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- Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 84-538-XGéographie : CanadaDescription : Cette publication électronique présente la méthodologie sous-jacente à la production des tables de mortalité pour le Canada, les provinces et les territoires.Date de diffusion : 2023-08-28
- Articles et rapports : 82-003-X201401114111Géographie : CanadaDescription :
La présente étude fournit des données empiriques sur le biais introduit dans les RSR au Canada lorsque le calcul des probabilités prévues de survie est fondé sur des tables de mortalité portant sur l’ensemble de la population, sans ajustement au titre de la mortalité par cancer.
Date de diffusion : 2014-11-19 - Articles et rapports : 82-003-X201400211903Géographie : CanadaDescription :
À partir des données du Registre canadien du cancer, la présente étude examine l'incidence que l'utilisation de tables de mortalité historiques plutôt que de tables de mortalité à jour pour l'estimation de la survie prévue peut avoir sur le calcul des ratios de survie relative. Les résultats son présentés selon le sexe, le groupe d'âge et la durée de la survie.
Date de diffusion : 2014-02-19 - Articles et rapports : 91F0015M1997003Géographie : Canada, Province ou territoireDescription :
Pour des raisons historiques, les tables de mortalité les plus connues et fréquemment utilisées sont les tables du moment. Elles sont construites avec les taux de mortalité par âge observés sur une courte période (souvent l'année) et ont pour but de renseigner sur l'état de la mortalité à cette période. Les survivants et les décès qui figurent dans leurs colonnes sont en quelque sorte davantage des abstractions que des réalités. Il est donc fautif de croire que la table de mortalité d'une année (1995 par exemple) a une quelconque valeur prédictive de la cadence à laquelle disparaîtront ceux qui naissent cette année-là et par extension de la durée moyenne de la vie qu'ils commencent. À de rares exceptions la moyenne des années vécues par les individus a toujours été plus longue que l'espérance de vie de la table de mortalité de l'année de leur naissance. Cela vient de ce que l'incessante lutte contre la mort réduit année après année ces risques de décès à chaque âge et les individus, en avançant dans la vie bénéficient de ces gains successifs.
Pour reconstituer (ou envisager) la cadence à laquelle les membres d'une génération ont réellement disparu (ou disparaîtront), il faut disposer de très longues séries de taux de mortalité par âge et d'indications fiables sur ceux qui manquent pour les agencer de manière à constituer le cheminement réel d'une génération. Construites exactement de la même manière que celles du moment ces tables portent tout naturellement le nom de tables de génération mais l'observation comparative de leurs paramètres livre des enseignements d'une grande richesse.
Date de diffusion : 1997-10-01 - Articles et rapports : 82-003-X19950032449Géographie : CanadaDescription :
La prolongation de l'espérence de vie qui résulterait de l'éradication de certaines maladies et le changement dans le recours aux services hospitaliers qui s'ensuivrait varient avec la maladie. Dans certains cas, on assisterait à un relèvement de l'espérance de vie, tandis que le nombre de jours d'hospitalisation diminuerait. Dans d'autres cas cependant, une plus grande espérance de vie se traduirait par une augmentation de journées passées à l'hôpital. Par exemple, si on parvenait à supprimer les maladies mentales, l'espérance de vie à 45 ans n'augmenterait pratiquement pas, passant de 34,9 ans à seulement 35,3 ans, mais le nombre de jours d'hospitalisation chuterait de 168 à 151. Si toutefois on éliminait les maladies de l'appareil circulatoire, l'espérance de vie à 45 ans augmenterait, passant de 34,9 à 41,6 ans, alors que la durée des hospitalisations passerait de 168 à 209 jours. L'élimination non seulement des maladies mentales, mais aussi des traumatismes, des intoxications et des affectations du système nerveux pourrait à la fois accroître l'espérance de vie et réduire le séjour à l'hôpital.
Date de diffusion : 1996-02-09 - Articles et rapports : 82-003-X19950032450Géographie : CanadaDescription :
Des tables de mortalité abrégées pour l'année 1991 ont été réalisées grâce aux données recueillies lors du Recensement du Canada de 1991, aux estimations du sous- dénombrement net au recensement et aux données sur la mortalité de 1990 à 1992. Les auteurs se sont intéressés à la sensibilité des valeurs qui composent les tables de mortalité, à diverses méthodes d'estimation et à diverses estimations de la populaiton. Ils ont comparé les résultats obtenues avec quatre méthodes (incluant Greville, Chiang et Keyfitz) et utilisé les estimations de la population, corrigées ou non en fonction du sous- dénombrement net au recensement, pour vérifier les effets de la méthode et du type d'estimation de la population sur les valeurs des tables de mortalité. Il en concluent que l'influence de la méthode d'estimation est bien moins grande que celle des estimations de la population. L'espérance de vie à la naissance varie d'au plus 15 jours selon la méthode de calcul choisies, mais de quelque 73 jours lorsqu'on change d'estimation de la population. Puisque l'importance du sous-dénombrement net fluctue avec l'âge, le sexe et la province, l'espérance de vie connai't des variations correspondantes.
Date de diffusion : 1996-02-09 - Articles et rapports : 11F0019M1995081Géographie : CanadaDescription :
Les utilisateurs de statistiques socio-économiques veulent habituellement plus de renseignements, et de meilleure qualité. Souvent, on peut répondre à ces besoins simplement par des collectes de données plus poussées, qui sont soumises aux contraintes habituelles relatives aux coûts et au fardeau de réponse des répondants. Les utilisateurs, particulièrement aux fins de politiques publiques, continuent de réclamer, et cette demande n'est toujours pas comblée, un système intégré et cohérent de statistiques socio-économiques. Dans ce cas, des données supplémentaires ne seront pas suffisantes; la contrainte la plus importante demeure l'absence d'une approche conceptuelle convenue.
Nous examinons brièvement ici l'état des cadres d'utilisation des statistiques sociales et économiques, y compris les genres d'indicateurs socio-économiques que les utilisateurs pourraient désirer. Ces indicateurs sont premièrement justifiés, en termes généraux, par des principes de base et des concepts intuitifs, ce laisse de côté les détails de leur construction, pour le moment. Ensuite, nous montrons comment une structure cohérente de tels indicateurs peut être assemblée.
Une conséquence fondamentale est que cette structure exige un réseau coordonné d'enquêtes et de processus de collecte de données, ainsi que des normes supérieures de qualité de données. Ceci, à son tour, implique une décomposition des systèmes sur mesure qui caractérisent la majeure partie du travail d'enquête des agences statistiques nationales (ex. des «chaînes de production» de données parallèles, mais généralement non reliées). De plus, les données émanant du réseau d'enquêtes doivent être intégrées. Puisque les données en question sont dynamiques, la méthode proposée dépasse la correspondance statistique et s'étend aux modèles de microsimulation. Enfin, ces idées sont illustrées avec les résultats préliminaires du modèle LifePathss actuellement en cours d'élaboration à Statistique Canada.
Date de diffusion : 1995-07-30
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Analyses (6)
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- Articles et rapports : 82-003-X201401114111Géographie : CanadaDescription :
La présente étude fournit des données empiriques sur le biais introduit dans les RSR au Canada lorsque le calcul des probabilités prévues de survie est fondé sur des tables de mortalité portant sur l’ensemble de la population, sans ajustement au titre de la mortalité par cancer.
Date de diffusion : 2014-11-19 - Articles et rapports : 82-003-X201400211903Géographie : CanadaDescription :
À partir des données du Registre canadien du cancer, la présente étude examine l'incidence que l'utilisation de tables de mortalité historiques plutôt que de tables de mortalité à jour pour l'estimation de la survie prévue peut avoir sur le calcul des ratios de survie relative. Les résultats son présentés selon le sexe, le groupe d'âge et la durée de la survie.
Date de diffusion : 2014-02-19 - Articles et rapports : 91F0015M1997003Géographie : Canada, Province ou territoireDescription :
Pour des raisons historiques, les tables de mortalité les plus connues et fréquemment utilisées sont les tables du moment. Elles sont construites avec les taux de mortalité par âge observés sur une courte période (souvent l'année) et ont pour but de renseigner sur l'état de la mortalité à cette période. Les survivants et les décès qui figurent dans leurs colonnes sont en quelque sorte davantage des abstractions que des réalités. Il est donc fautif de croire que la table de mortalité d'une année (1995 par exemple) a une quelconque valeur prédictive de la cadence à laquelle disparaîtront ceux qui naissent cette année-là et par extension de la durée moyenne de la vie qu'ils commencent. À de rares exceptions la moyenne des années vécues par les individus a toujours été plus longue que l'espérance de vie de la table de mortalité de l'année de leur naissance. Cela vient de ce que l'incessante lutte contre la mort réduit année après année ces risques de décès à chaque âge et les individus, en avançant dans la vie bénéficient de ces gains successifs.
Pour reconstituer (ou envisager) la cadence à laquelle les membres d'une génération ont réellement disparu (ou disparaîtront), il faut disposer de très longues séries de taux de mortalité par âge et d'indications fiables sur ceux qui manquent pour les agencer de manière à constituer le cheminement réel d'une génération. Construites exactement de la même manière que celles du moment ces tables portent tout naturellement le nom de tables de génération mais l'observation comparative de leurs paramètres livre des enseignements d'une grande richesse.
Date de diffusion : 1997-10-01 - Articles et rapports : 82-003-X19950032449Géographie : CanadaDescription :
La prolongation de l'espérence de vie qui résulterait de l'éradication de certaines maladies et le changement dans le recours aux services hospitaliers qui s'ensuivrait varient avec la maladie. Dans certains cas, on assisterait à un relèvement de l'espérance de vie, tandis que le nombre de jours d'hospitalisation diminuerait. Dans d'autres cas cependant, une plus grande espérance de vie se traduirait par une augmentation de journées passées à l'hôpital. Par exemple, si on parvenait à supprimer les maladies mentales, l'espérance de vie à 45 ans n'augmenterait pratiquement pas, passant de 34,9 ans à seulement 35,3 ans, mais le nombre de jours d'hospitalisation chuterait de 168 à 151. Si toutefois on éliminait les maladies de l'appareil circulatoire, l'espérance de vie à 45 ans augmenterait, passant de 34,9 à 41,6 ans, alors que la durée des hospitalisations passerait de 168 à 209 jours. L'élimination non seulement des maladies mentales, mais aussi des traumatismes, des intoxications et des affectations du système nerveux pourrait à la fois accroître l'espérance de vie et réduire le séjour à l'hôpital.
Date de diffusion : 1996-02-09 - Articles et rapports : 82-003-X19950032450Géographie : CanadaDescription :
Des tables de mortalité abrégées pour l'année 1991 ont été réalisées grâce aux données recueillies lors du Recensement du Canada de 1991, aux estimations du sous- dénombrement net au recensement et aux données sur la mortalité de 1990 à 1992. Les auteurs se sont intéressés à la sensibilité des valeurs qui composent les tables de mortalité, à diverses méthodes d'estimation et à diverses estimations de la populaiton. Ils ont comparé les résultats obtenues avec quatre méthodes (incluant Greville, Chiang et Keyfitz) et utilisé les estimations de la population, corrigées ou non en fonction du sous- dénombrement net au recensement, pour vérifier les effets de la méthode et du type d'estimation de la population sur les valeurs des tables de mortalité. Il en concluent que l'influence de la méthode d'estimation est bien moins grande que celle des estimations de la population. L'espérance de vie à la naissance varie d'au plus 15 jours selon la méthode de calcul choisies, mais de quelque 73 jours lorsqu'on change d'estimation de la population. Puisque l'importance du sous-dénombrement net fluctue avec l'âge, le sexe et la province, l'espérance de vie connai't des variations correspondantes.
Date de diffusion : 1996-02-09 - Articles et rapports : 11F0019M1995081Géographie : CanadaDescription :
Les utilisateurs de statistiques socio-économiques veulent habituellement plus de renseignements, et de meilleure qualité. Souvent, on peut répondre à ces besoins simplement par des collectes de données plus poussées, qui sont soumises aux contraintes habituelles relatives aux coûts et au fardeau de réponse des répondants. Les utilisateurs, particulièrement aux fins de politiques publiques, continuent de réclamer, et cette demande n'est toujours pas comblée, un système intégré et cohérent de statistiques socio-économiques. Dans ce cas, des données supplémentaires ne seront pas suffisantes; la contrainte la plus importante demeure l'absence d'une approche conceptuelle convenue.
Nous examinons brièvement ici l'état des cadres d'utilisation des statistiques sociales et économiques, y compris les genres d'indicateurs socio-économiques que les utilisateurs pourraient désirer. Ces indicateurs sont premièrement justifiés, en termes généraux, par des principes de base et des concepts intuitifs, ce laisse de côté les détails de leur construction, pour le moment. Ensuite, nous montrons comment une structure cohérente de tels indicateurs peut être assemblée.
Une conséquence fondamentale est que cette structure exige un réseau coordonné d'enquêtes et de processus de collecte de données, ainsi que des normes supérieures de qualité de données. Ceci, à son tour, implique une décomposition des systèmes sur mesure qui caractérisent la majeure partie du travail d'enquête des agences statistiques nationales (ex. des «chaînes de production» de données parallèles, mais généralement non reliées). De plus, les données émanant du réseau d'enquêtes doivent être intégrées. Puisque les données en question sont dynamiques, la méthode proposée dépasse la correspondance statistique et s'étend aux modèles de microsimulation. Enfin, ces idées sont illustrées avec les résultats préliminaires du modèle LifePathss actuellement en cours d'élaboration à Statistique Canada.
Date de diffusion : 1995-07-30
Références (1)
Références (1) ((1 résultat))
- Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 84-538-XGéographie : CanadaDescription : Cette publication électronique présente la méthodologie sous-jacente à la production des tables de mortalité pour le Canada, les provinces et les territoires.Date de diffusion : 2023-08-28
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