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Tout (7) ((7 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2018405
    Description :

    Au cours des trois dernières décennies, les emplois à temps plein et les emplois permanents sont généralement devenus plus rares pour les jeunes. Par ailleurs, les salaires horaires réels médians des jeunes hommes salariés occupant des emplois à temps plein ont peu augmenté, voire pas du tout, du début des années 1980 au milieu des années 2010. Ces facteurs, de même que d’autres données probantes recueillies dans les médias, ont suscité des préoccupations quant au fait que les cohortes récentes de jeunes connaissent maintenant des trajectoires de rémunération moins favorables au fur et à mesure qu’elles avancent en âge que ce n’était le cas pour les cohortes précédentes il y a 40 ans. Dans la présente étude, on compare les trajectoires de rémunération de plusieurs cohortes récentes de jeunes travailleurs et celles de cohortes qui sont entrées sur le marché du travail à la fin des années 1970. On combine trois versions du Fichier de données longitudinales sur la main d’œuvre (FDLMO) de Statistique Canada et on étudie la période allant de 1978 à 2015.

    Date de diffusion : 2018-05-29

  • Articles et rapports : 81-595-M2010087
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent rapport traite du lien entre les cheminements scolaires et la situation sur le marché du travail des répondants aux cinq cycles de l'Enquête auprès des jeunes en transition (la cohorte B de l'EJET). Les cheminements scolaires sont répartis selon trois grands critères : 1) pas d'études postsecondaires, 2) passage direct aux études postsecondaires et 3) passage indirect aux études postsecondaires. Les données du cycle 5 de l'EJET, recueillies lorsque les jeunes étaient âgés de 26 à 28 ans, permettent de mener un examen relativement complet des résultats sur le marché du travail au moment où la hausse des taux de participation aux études postsecondaires au Canada a reporté l'entrée de nombreux jeunes adultes sur le marché du travail. Le présent rapport examine deux résultats sur le marché du travail, soit l'emploi pendant toute l'année et les gains annuels, à deux moments différents : de un à deux ans, puis de cinq à six ans après l'achèvement ou l'interruption des études à temps plein. Les résultats font ressortir l'influence positive des études universitaires sur la situation sur le marché du travail, surtout plusieurs années après la fin des études. De plus, certains résultats portent à croire que, plusieurs années après la fin des études, les diplômés universitaires qui ont reporté leur passage aux études postsecondaires sont plus susceptibles d'être occupés que leurs homologues qui ne l'ont pas fait.

    Date de diffusion : 2010-12-17

  • Articles et rapports : 75-001-X201010913256
    Géographie : Canada
    Description :

    Cet article porte sur les tendances à long terme de l'emploi chez les étudiants postsecondaires. On aborde le taux d'emploi, le nombre d'heures de travail et les revenus d'emploi selon le sexe, de même que la façon dont les autres caractéristiques des étudiants se répercutent sur l'emploi. Nous nous sommes particulièrement intéressés à l'emploi chez les étudiants pendant les périodes de ralentissement du marché de l'emploi.

    Date de diffusion : 2010-09-29

  • Articles et rapports : 81-595-M2003004
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans le cadre de cette étude, on utilise les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) pour analyser le rapport entre le travail pendant les études secondaires et le décrochage.

    Date de diffusion : 2003-05-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2001155
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude chercher à vérifier si les tendances émergentes et celles déjà bien visibles du marché du travail des années 90 se sont inversées sous la pression de la robuste croissance économique de 1997-1999. Plus particulièrement, elle analyse la montée spectaculaire du travail indépendant, les tendances de la stabilité de l'emploi et le faible taux d'emploi des jeunes dans les années 90. La solide croissance économique de 1997-1999 ne semble pas avoir ralenti la progression du travail indépendant, ni ébranlé la stabilité de l'emploi, ni propulsé les taux d'emploi des jeunes. Pour le travail indépendant, cela amène à conclure que la progression observée dans les années 90 n'était pas d'abord et avant tout le fait d'un relâchement de la demande de main-d'oeuvre qui aurait forcé les travailleurs à créer leur propre emploi. La stabilité de l'emploi a augmenté pendant une bonne partie des années 90, sous la poussée d'un faible taux de cessation volontaire, associé à une faible embauche. Les meilleures données actuellement disponibles révèlent que les taux de cessation volontaire en particulier sont demeurés relativement bas (compte tenu du stade d'avancement du cycle économique), et que la durée de conservation des emplois est demeurée élevée. Il y a peu d'indices de détérioration de la stabilité de l'emploi chez les travailleurs rémunérés dans les années 90. Le retard qu'ont pu accuser les taux d'emploi des jeunes vient dans une large mesure de la plus grande propension des jeunes à demeurer aux études. Les étudiants ont un taux d'emploi moins élevé et, lorsque les jeunes commencent à former une plus grande proportion des travailleurs, le taux d'emploi d'ensemble pour les jeunes diminue. Cette propension des jeunes à demeurer aux études n'a pas diminué en 1997-1999, si bien que les taux d'emploi des jeunes demeurent faibles, comparativement au passé.

    Date de diffusion : 2001-04-04

  • Articles et rapports : 11F0019M2000152
    Géographie : Canada
    Description :

    La déperdition des jeunes des collectivités rurales cause depuis un bon moment déjà bien des inquiétudes. On pense généralement que la plupart des collectivités rurales offrent peu de possibilités à leurs jeunes, ce qui les oblige à partir vers les villes, vraisemblablement pour toujours. Même s'il existe un corpus de recherche considérable sur la migration interprovinciale, on sait assez peu de choses des modèles de migration entre les régions rurales et urbaines du Canada.

    D'après notre analyse, les jeunes de 15 à 19 ans de presque toutes les provinces quittent en plus grand nombre les régions rurales que les régions urbaines, en partie pour poursuivre des études post-secondaires. Les modèles de migration sont plus complexes pour le groupe des 20 à 29 ans, mais toute la migration a pour résultat net que les provinces de l'Atlantique, tout comme le Manitoba et la Saskatchewan, enregistrent des pertes nettes de leur population rurale de 15 à 29 ans. Le problème est particulièrement aigu à Terre-Neuve. Les régions rurales des provinces de l'Atlantique qui obtiennent des résultats inférieurs à la moyenne nationale, en termes de gains nets de la population de jeunes, enregistrent ces pertes non pas parce qu'elles perdent une proportion de jeunes plus élevée que la moyenne nationale, mais parce qu'elles ne parviennent pas à attirer assez de jeunes personnes à venir vivre chez elles.

    Tout au plus 25 % des personnes qui quittent leur collectivité rurale y reviennent dix ans plus tard. L'effet de ce résultat est clair : on ne peut pas compter sur la migration de retour pour préserver la taille de la population d'une cohorte donnée. Les régions rurales doivent plutôt compter sur les arrivants d'autres régions (urbaines) pour atteindre cet objectif. Certaines collectivités rurales y parviennent, c'est-à-dire qu'elles enregistrent une migration d'entrée nette positive des individus de 25 à 29 ans ou plus, même si elles enregistrent une perte nette pour les plus jeunes.

    Ceux qui quittent les régions rurales connaissent généralement une croissance de leurs revenus supérieure à celle de ceux qui restent. La question suivante sur le sens dans lequel joue le rapport de causalité reste cependant sans réponse : le processus de migration lui-même entraîne-t-il une croissance des gains supérieure ou reflète-t-il la possibilité que ceux dont le potentiel de croissance des gains est supérieur ont plus tendance à partir?

    Date de diffusion : 2000-09-05

  • Articles et rapports : 11F0019M1998116
    Géographie : Canada
    Description :

    De nombreux auteurs ont fait état de l'inégalité de plus en plus prononcée des gains d'emploi particulièrement chez les hommes. Le présent article enrichit notre connaissance des tendances de l'inégalité des gains en répondant à trois questions. Premièrement, comment l'inégalité des gains des personnes occupées a-t-elle évolué dans les années 90? Notre étude indique que, du milieu des années 80 au milieu des années 90, l'inégalité et la polarisation des gains ont à peine augmenté chez l'ensemble des travailleurs (hommes et femmes). La deuxième question a trait à l'incidence exercée sur l'inégalité des gains par la variation de la propension des Canadiens à occuper un emploi. Autrement dit, si nous nous concentrons sur l'ensemble des Canadiens en âge de travailler (ceux qui ont un emploi rémunéré et ceux qui n'en ont pas), quelles sont les tendances de l'inégalité? Nous constatons que l'inégalité des gains chez les personnes en âge de travailler a peu varié dans les années 80 et 90. Notre analyse tient compte de l'influence que la variation du ratio emploi-population et les tendances de l'inégalité chez les personnes occupées exerce sur l'inégalité des gains chez l'ensemble des personnes en âge de travailler. Cependant, la stabilité relative de l'inégalité des gains observée depuis le début des années 80 occulte un certain nombre de tendances compensatoires. Les gains de certains groupes de travailleurs (les femmes et les travailleurs âgés notamment) ont augmenté alors que ceux d'autres groupes (tout particulièrement les jeunes et les hommes) ont diminué. Le présent article met l'accent sur les tendances des gains chez les jeunes travailleurs et conclut que la baisse des gains annuels des jeunes hommes, notamment, est associée à une diminution de la rémunération horaire réelle.

    Date de diffusion : 1998-06-29
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Analyses (7)

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  • Articles et rapports : 11F0019M2018405
    Description :

    Au cours des trois dernières décennies, les emplois à temps plein et les emplois permanents sont généralement devenus plus rares pour les jeunes. Par ailleurs, les salaires horaires réels médians des jeunes hommes salariés occupant des emplois à temps plein ont peu augmenté, voire pas du tout, du début des années 1980 au milieu des années 2010. Ces facteurs, de même que d’autres données probantes recueillies dans les médias, ont suscité des préoccupations quant au fait que les cohortes récentes de jeunes connaissent maintenant des trajectoires de rémunération moins favorables au fur et à mesure qu’elles avancent en âge que ce n’était le cas pour les cohortes précédentes il y a 40 ans. Dans la présente étude, on compare les trajectoires de rémunération de plusieurs cohortes récentes de jeunes travailleurs et celles de cohortes qui sont entrées sur le marché du travail à la fin des années 1970. On combine trois versions du Fichier de données longitudinales sur la main d’œuvre (FDLMO) de Statistique Canada et on étudie la période allant de 1978 à 2015.

    Date de diffusion : 2018-05-29

  • Articles et rapports : 81-595-M2010087
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent rapport traite du lien entre les cheminements scolaires et la situation sur le marché du travail des répondants aux cinq cycles de l'Enquête auprès des jeunes en transition (la cohorte B de l'EJET). Les cheminements scolaires sont répartis selon trois grands critères : 1) pas d'études postsecondaires, 2) passage direct aux études postsecondaires et 3) passage indirect aux études postsecondaires. Les données du cycle 5 de l'EJET, recueillies lorsque les jeunes étaient âgés de 26 à 28 ans, permettent de mener un examen relativement complet des résultats sur le marché du travail au moment où la hausse des taux de participation aux études postsecondaires au Canada a reporté l'entrée de nombreux jeunes adultes sur le marché du travail. Le présent rapport examine deux résultats sur le marché du travail, soit l'emploi pendant toute l'année et les gains annuels, à deux moments différents : de un à deux ans, puis de cinq à six ans après l'achèvement ou l'interruption des études à temps plein. Les résultats font ressortir l'influence positive des études universitaires sur la situation sur le marché du travail, surtout plusieurs années après la fin des études. De plus, certains résultats portent à croire que, plusieurs années après la fin des études, les diplômés universitaires qui ont reporté leur passage aux études postsecondaires sont plus susceptibles d'être occupés que leurs homologues qui ne l'ont pas fait.

    Date de diffusion : 2010-12-17

  • Articles et rapports : 75-001-X201010913256
    Géographie : Canada
    Description :

    Cet article porte sur les tendances à long terme de l'emploi chez les étudiants postsecondaires. On aborde le taux d'emploi, le nombre d'heures de travail et les revenus d'emploi selon le sexe, de même que la façon dont les autres caractéristiques des étudiants se répercutent sur l'emploi. Nous nous sommes particulièrement intéressés à l'emploi chez les étudiants pendant les périodes de ralentissement du marché de l'emploi.

    Date de diffusion : 2010-09-29

  • Articles et rapports : 81-595-M2003004
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans le cadre de cette étude, on utilise les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) pour analyser le rapport entre le travail pendant les études secondaires et le décrochage.

    Date de diffusion : 2003-05-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2001155
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude chercher à vérifier si les tendances émergentes et celles déjà bien visibles du marché du travail des années 90 se sont inversées sous la pression de la robuste croissance économique de 1997-1999. Plus particulièrement, elle analyse la montée spectaculaire du travail indépendant, les tendances de la stabilité de l'emploi et le faible taux d'emploi des jeunes dans les années 90. La solide croissance économique de 1997-1999 ne semble pas avoir ralenti la progression du travail indépendant, ni ébranlé la stabilité de l'emploi, ni propulsé les taux d'emploi des jeunes. Pour le travail indépendant, cela amène à conclure que la progression observée dans les années 90 n'était pas d'abord et avant tout le fait d'un relâchement de la demande de main-d'oeuvre qui aurait forcé les travailleurs à créer leur propre emploi. La stabilité de l'emploi a augmenté pendant une bonne partie des années 90, sous la poussée d'un faible taux de cessation volontaire, associé à une faible embauche. Les meilleures données actuellement disponibles révèlent que les taux de cessation volontaire en particulier sont demeurés relativement bas (compte tenu du stade d'avancement du cycle économique), et que la durée de conservation des emplois est demeurée élevée. Il y a peu d'indices de détérioration de la stabilité de l'emploi chez les travailleurs rémunérés dans les années 90. Le retard qu'ont pu accuser les taux d'emploi des jeunes vient dans une large mesure de la plus grande propension des jeunes à demeurer aux études. Les étudiants ont un taux d'emploi moins élevé et, lorsque les jeunes commencent à former une plus grande proportion des travailleurs, le taux d'emploi d'ensemble pour les jeunes diminue. Cette propension des jeunes à demeurer aux études n'a pas diminué en 1997-1999, si bien que les taux d'emploi des jeunes demeurent faibles, comparativement au passé.

    Date de diffusion : 2001-04-04

  • Articles et rapports : 11F0019M2000152
    Géographie : Canada
    Description :

    La déperdition des jeunes des collectivités rurales cause depuis un bon moment déjà bien des inquiétudes. On pense généralement que la plupart des collectivités rurales offrent peu de possibilités à leurs jeunes, ce qui les oblige à partir vers les villes, vraisemblablement pour toujours. Même s'il existe un corpus de recherche considérable sur la migration interprovinciale, on sait assez peu de choses des modèles de migration entre les régions rurales et urbaines du Canada.

    D'après notre analyse, les jeunes de 15 à 19 ans de presque toutes les provinces quittent en plus grand nombre les régions rurales que les régions urbaines, en partie pour poursuivre des études post-secondaires. Les modèles de migration sont plus complexes pour le groupe des 20 à 29 ans, mais toute la migration a pour résultat net que les provinces de l'Atlantique, tout comme le Manitoba et la Saskatchewan, enregistrent des pertes nettes de leur population rurale de 15 à 29 ans. Le problème est particulièrement aigu à Terre-Neuve. Les régions rurales des provinces de l'Atlantique qui obtiennent des résultats inférieurs à la moyenne nationale, en termes de gains nets de la population de jeunes, enregistrent ces pertes non pas parce qu'elles perdent une proportion de jeunes plus élevée que la moyenne nationale, mais parce qu'elles ne parviennent pas à attirer assez de jeunes personnes à venir vivre chez elles.

    Tout au plus 25 % des personnes qui quittent leur collectivité rurale y reviennent dix ans plus tard. L'effet de ce résultat est clair : on ne peut pas compter sur la migration de retour pour préserver la taille de la population d'une cohorte donnée. Les régions rurales doivent plutôt compter sur les arrivants d'autres régions (urbaines) pour atteindre cet objectif. Certaines collectivités rurales y parviennent, c'est-à-dire qu'elles enregistrent une migration d'entrée nette positive des individus de 25 à 29 ans ou plus, même si elles enregistrent une perte nette pour les plus jeunes.

    Ceux qui quittent les régions rurales connaissent généralement une croissance de leurs revenus supérieure à celle de ceux qui restent. La question suivante sur le sens dans lequel joue le rapport de causalité reste cependant sans réponse : le processus de migration lui-même entraîne-t-il une croissance des gains supérieure ou reflète-t-il la possibilité que ceux dont le potentiel de croissance des gains est supérieur ont plus tendance à partir?

    Date de diffusion : 2000-09-05

  • Articles et rapports : 11F0019M1998116
    Géographie : Canada
    Description :

    De nombreux auteurs ont fait état de l'inégalité de plus en plus prononcée des gains d'emploi particulièrement chez les hommes. Le présent article enrichit notre connaissance des tendances de l'inégalité des gains en répondant à trois questions. Premièrement, comment l'inégalité des gains des personnes occupées a-t-elle évolué dans les années 90? Notre étude indique que, du milieu des années 80 au milieu des années 90, l'inégalité et la polarisation des gains ont à peine augmenté chez l'ensemble des travailleurs (hommes et femmes). La deuxième question a trait à l'incidence exercée sur l'inégalité des gains par la variation de la propension des Canadiens à occuper un emploi. Autrement dit, si nous nous concentrons sur l'ensemble des Canadiens en âge de travailler (ceux qui ont un emploi rémunéré et ceux qui n'en ont pas), quelles sont les tendances de l'inégalité? Nous constatons que l'inégalité des gains chez les personnes en âge de travailler a peu varié dans les années 80 et 90. Notre analyse tient compte de l'influence que la variation du ratio emploi-population et les tendances de l'inégalité chez les personnes occupées exerce sur l'inégalité des gains chez l'ensemble des personnes en âge de travailler. Cependant, la stabilité relative de l'inégalité des gains observée depuis le début des années 80 occulte un certain nombre de tendances compensatoires. Les gains de certains groupes de travailleurs (les femmes et les travailleurs âgés notamment) ont augmenté alors que ceux d'autres groupes (tout particulièrement les jeunes et les hommes) ont diminué. Le présent article met l'accent sur les tendances des gains chez les jeunes travailleurs et conclut que la baisse des gains annuels des jeunes hommes, notamment, est associée à une diminution de la rémunération horaire réelle.

    Date de diffusion : 1998-06-29
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