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  • Articles et rapports : 91-209-X200400010665
    Géographie : Canada
    Description : Partie 2 de cet papier analyse des caractéristiques des migrants est proposée. Il propose un modèle visant à identifier les caractéristiques socio-économiques ayant une influence sur la probabilité de migrer et sur le choix d’une destination. Les résultats d’un tel modèle permettent de mieux connaître l’effet des migrations internes sur la composition sociodémographique des communautés. Dans cet article, les auteurs analysent les mouvements migratoires des Canadiens entre 2001 et 2006 à l'aide des données du Recensement de 2006. Dans un premier temps, les principaux flux de migration interne sont décrits, et ce, à différents niveaux géographiques. Les résultats permettent ainsi d'exposer certains phénomènes qui ont marqué la période intercensitaire 2001-2006 tels que la baisse générale de la mobilité, l'attraction exercée par l'Alberta, expansion urbain et les départs des jeunes des régions rurales. Dans un second temps, diverses caractéristiques des migrants sont étudiées à l'aide d'un modèle statistique multivarié incluant plusieurs types de lieu de destination. Les résultats permettent de mieux connaître les caractéristiques socio-démographiques associées à la mobilité comme l'âge, l'état matrimonial, la scolarité, la structure familiale ou le statut d'immigrant.
    Date de diffusion : 2008-07-23

  • Articles et rapports : 11F0019M2005254
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude examine les changements qui ont touché la concentration géographique des principaux groupes d'immigrants au Canada en ce qui a trait à leur destination initiale et redistribution subséquente au cours des deux dernières décennies. En même temps, elle porte sur le rôle des collectivités immigrantes déjà établies à l'égard du choix de leur lieu d'établissement par les nouveaux immigrants. Les résultats montrent une augmentation marquée des niveaux de concentration quant à la destination initiale parmi les principaux groupes d'immigrants tout au long des années 1970 et 1980, tendance qui disparaît au cours de la décennie suivante. La redistribution après l'immigration s'est faite généralement à petite échelle et a eu des effets non uniformes sur la modification de la concentration des destinations initiales chez les groupes d'immigrants et les cohortes d'arrivée à l'intérieur d'un groupe. Même dans le cas des groupes d'immigrants et de réfugiés dont l'établissement initial a été fortement influencé par les interventions du gouvernement, la redistribution n'a modifié que partiellement la répartition géographique générale. Enfin, l'étude montre que la taille de la collectivité immigrante déjà établie n'est pas un facteur important quant au choix de leur lieu d'établissement par les nouveaux immigrants, lorsque les effets fixes du lieu sont pris en compte.

    Date de diffusion : 2005-06-29

  • Articles et rapports : 11F0019M2005255
    Géographie : Canada
    Description :

    Le present article résume les conclusions de le document de recherché intitulée: Destinations initiales et redistribution des principaux groupes d'immigrants au Canada : changements au cours des deux dernières décennies. En 1981, environ 58 % des immigrants arrivés au Canada au cours des 10 années précédentes vivaient à Toronto, à Vancouver et à Montréal; en 2001, cette proportion était passée à 74 % (Statistique Canada 2003), ce qui a déclenché une discussion sur les avantages d'une « répartition géographique mieux équilibrée des immigrants » (Citoyenneté et Immigration Canada (CIC) 2001). Les politiques visant à orienter les immigrants vers d'autres destinations que les villes carrefour de plusieurs pays occidentaux sont axées sur le choix de la destination finale et peu d'efforts ont été déployés pour influencer la mobilité par la suite. Mais ces politiques n'auront les résultats attendus que si les régions qui ne servent pas de porte d'entrée arrivent à conserver les immigrants ou à maintenir l'équilibre entre la migration interne et la migration externe. À cette fin, la présente étude examine dans quelle mesure la concentration géographique des principaux groupes d'immigrants arrivés au Canada au cours des deux dernières décennies s'est modifiée au fil du temps et procède pour ce faire à une comparaison entre les immigrants arrivés pendant les années 1970, 1980 et 1990, d'abord au point de vue de leur concentration dans les destinations initiales, puis de leur dispersion géographique subséquente. Elle accorde une attention particulière au profil de dispersion des groupes dont le lieu d'établissement initial avait été influencé par des politiques gouvernementales et examine le rôle des collectivités d'immigrants déjà établies dans la répartition géographique des nouveaux immigrants.

    Date de diffusion : 2005-06-29

  • Articles et rapports : 91F0015M2004006
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans ce document, on évalue et on compare la nouvelle et l'ancienne méthode pour produire des estimations officielles de la migration interne et interprovinciale selon les provinces ou les territoires pour la période de 1996-1997 à 2000-2001.

    Date de diffusion : 2004-06-17

  • Articles et rapports : 11F0019M2000152
    Géographie : Canada
    Description :

    La déperdition des jeunes des collectivités rurales cause depuis un bon moment déjà bien des inquiétudes. On pense généralement que la plupart des collectivités rurales offrent peu de possibilités à leurs jeunes, ce qui les oblige à partir vers les villes, vraisemblablement pour toujours. Même s'il existe un corpus de recherche considérable sur la migration interprovinciale, on sait assez peu de choses des modèles de migration entre les régions rurales et urbaines du Canada.

    D'après notre analyse, les jeunes de 15 à 19 ans de presque toutes les provinces quittent en plus grand nombre les régions rurales que les régions urbaines, en partie pour poursuivre des études post-secondaires. Les modèles de migration sont plus complexes pour le groupe des 20 à 29 ans, mais toute la migration a pour résultat net que les provinces de l'Atlantique, tout comme le Manitoba et la Saskatchewan, enregistrent des pertes nettes de leur population rurale de 15 à 29 ans. Le problème est particulièrement aigu à Terre-Neuve. Les régions rurales des provinces de l'Atlantique qui obtiennent des résultats inférieurs à la moyenne nationale, en termes de gains nets de la population de jeunes, enregistrent ces pertes non pas parce qu'elles perdent une proportion de jeunes plus élevée que la moyenne nationale, mais parce qu'elles ne parviennent pas à attirer assez de jeunes personnes à venir vivre chez elles.

    Tout au plus 25 % des personnes qui quittent leur collectivité rurale y reviennent dix ans plus tard. L'effet de ce résultat est clair : on ne peut pas compter sur la migration de retour pour préserver la taille de la population d'une cohorte donnée. Les régions rurales doivent plutôt compter sur les arrivants d'autres régions (urbaines) pour atteindre cet objectif. Certaines collectivités rurales y parviennent, c'est-à-dire qu'elles enregistrent une migration d'entrée nette positive des individus de 25 à 29 ans ou plus, même si elles enregistrent une perte nette pour les plus jeunes.

    Ceux qui quittent les régions rurales connaissent généralement une croissance de leurs revenus supérieure à celle de ceux qui restent. La question suivante sur le sens dans lequel joue le rapport de causalité reste cependant sans réponse : le processus de migration lui-même entraîne-t-il une croissance des gains supérieure ou reflète-t-il la possibilité que ceux dont le potentiel de croissance des gains est supérieur ont plus tendance à partir?

    Date de diffusion : 2000-09-05
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Analyses (5)

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  • Articles et rapports : 91-209-X200400010665
    Géographie : Canada
    Description : Partie 2 de cet papier analyse des caractéristiques des migrants est proposée. Il propose un modèle visant à identifier les caractéristiques socio-économiques ayant une influence sur la probabilité de migrer et sur le choix d’une destination. Les résultats d’un tel modèle permettent de mieux connaître l’effet des migrations internes sur la composition sociodémographique des communautés. Dans cet article, les auteurs analysent les mouvements migratoires des Canadiens entre 2001 et 2006 à l'aide des données du Recensement de 2006. Dans un premier temps, les principaux flux de migration interne sont décrits, et ce, à différents niveaux géographiques. Les résultats permettent ainsi d'exposer certains phénomènes qui ont marqué la période intercensitaire 2001-2006 tels que la baisse générale de la mobilité, l'attraction exercée par l'Alberta, expansion urbain et les départs des jeunes des régions rurales. Dans un second temps, diverses caractéristiques des migrants sont étudiées à l'aide d'un modèle statistique multivarié incluant plusieurs types de lieu de destination. Les résultats permettent de mieux connaître les caractéristiques socio-démographiques associées à la mobilité comme l'âge, l'état matrimonial, la scolarité, la structure familiale ou le statut d'immigrant.
    Date de diffusion : 2008-07-23

  • Articles et rapports : 11F0019M2005254
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude examine les changements qui ont touché la concentration géographique des principaux groupes d'immigrants au Canada en ce qui a trait à leur destination initiale et redistribution subséquente au cours des deux dernières décennies. En même temps, elle porte sur le rôle des collectivités immigrantes déjà établies à l'égard du choix de leur lieu d'établissement par les nouveaux immigrants. Les résultats montrent une augmentation marquée des niveaux de concentration quant à la destination initiale parmi les principaux groupes d'immigrants tout au long des années 1970 et 1980, tendance qui disparaît au cours de la décennie suivante. La redistribution après l'immigration s'est faite généralement à petite échelle et a eu des effets non uniformes sur la modification de la concentration des destinations initiales chez les groupes d'immigrants et les cohortes d'arrivée à l'intérieur d'un groupe. Même dans le cas des groupes d'immigrants et de réfugiés dont l'établissement initial a été fortement influencé par les interventions du gouvernement, la redistribution n'a modifié que partiellement la répartition géographique générale. Enfin, l'étude montre que la taille de la collectivité immigrante déjà établie n'est pas un facteur important quant au choix de leur lieu d'établissement par les nouveaux immigrants, lorsque les effets fixes du lieu sont pris en compte.

    Date de diffusion : 2005-06-29

  • Articles et rapports : 11F0019M2005255
    Géographie : Canada
    Description :

    Le present article résume les conclusions de le document de recherché intitulée: Destinations initiales et redistribution des principaux groupes d'immigrants au Canada : changements au cours des deux dernières décennies. En 1981, environ 58 % des immigrants arrivés au Canada au cours des 10 années précédentes vivaient à Toronto, à Vancouver et à Montréal; en 2001, cette proportion était passée à 74 % (Statistique Canada 2003), ce qui a déclenché une discussion sur les avantages d'une « répartition géographique mieux équilibrée des immigrants » (Citoyenneté et Immigration Canada (CIC) 2001). Les politiques visant à orienter les immigrants vers d'autres destinations que les villes carrefour de plusieurs pays occidentaux sont axées sur le choix de la destination finale et peu d'efforts ont été déployés pour influencer la mobilité par la suite. Mais ces politiques n'auront les résultats attendus que si les régions qui ne servent pas de porte d'entrée arrivent à conserver les immigrants ou à maintenir l'équilibre entre la migration interne et la migration externe. À cette fin, la présente étude examine dans quelle mesure la concentration géographique des principaux groupes d'immigrants arrivés au Canada au cours des deux dernières décennies s'est modifiée au fil du temps et procède pour ce faire à une comparaison entre les immigrants arrivés pendant les années 1970, 1980 et 1990, d'abord au point de vue de leur concentration dans les destinations initiales, puis de leur dispersion géographique subséquente. Elle accorde une attention particulière au profil de dispersion des groupes dont le lieu d'établissement initial avait été influencé par des politiques gouvernementales et examine le rôle des collectivités d'immigrants déjà établies dans la répartition géographique des nouveaux immigrants.

    Date de diffusion : 2005-06-29

  • Articles et rapports : 91F0015M2004006
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans ce document, on évalue et on compare la nouvelle et l'ancienne méthode pour produire des estimations officielles de la migration interne et interprovinciale selon les provinces ou les territoires pour la période de 1996-1997 à 2000-2001.

    Date de diffusion : 2004-06-17

  • Articles et rapports : 11F0019M2000152
    Géographie : Canada
    Description :

    La déperdition des jeunes des collectivités rurales cause depuis un bon moment déjà bien des inquiétudes. On pense généralement que la plupart des collectivités rurales offrent peu de possibilités à leurs jeunes, ce qui les oblige à partir vers les villes, vraisemblablement pour toujours. Même s'il existe un corpus de recherche considérable sur la migration interprovinciale, on sait assez peu de choses des modèles de migration entre les régions rurales et urbaines du Canada.

    D'après notre analyse, les jeunes de 15 à 19 ans de presque toutes les provinces quittent en plus grand nombre les régions rurales que les régions urbaines, en partie pour poursuivre des études post-secondaires. Les modèles de migration sont plus complexes pour le groupe des 20 à 29 ans, mais toute la migration a pour résultat net que les provinces de l'Atlantique, tout comme le Manitoba et la Saskatchewan, enregistrent des pertes nettes de leur population rurale de 15 à 29 ans. Le problème est particulièrement aigu à Terre-Neuve. Les régions rurales des provinces de l'Atlantique qui obtiennent des résultats inférieurs à la moyenne nationale, en termes de gains nets de la population de jeunes, enregistrent ces pertes non pas parce qu'elles perdent une proportion de jeunes plus élevée que la moyenne nationale, mais parce qu'elles ne parviennent pas à attirer assez de jeunes personnes à venir vivre chez elles.

    Tout au plus 25 % des personnes qui quittent leur collectivité rurale y reviennent dix ans plus tard. L'effet de ce résultat est clair : on ne peut pas compter sur la migration de retour pour préserver la taille de la population d'une cohorte donnée. Les régions rurales doivent plutôt compter sur les arrivants d'autres régions (urbaines) pour atteindre cet objectif. Certaines collectivités rurales y parviennent, c'est-à-dire qu'elles enregistrent une migration d'entrée nette positive des individus de 25 à 29 ans ou plus, même si elles enregistrent une perte nette pour les plus jeunes.

    Ceux qui quittent les régions rurales connaissent généralement une croissance de leurs revenus supérieure à celle de ceux qui restent. La question suivante sur le sens dans lequel joue le rapport de causalité reste cependant sans réponse : le processus de migration lui-même entraîne-t-il une croissance des gains supérieure ou reflète-t-il la possibilité que ceux dont le potentiel de croissance des gains est supérieur ont plus tendance à partir?

    Date de diffusion : 2000-09-05
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