du Canada, des provinces et des territoires, des divisions de recensement et des subdivisions de recensement, au niveau des régions métropolitaines de recensement et des agglomérations de recensement, au niveau des secteurs de recensement, ainsi qu'au niveau des circonscriptions électorales fédérales (fondées sur l'Ordonnance de représentation de 2013).

    Date de diffusion : 2014-05-21

  • Profil d'une communauté ou d'une région : 94-581-X2006001
    Description :

    À l'aide des données du Recensement de 2006, ce profil fournit un aperçu statistique des variables revenu et gains, et logement et coûts d'habitation, en sus de toutes les autres variables qui ont déjà été diffusées, pour le Canada, les provinces, les territoires, les divisions de recensement et les subdivisions de recensement.

    Dans la gamme des produits du recensement, des groupements de variables comme celui-ci sont appelés « composantes de diffusion des profils ». Ils sont offerts avec les diffusions principales de variables du cycle de recensement, commençant avec les variables âge et sexe. Ensemble, ils formeront un profil cumulatif complet de toutes les variables pour tous les échelons géographiques, en plus d'un profil cumulatif complet pour les subdivisions de recensement abolies.

    Commençant avec le jour principal de diffusion des variables âge et sexe, et avec les principaux jours de diffusion suivants, les données des composantes de profil sont diffusées par thèmes au niveau du Canada, des provinces et territoires, des divisions de recensement et subdivisions de recensement, au niveau des régions métropolitaines de recensement, des agglomérations de recensement et des secteurs de recensement, et au niveau des circonscriptions électorales fédérales (fondées sur l'Ordonnance de représentation de 2003). Pour toutes les autres régions géographiques normalisées, notamment les aires de diffusion, les régions urbaines, les localités désignées et les régions de tri d'acheminement, les données seront diffusées environ quatre semaines après les principaux jours de diffusion.

    Date de diffusion : 2008-05-01

  • Profil d'une communauté ou d'une région : 94-581-X2006007
    Description :

    À l'aide des données du Recensement de 2006, ce profil fournit un aperçu statistique des variables revenu et gains, et logement et coûts d'habitation, en sus de toutes les autres variables qui ont déjà été diffusées, pour le Canada, les provinces, les territoires et les circonscriptions électorales fédérales (Ordonnance de représentation de 2003).

    Dans la gamme des produits du recensement, des groupements de variables comme celui-ci sont appelés « composantes de diffusion des profils ». Ils sont offerts avec les diffusions principales de variables du cycle de recensement, commençant avec les variables âge et sexe. Ensemble, ils formeront un profil cumulatif complet de toutes les variables pour tous les échelons géographiques, en plus d'un profil cumulatif complet pour les subdivisions de recensement abolies.

    Commençant avec le jour principal de diffusion des variables âge et sexe, et avec les principaux jours de diffusion suivants, les données des composantes de profil sont diffusées par thèmes au niveau du Canada, des provinces et territoires, des divisions de recensement et subdivisions de recensement, au niveau des régions métropolitaines de recensement, des agglomérations de recensement et des secteurs de recensement, et au niveau des circonscriptions électorales fédérales (fondées sur l'Ordonnance de représentation de 2003). Pour toutes les autres régions géographiques normalisées, notamment les aires de diffusion, les régions urbaines, les localités désignées et les régions de tri d'acheminement, les données seront diffusées environ quatre semaines après les principaux jours de diffusion.

    Date de diffusion : 2008-05-01
Analyses (8)

Analyses (8) ((8 résultats))

  • Articles et rapports : 11-622-M2012023
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude porte sur le processus amenant les migrants à réaliser des gains salariaux à la suite de leur migration; l'examen porte plus particulièrement sur l'avantage associé à la migration vers des marchés du travail métropolitains dynamiques et de grande taille, Toronto servant à cet égard de point de référence. On peut observer deux profils de gains distincts associés à la migration. Le premier correspond à une augmentation immédiate du revenu du travailleur à la suite de la migration. Le second consiste en une progression accélérée du revenu après la migration. Le gain immédiat est associé à l'obtention d'un poste au sein d'une entreprise plus productive, ou encore à un meilleur appariement entre les compétences et habiletés du travailleur et les tâches associées à son poste. L'accélération du gain de revenu est pour sa part rattachée à des processus qui exigent un certain temps, par exemple l'apprentissage ou le changement d'emploi au fil de la recherche d'une plus grande compatibilité entre travailleurs et entreprises. Notre évaluation porte ici sur l'hypothèse que les économies reliées aux grandes régions métropolitaines permettent aux travailleurs de profiter au départ d'un avantage découlant d'une hausse ponctuelle de productivité et/ou d'un processus dynamique permettant d'accélérer la progression de leur revenu grâce à l'apprentissage et à un meilleur appariement. Divers ensembles de données et méthodologies, y compris la méthode de l'appariement par scores de propension, servent à évaluer les profils de progression du revenu associés à la migration à Toronto.

    Date de diffusion : 2012-05-03

  • Articles et rapports : 11-010-X200800510592
    Géographie : Province ou territoire
    Description :

    Au cours des dernières années, la frénésie des ressources a engendré une croissance sans précédent en Saskatchewan et à Terre-Neuve. En plus de donner un coup d'envoi à l'économie, cette croissance a renversé les sorties migratoires à long terme de leur population.

    Date de diffusion : 2008-05-15

  • Articles et rapports : 11F0019M2007289
    Géographie : Canada
    Description :

    La mesure dans laquelle les travailleurs quittent le pays a suscité un grand débat au Canada - et ailleurs - vers la fin des années 1990, bien que des données empiriques récentes révèlent que, après tout, ce phénomène n'était pas si généralisé et que, ces dernières années, les taux de sortie ont nettement diminué. Il y a cependant un aspect de la dynamique de la mobilité internationale qui n'a pas encore été abordé : celui de l'incidence de cette sortie et de ce retour migratoires sur les gains individuels. Si les données empiriques manquent à ce sujet, c'est surtout qu'on ne dispose pas du genre de données longitudinales nécessaire à une telle analyse. Notre propos sera de livrer des indications sur l'incidence de cette sortie et de ce retour migratoires sur les gains individuels grâce à une analyse effectuée avec la Banque de données administratives longitudinales. Les modèles estimés se reportent aux profils prédépart (relatifs) des migrants comme point de comparaison pour l'analyse des tendances des gains (relatifs) postretour afin de tenir compte de toute différence préexistante de profil de gains entre les migrants et les non-migrants (tout en tenant compte d'autres facteurs qui ont une incidence sur les gains individuels en tout temps).

    On constate de façon générale que, à leur retour, les migrants ont des gains supérieurs à ceux des non-migrants; précisons toutefois que la plus grande partie de l'écart existait déjà avant la migration. Au chapitre de la croissance des gains nets, ce sont les gens qui ont séjourné à l'étranger de deux à cinq ans qui obtiennent les meilleurs résultats, leurs gains progressant de 12 % au cours des cinq années suivant leur retour par rapport à la période précédant la migration (une fois pris en compte certains facteurs); les personnes qui partent pour une année seulement connaissent une hausse moins marquée de leurs gains, tandis que les personnes ayant séjourné plus longtemps à l'étranger ont des gains (relatifs) moindres qu'avant leur départ (en raison peut'être d'autres évènements associés à leurs profils de mobilité). Fait à noter, ce sont principalement les personnes qui avaient le niveau de gains le plus bas avant de migrer (moins de 60 000 $) qui semblent profiter de la hausse de gains la plus marquée; dans le cas des personnes dont les gains étaient supérieurs à ce montant, la hausse a été plus faible et plus variable.

    Date de diffusion : 2007-01-18

  • Articles et rapports : 89-613-M2005006
    Géographie : Canada
    Description :

    Le rapport traite de l'emploi, du chômage, du travail, des gains, de la structure industrielle, de la concentration et de la diversité des industries, du capital humain et de la croissance de la population attribuables à l'immigration et la mobilité dans les régions métropolitaines de recensement (RMR) de 1981 à 2001.

    En 2001, les taux d'emploi et de chômage des résidents des RMR étaient semblables à ceux de 1981 malgré les changements dans la structure de l'économie urbaine et plus particulièrement le déclin de l'importance des manufactures, et la hausse d'emploi dans le secteur des industries des services.

    Les effectifs du marché du travail dans les plus grandes régions urbaines du Canada ont énormément varié en 2001, bien que depuis 1981 la différence entre les RMR est en décroissance, que ce soit au niveau des marchés du travail faibles ou forts.

    De 1981 à 2001, les immigrants, les salariés économiquement faibles et les jeunes travailleurs ont perdu du terrain dans le marché du travail. Au cours de cette même période, les gains des femmes se sont accrus au niveau de l'emploi et des revenus comparativement aux hommes.

    En 2001, la concentration des titulaires de diplômes universitaires se retrouvait dans les RMR. De 1996 à 2001, les immigrants récents ont contribué substantiellement à la croissance de l'ensemble du capital humain dans certaines RMR. Au cours de cette même période, plusieurs petites RMR ont perdu les personnes ayant un niveau d'études élevé et les jeunes au profit des grandes RMR.

    Ce rapport a utilisé les données des Recensements du Canada de 1981, 1991 et 2001 ainsi que celles de l'Enquête sur la population de 1987 à 2003.

    Date de diffusion : 2005-04-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2001163
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document fait état des résultats d'une recherche empirique sur l'incidence de la migration interprovinciale sur les gains des particuliers axée sur la Banque de données administratives longitudinales (BDAL), disponible depuis peu. Les principaux résultats sont fondés sur un modèle des différences qui permet d'estimer l'incidence de la mobilité sur les gains (fonction logarithmique); ce modèle neutralise implicitement les niveaux initiaux de gains et d'autres effets constants de même que d'autres influences intégrées aux variables explicatives des modèles. Les résultats révèlent que la mobilité interprovinciale est associée à une modification statistiquement significative et, dans de nombreux cas, quantitativement importante des gains des particuliers, ces effets variant selon l'âge, le sexe et la province d'origine. Les profils des gains antérieurs et postérieurs au déménagement sont également analysés et tendent à confirmer la validité du modèle des différences dans la mesure où les migrants intègrent rapidement le marché local du travail après un déménagement. Nous discutons les répercussions et proposons des orientations possibles pour des recherches ultérieures.

    Date de diffusion : 2001-10-25

  • Articles et rapports : 11F0019M2000142
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article aborde le sujet de la migration interprovinciale en fonction de la question fondamentale suivante : « Qui sont les migrants? » Des modèles logits par panel de la probabilité de migrer d'une année à l'autre sont estimés au moyen d'échantillons tirés de la Banque de données administratives longitudinales, couvrant la période 1982-1995. Parmi les variables explicatives, notons les facteurs « environnementaux », les caractéristiques personnelles, les attributs du marché du travail et une série de variables relatives à l'année. Des modèles distincts ont été estimés pour huit groupes d'âge-sexe.

    Les principaux résultats sont les suivants : i) les taux de migration sont inversement associés à la taille de la province, ce qui traduit vraisemblablement la conjoncture économique, les effets d'échelle du marché du travail et la simple distance géographique; la langue tient également un rôle important à cet égard; ii) les personnes vivant dans les petits centres urbains, les petites villes et, plus particulièrement, dans les régions rurales sont moins susceptibles de migrer que les résidents de grands centres urbains; iii) l'âge, le fait d'être marié et la présence d'enfants sont négativement associés à la mobilité, tant pour les hommes que pour les femmes; iv) la migration est positivement liée au taux de chômage provincial, à la perception de prestations d'assurance-emploi (sauf dans le cas des hommes à l'âge d'entrée), à des revenus d'emploi nuls (sauf dans le cas des hommes et des femmes à l'âge d'entrée) et à la perception de prestations d'aide sociale (notamment chez les hommes); v) abstraction faite des revenus nuls, la migration est positivement liée aux niveaux de revenu pour les hommes d'âge moyen et mûr, mais non pour les autres, et ces effets sont généralement peu prononcés (les autres facteurs étant neutralisés); vi) on n'observe pas de variations très marquées des taux de migration au fil des ans; néanmoins, les taux de migration des hommes ont légèrement fléchi au cours des années 1990, tandis que, chez les femmes (exception faite des femmes à l'âge d'entrée), ces taux sont généralement restés stables ou ont augmenté légèrement, ce qui indique une divergence des tendances selon le sexe.

    Date de diffusion : 2000-09-05

  • Articles et rapports : 11F0019M2000152
    Géographie : Canada
    Description :

    La déperdition des jeunes des collectivités rurales cause depuis un bon moment déjà bien des inquiétudes. On pense généralement que la plupart des collectivités rurales offrent peu de possibilités à leurs jeunes, ce qui les oblige à partir vers les villes, vraisemblablement pour toujours. Même s'il existe un corpus de recherche considérable sur la migration interprovinciale, on sait assez peu de choses des modèles de migration entre les régions rurales et urbaines du Canada.

    D'après notre analyse, les jeunes de 15 à 19 ans de presque toutes les provinces quittent en plus grand nombre les régions rurales que les régions urbaines, en partie pour poursuivre des études post-secondaires. Les modèles de migration sont plus complexes pour le groupe des 20 à 29 ans, mais toute la migration a pour résultat net que les provinces de l'Atlantique, tout comme le Manitoba et la Saskatchewan, enregistrent des pertes nettes de leur population rurale de 15 à 29 ans. Le problème est particulièrement aigu à Terre-Neuve. Les régions rurales des provinces de l'Atlantique qui obtiennent des résultats inférieurs à la moyenne nationale, en termes de gains nets de la population de jeunes, enregistrent ces pertes non pas parce qu'elles perdent une proportion de jeunes plus élevée que la moyenne nationale, mais parce qu'elles ne parviennent pas à attirer assez de jeunes personnes à venir vivre chez elles.

    Tout au plus 25 % des personnes qui quittent leur collectivité rurale y reviennent dix ans plus tard. L'effet de ce résultat est clair : on ne peut pas compter sur la migration de retour pour préserver la taille de la population d'une cohorte donnée. Les régions rurales doivent plutôt compter sur les arrivants d'autres régions (urbaines) pour atteindre cet objectif. Certaines collectivités rurales y parviennent, c'est-à-dire qu'elles enregistrent une migration d'entrée nette positive des individus de 25 à 29 ans ou plus, même si elles enregistrent une perte nette pour les plus jeunes.

    Ceux qui quittent les régions rurales connaissent généralement une croissance de leurs revenus supérieure à celle de ceux qui restent. La question suivante sur le sens dans lequel joue le rapport de causalité reste cependant sans réponse : le processus de migration lui-même entraîne-t-il une croissance des gains supérieure ou reflète-t-il la possibilité que ceux dont le potentiel de croissance des gains est supérieur ont plus tendance à partir?

    Date de diffusion : 2000-09-05

  • Articles et rapports : 11F0019M1998114
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce document examine la mobilité interprovinciale de la main-d'oeuvre des immigrants comparativement à celle des Canadiens de naissance. Les Canadiens nés à l'étranger diffèrent énormément de leurs homologues nés au pays. La population née à l'étranger est géographiquement concentrée dans quelques provinces et quelques grandes villes. Dans l'ensemble, ces Canadiens sont plus âgés, plus instruits, plus susceptibles d'être mariés et d'avoir des enfants à charge et des ménages constitués d'un plus grand nombre de personnes. Ils sont moins engagés dans des études ou une formation à plein temps. Ils réussissent relativement mieux sur le marché du travail. Par conséquent, une plus grande proportion d'entre eux touchent des prestations de sécurité sociale directement associées à la présence d'enfants à charge ou à l'âge, par exemple, des prestations d'allocation familiale et des revenus de pension, mais un moins grand nombre touchent des prestations liées au rendement du marché du travail, telles que des prestations d'assurance-emploi et d'assurance sociale.

    Dans l'ensemble, la mobilité interprovinciale des immigrants est relativement moins grande, tant à l'échelle nationale que dans presque chaque province. Les destinations des immigrants qui changent de province sont géographiquement très concentrées. La plupart d'entre eux s'établissent en Alberta, en Ontario et en Colombie-Britannique. Si une proportion beaucoup plus faible changent de province pour des questions d'ordre économique, bon nombre le font à des fins d'études ou après leur retraite. Les revenus déclarés dans la province de migration sont beaucoup plus élevés. Cette situation découle tant de l'augmentation des salaires que du plus grand nombre d'heures travaillées après la migration.

    Les résultats de la régression multidimensionnelle montrent qu'il n'existe aucune différence structurelle statistiquement significative entre les facteurs déterminants des décisions de migration interprovinciale des Canadiens nés à l'étranger et ceux des Canadiens de naissance comparables. La probabilité de changer de province, qu'il s'agisse des immigrants ou des Canadiens nés au pays, est plus élevée si les salaires escomptés sont relativement meilleurs ailleurs, plus faible s'il est relativement plus difficile de trouver un emploi ailleurs, plus élevée chez les travailleurs plus instruits, plus faible chez des Canadiens francophones, plus faible parmi les travailleurs syndiqués et elle diminue en fonction de l'âge, de la taille de la famille et de la durée de l'emploi. Aucune des variables substituts des interventions du gouvernement à l'égard du marché du travail n'influe de façon importante sur la décision de changer de province. Les taux plus faibles de mobilité chez les Canadiens nés à l'étranger sont entièrement attribuables aux différences de répartition et de composition entre les populations immigrantes et non immigrantes.

    Ces conclusions ont des incidences directes sur les politiques de sélection des immigrants. Pour stimuler la croissance de la population et de la main-d''uvre dans des provinces économiquement moins prospères, il semblerait approprié et efficace de modifier le système actuel de sélection et d'approbation des immigrants, en considérant la destination comme facteur supplémentaire et en accordant des points aux requérants qui choisissent de s'établir dans des provinces désignées.

    Date de diffusion : 1998-09-23
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