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- Articles et rapports : 62F0014M2001015Géographie : CanadaDescription :
L'indice des prix à la consommation (IPC) canadien utilise une version de l'approche du coût d'utilisation afin de mesurer le coût de la propriété d'un logement. Parce que cette approche comporte une estimation spécifique des coûts d'utilisation du logement en propriété et pas de celui qu'assument les locataires, la mesure comprend une composante « coût de remplacement » (ou « dépréciation »). La dépréciation est la seule composante de l'IPC qui ne représente pas un débours. Par conséquent, la mesure de la dépréciation présente aux économistes un ensemble bien particulier de défis méthodologiques.
Entre 1949 et 1997, le taux annuel de dépréciation des logements utilisé dans l'IPC était de 2 %. Statistique Canada a retenu le taux d'une étude renfermant une analyse des données d'évaluation de 1939 de la Federal Housing Administration des États-Unis. La présente étude avance qu'il peut être démontré que le taux de dépréciation de 2 % est trop élevé pour être encore utilisé à l'avenir, parce que : 1) d'autres études canadiennes révèlent une limite supérieure de 1,7 %, avec une médiane de 1,5 %; 2) d'autres organismes statistiques utilisent des taux moindres; 3) toutes les études théoriques des quarante dernières années ont conclu à un taux moindre. Par suite de la présente étude et des justifications à l'appui, le taux de dépréciation dans l'IPC canadien a été ramené à 1,5 % à compter de janvier 1998.
Date de diffusion : 2001-11-28 - Articles et rapports : 62F0014M2001014Géographie : CanadaDescription :
Le présent document est le premier d'une série de rapports sur l'utilisation éventuelle de données scanographiques dans la construction d'indices de prix. Il s'agit d'une étude de cas qui compare le comportement des prix des téléviseurs mesuré par les méthodes d'enquête actuelles à des mesures de rechange obtenues par la manipulation d'enregistrements portant sur toutes les ventes d'un détaillant au cours d'une période comparable. L'examen chronologique des indices des prix des téléviseurs montre que les rajustements de l'échantillon en fonction de la reconnaissance des variations de qualité de même que les changements dans les habitudes d'achat ont une incidence comparable sur les données de l'indice. Les données scanographiques ont l'avantage de mesurer les ventes réelles et les habitudes d'achat courantes, mais elles ne permettent pas de reconnaître facilement les variations de qualité. La présente analyse révèle que les données scanographiques sont réellement avantageuses lorsqu'il s'agit de suivre les changements dans les habitudes d'achat et d'apporter les rajustements qui s'imposent, mais qu'il est difficile de tenir compte des changements de qualité autrement que par une micro-vérification de ces données. L'ensemble de données scanographiques soulève des questions statistiques (à savoir principalement comment il convient d'agréger les données dans le temps, d'un point de vente à l'autre et d'un produit à l'autre) auxquelles on doit répondre avant de pouvoir s'en servir pour estimer des indices. Les analyses futures tenteront de trouver ces réponses.
Date de diffusion : 2001-06-01
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- Articles et rapports : 62F0014M2001015Géographie : CanadaDescription :
L'indice des prix à la consommation (IPC) canadien utilise une version de l'approche du coût d'utilisation afin de mesurer le coût de la propriété d'un logement. Parce que cette approche comporte une estimation spécifique des coûts d'utilisation du logement en propriété et pas de celui qu'assument les locataires, la mesure comprend une composante « coût de remplacement » (ou « dépréciation »). La dépréciation est la seule composante de l'IPC qui ne représente pas un débours. Par conséquent, la mesure de la dépréciation présente aux économistes un ensemble bien particulier de défis méthodologiques.
Entre 1949 et 1997, le taux annuel de dépréciation des logements utilisé dans l'IPC était de 2 %. Statistique Canada a retenu le taux d'une étude renfermant une analyse des données d'évaluation de 1939 de la Federal Housing Administration des États-Unis. La présente étude avance qu'il peut être démontré que le taux de dépréciation de 2 % est trop élevé pour être encore utilisé à l'avenir, parce que : 1) d'autres études canadiennes révèlent une limite supérieure de 1,7 %, avec une médiane de 1,5 %; 2) d'autres organismes statistiques utilisent des taux moindres; 3) toutes les études théoriques des quarante dernières années ont conclu à un taux moindre. Par suite de la présente étude et des justifications à l'appui, le taux de dépréciation dans l'IPC canadien a été ramené à 1,5 % à compter de janvier 1998.
Date de diffusion : 2001-11-28 - Articles et rapports : 62F0014M2001014Géographie : CanadaDescription :
Le présent document est le premier d'une série de rapports sur l'utilisation éventuelle de données scanographiques dans la construction d'indices de prix. Il s'agit d'une étude de cas qui compare le comportement des prix des téléviseurs mesuré par les méthodes d'enquête actuelles à des mesures de rechange obtenues par la manipulation d'enregistrements portant sur toutes les ventes d'un détaillant au cours d'une période comparable. L'examen chronologique des indices des prix des téléviseurs montre que les rajustements de l'échantillon en fonction de la reconnaissance des variations de qualité de même que les changements dans les habitudes d'achat ont une incidence comparable sur les données de l'indice. Les données scanographiques ont l'avantage de mesurer les ventes réelles et les habitudes d'achat courantes, mais elles ne permettent pas de reconnaître facilement les variations de qualité. La présente analyse révèle que les données scanographiques sont réellement avantageuses lorsqu'il s'agit de suivre les changements dans les habitudes d'achat et d'apporter les rajustements qui s'imposent, mais qu'il est difficile de tenir compte des changements de qualité autrement que par une micro-vérification de ces données. L'ensemble de données scanographiques soulève des questions statistiques (à savoir principalement comment il convient d'agréger les données dans le temps, d'un point de vente à l'autre et d'un produit à l'autre) auxquelles on doit répondre avant de pouvoir s'en servir pour estimer des indices. Les analyses futures tenteront de trouver ces réponses.
Date de diffusion : 2001-06-01
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