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Tout (3)

Tout (3) ((3 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M1999132
    Géographie : Canada
    Description :

    La pauvreté chez les enfants est un problème auquel le gouvernement accorde la priorité. Pour réduire le taux de faible revenu chez les enfants, il faut soit diminuer le nombre d'enfants qui entrent dans la situation de faible revenu, soit accroître le nombre de ceux qui en sortent. Mais quels sont les facteurs qui influent sur de tels mouvements? La majorité des analystes invoqueront d'emblée les pertes d'emploi chez les parents. Cependant, de toute évidence, les divorces et les remariages peuvent aussi jouer un rôle à cet égard. Pour pouvoir influencer de façon utile les mouvements, il faut posséder une certaine compréhension des forces qui agissent sur eux. L'objet du présent document est de déterminer dans quelle mesure les mouvements des enfants sont le fait (1) de changements dans la situation familiale des parents ou (2) de changements dans la situation d'un parent sur le marché du travail (perte ou obtention d'un emploi, changements dans les heures de travail ou la rémunération, etc.). Nous avons constaté qu'un divorce ou un mariage peut avoir une énorme incidence sur la probabilité qu'un enfant en particulier entre dans la situation de faible revenu ou en sorte. Au niveau individuel, les changements dans la composition de la famille (quand il s'en produit) ont un effet plus marqué que les changements dans la situation des parents sur le marché du travail. Cependant, les premiers sont relativement peu fréquents en comparaison des derniers. Les parents sont beaucoup plus susceptibles de perdre ou de décrocher un emploi et de connaître des modifications de leurs heures de travail ou de leur rémunération que de se marier ou de divorcer. Lorsque nous tenons compte de cela, nous constatons que, dans l'ensemble, les mouvements des enfants dans la situation de faible revenu et en dehors de celle-ci sont attribuables, dans des proportions à peu près égales, aux changements dans la compositions de la famille et aux changements dans la rémunération et les heures de travail.

    Date de diffusion : 1999-04-21

  • Articles et rapports : 11F0019M1998114
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce document examine la mobilité interprovinciale de la main-d'oeuvre des immigrants comparativement à celle des Canadiens de naissance. Les Canadiens nés à l'étranger diffèrent énormément de leurs homologues nés au pays. La population née à l'étranger est géographiquement concentrée dans quelques provinces et quelques grandes villes. Dans l'ensemble, ces Canadiens sont plus âgés, plus instruits, plus susceptibles d'être mariés et d'avoir des enfants à charge et des ménages constitués d'un plus grand nombre de personnes. Ils sont moins engagés dans des études ou une formation à plein temps. Ils réussissent relativement mieux sur le marché du travail. Par conséquent, une plus grande proportion d'entre eux touchent des prestations de sécurité sociale directement associées à la présence d'enfants à charge ou à l'âge, par exemple, des prestations d'allocation familiale et des revenus de pension, mais un moins grand nombre touchent des prestations liées au rendement du marché du travail, telles que des prestations d'assurance-emploi et d'assurance sociale.

    Dans l'ensemble, la mobilité interprovinciale des immigrants est relativement moins grande, tant à l'échelle nationale que dans presque chaque province. Les destinations des immigrants qui changent de province sont géographiquement très concentrées. La plupart d'entre eux s'établissent en Alberta, en Ontario et en Colombie-Britannique. Si une proportion beaucoup plus faible changent de province pour des questions d'ordre économique, bon nombre le font à des fins d'études ou après leur retraite. Les revenus déclarés dans la province de migration sont beaucoup plus élevés. Cette situation découle tant de l'augmentation des salaires que du plus grand nombre d'heures travaillées après la migration.

    Les résultats de la régression multidimensionnelle montrent qu'il n'existe aucune différence structurelle statistiquement significative entre les facteurs déterminants des décisions de migration interprovinciale des Canadiens nés à l'étranger et ceux des Canadiens de naissance comparables. La probabilité de changer de province, qu'il s'agisse des immigrants ou des Canadiens nés au pays, est plus élevée si les salaires escomptés sont relativement meilleurs ailleurs, plus faible s'il est relativement plus difficile de trouver un emploi ailleurs, plus élevée chez les travailleurs plus instruits, plus faible chez des Canadiens francophones, plus faible parmi les travailleurs syndiqués et elle diminue en fonction de l'âge, de la taille de la famille et de la durée de l'emploi. Aucune des variables substituts des interventions du gouvernement à l'égard du marché du travail n'influe de façon importante sur la décision de changer de province. Les taux plus faibles de mobilité chez les Canadiens nés à l'étranger sont entièrement attribuables aux différences de répartition et de composition entre les populations immigrantes et non immigrantes.

    Ces conclusions ont des incidences directes sur les politiques de sélection des immigrants. Pour stimuler la croissance de la population et de la main-d''uvre dans des provinces économiquement moins prospères, il semblerait approprié et efficace de modifier le système actuel de sélection et d'approbation des immigrants, en considérant la destination comme facteur supplémentaire et en accordant des points aux requérants qui choisissent de s'établir dans des provinces désignées.

    Date de diffusion : 1998-09-23

  • Articles et rapports : 75-001-X19980013594
    Géographie : Canada
    Description :

    L'âge, la situation familiale, les horaires de travail ainsi que les congés influent sur les absences du travail. Voici un tableau détaillé et à jour des conséquences de ces variables et de certains autres facteurs. Les données sont celles de l'Enquête sur la population active remaniée et de l'Enquête sur les horaires et les conditions de travail de 1995. Pour la première fois, il est possible de retrancher les données relatives aux congés de maternité.

    Date de diffusion : 1998-03-25
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Analyses (3)

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  • Articles et rapports : 11F0019M1999132
    Géographie : Canada
    Description :

    La pauvreté chez les enfants est un problème auquel le gouvernement accorde la priorité. Pour réduire le taux de faible revenu chez les enfants, il faut soit diminuer le nombre d'enfants qui entrent dans la situation de faible revenu, soit accroître le nombre de ceux qui en sortent. Mais quels sont les facteurs qui influent sur de tels mouvements? La majorité des analystes invoqueront d'emblée les pertes d'emploi chez les parents. Cependant, de toute évidence, les divorces et les remariages peuvent aussi jouer un rôle à cet égard. Pour pouvoir influencer de façon utile les mouvements, il faut posséder une certaine compréhension des forces qui agissent sur eux. L'objet du présent document est de déterminer dans quelle mesure les mouvements des enfants sont le fait (1) de changements dans la situation familiale des parents ou (2) de changements dans la situation d'un parent sur le marché du travail (perte ou obtention d'un emploi, changements dans les heures de travail ou la rémunération, etc.). Nous avons constaté qu'un divorce ou un mariage peut avoir une énorme incidence sur la probabilité qu'un enfant en particulier entre dans la situation de faible revenu ou en sorte. Au niveau individuel, les changements dans la composition de la famille (quand il s'en produit) ont un effet plus marqué que les changements dans la situation des parents sur le marché du travail. Cependant, les premiers sont relativement peu fréquents en comparaison des derniers. Les parents sont beaucoup plus susceptibles de perdre ou de décrocher un emploi et de connaître des modifications de leurs heures de travail ou de leur rémunération que de se marier ou de divorcer. Lorsque nous tenons compte de cela, nous constatons que, dans l'ensemble, les mouvements des enfants dans la situation de faible revenu et en dehors de celle-ci sont attribuables, dans des proportions à peu près égales, aux changements dans la compositions de la famille et aux changements dans la rémunération et les heures de travail.

    Date de diffusion : 1999-04-21

  • Articles et rapports : 11F0019M1998114
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce document examine la mobilité interprovinciale de la main-d'oeuvre des immigrants comparativement à celle des Canadiens de naissance. Les Canadiens nés à l'étranger diffèrent énormément de leurs homologues nés au pays. La population née à l'étranger est géographiquement concentrée dans quelques provinces et quelques grandes villes. Dans l'ensemble, ces Canadiens sont plus âgés, plus instruits, plus susceptibles d'être mariés et d'avoir des enfants à charge et des ménages constitués d'un plus grand nombre de personnes. Ils sont moins engagés dans des études ou une formation à plein temps. Ils réussissent relativement mieux sur le marché du travail. Par conséquent, une plus grande proportion d'entre eux touchent des prestations de sécurité sociale directement associées à la présence d'enfants à charge ou à l'âge, par exemple, des prestations d'allocation familiale et des revenus de pension, mais un moins grand nombre touchent des prestations liées au rendement du marché du travail, telles que des prestations d'assurance-emploi et d'assurance sociale.

    Dans l'ensemble, la mobilité interprovinciale des immigrants est relativement moins grande, tant à l'échelle nationale que dans presque chaque province. Les destinations des immigrants qui changent de province sont géographiquement très concentrées. La plupart d'entre eux s'établissent en Alberta, en Ontario et en Colombie-Britannique. Si une proportion beaucoup plus faible changent de province pour des questions d'ordre économique, bon nombre le font à des fins d'études ou après leur retraite. Les revenus déclarés dans la province de migration sont beaucoup plus élevés. Cette situation découle tant de l'augmentation des salaires que du plus grand nombre d'heures travaillées après la migration.

    Les résultats de la régression multidimensionnelle montrent qu'il n'existe aucune différence structurelle statistiquement significative entre les facteurs déterminants des décisions de migration interprovinciale des Canadiens nés à l'étranger et ceux des Canadiens de naissance comparables. La probabilité de changer de province, qu'il s'agisse des immigrants ou des Canadiens nés au pays, est plus élevée si les salaires escomptés sont relativement meilleurs ailleurs, plus faible s'il est relativement plus difficile de trouver un emploi ailleurs, plus élevée chez les travailleurs plus instruits, plus faible chez des Canadiens francophones, plus faible parmi les travailleurs syndiqués et elle diminue en fonction de l'âge, de la taille de la famille et de la durée de l'emploi. Aucune des variables substituts des interventions du gouvernement à l'égard du marché du travail n'influe de façon importante sur la décision de changer de province. Les taux plus faibles de mobilité chez les Canadiens nés à l'étranger sont entièrement attribuables aux différences de répartition et de composition entre les populations immigrantes et non immigrantes.

    Ces conclusions ont des incidences directes sur les politiques de sélection des immigrants. Pour stimuler la croissance de la population et de la main-d''uvre dans des provinces économiquement moins prospères, il semblerait approprié et efficace de modifier le système actuel de sélection et d'approbation des immigrants, en considérant la destination comme facteur supplémentaire et en accordant des points aux requérants qui choisissent de s'établir dans des provinces désignées.

    Date de diffusion : 1998-09-23

  • Articles et rapports : 75-001-X19980013594
    Géographie : Canada
    Description :

    L'âge, la situation familiale, les horaires de travail ainsi que les congés influent sur les absences du travail. Voici un tableau détaillé et à jour des conséquences de ces variables et de certains autres facteurs. Les données sont celles de l'Enquête sur la population active remaniée et de l'Enquête sur les horaires et les conditions de travail de 1995. Pour la première fois, il est possible de retrancher les données relatives aux congés de maternité.

    Date de diffusion : 1998-03-25
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