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  • Articles et rapports : 82-003-X19970023235
    Géographie : Canada
    Description :

    Cet article porte sur l'utilisation, aux fins d'analyse, de données ayant trait aux causes multiples de décès, qui rassemblent toutes les causes inscrites aux certificats de décès en plus de la cause initiale. On a retenu comme exemple celui des maladies du coeur.

    Date de diffusion : 1997-10-07

  • Articles et rapports : 82-003-X19970023237
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article vise à déterminer si les risques d'issues défavorables de la grossesse et de complications chez la mère sont plus élevés chez les femmes de 30 à 34 ans et de 35 ans et plus que chez les femmes plus jeunes, et si les enfants des femmes plus âgées sont exposés à des risques accrus de complications périnatales et de malformations congénitales.

    Date de diffusion : 1997-10-07

  • Articles et rapports : 91F0015M1997003
    Géographie : Canada, Province ou territoire
    Description :

    Pour des raisons historiques, les tables de mortalité les plus connues et fréquemment utilisées sont les tables du moment. Elles sont construites avec les taux de mortalité par âge observés sur une courte période (souvent l'année) et ont pour but de renseigner sur l'état de la mortalité à cette période. Les survivants et les décès qui figurent dans leurs colonnes sont en quelque sorte davantage des abstractions que des réalités. Il est donc fautif de croire que la table de mortalité d'une année (1995 par exemple) a une quelconque valeur prédictive de la cadence à laquelle disparaîtront ceux qui naissent cette année-là et par extension de la durée moyenne de la vie qu'ils commencent. À de rares exceptions la moyenne des années vécues par les individus a toujours été plus longue que l'espérance de vie de la table de mortalité de l'année de leur naissance. Cela vient de ce que l'incessante lutte contre la mort réduit année après année ces risques de décès à chaque âge et les individus, en avançant dans la vie bénéficient de ces gains successifs.

    Pour reconstituer (ou envisager) la cadence à laquelle les membres d'une génération ont réellement disparu (ou disparaîtront), il faut disposer de très longues séries de taux de mortalité par âge et d'indications fiables sur ceux qui manquent pour les agencer de manière à constituer le cheminement réel d'une génération. Construites exactement de la même manière que celles du moment ces tables portent tout naturellement le nom de tables de génération mais l'observation comparative de leurs paramètres livre des enseignements d'une grande richesse.

    Date de diffusion : 1997-10-01

  • Articles et rapports : 82-003-X19970013055
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article vise à examiner les taux d'opération des anévrismes de l'aorte abdominale (AAA) selon le sexe chez les personnes hospitalisées au Canada. On discute également des raisons possibles des écarts entre les taux observés chez les hommes et chez les femmes.

    Date de diffusion : 1997-07-28

  • Articles et rapports : 82-003-X19970013056
    Géographie : Canada
    Date de diffusion : 1997-07-28

  • Articles et rapports : 82-003-X19970013057
    Géographie : Canada
    Date de diffusion : 1997-07-28

  • Articles et rapports : 82-003-X19970013059
    Géographie : Canada
    Description :

    Examiner les données sur la mortalité au Canada, selon la cause de décès, de 1974 à 1995, en vue d'en dégager les tendances saisonnières et quotidiennes.

    Date de diffusion : 1997-07-28

  • Tableau : 84-210-X
    Description :

    Les tableaux statistiques du présent document traitent principalement du nombre et du taux de naissances vivantes et de mortinaissances au cours des vingt dernières semaines de gestation; du taux de fécondité totale, du taux global de fécondité et du taux fécondité par âge; des naissances vivantes selon l'âge de la mère et l'ordre de la naissance vivante; des poids à la naissance des enfants de sexe masculin et de sexe féminin selon l'âge de la mère et la période de gestation au moment de la naissance et des naissances vivantes selon la division de recensement et les comtés de la ou des provinces.

    Date de diffusion : 1997-05-15

  • Articles et rapports : 11F0019M1997099
    Géographie : Canada
    Description :

    Contexte : Le poumon est depuis plusieurs années le principal siège de cancer causant le décès pour les hommes et il est devenu depuis 1994 également laprincipale cause de décès par cancer pour les femmes au Canada. Il est donc important d'évaluer les ressources nécessaires à son diagnostic et à son traitement. Cetarticle présente, à partir d'un modèle de micro-simulation, une estimation des coûts médicaux directs associés au diagnostic et au traitement du cancer du poumon. L'incidence de 1992 est choisie comme référence alors que les coûts sont évalués selon les tarifs de 1993.Méthodes : Un module consacré au cancer du poumon a été incorporé au Modèle sur la santé de la population (POHEM). Les paramètres du module proviennent,entre autre, du régistre canadien des cancers (RCC) de Statistique Canada qui a fourni de l'information sur l'incidence et la classification histologique des cas decancer du poumon au Canada. Les registres de deux provinces ont permis d'estimer la distribution des stades du cancer au moment du diagnostic. Une équiped'oncologues a dérivé des méthodes de traitements «types» reflétant la pratique actuelle ainsi que les coûts directs associés. L'intégration de ces informations ainsique des courbes de survie appropriées au modèle POHEM permet, par simulation Monte Carlo, d'estimer les coûts globaux de traitement. Résultats : Nous avons estimé que les coûts médicaux directs de diagnostic et de traitement du cancer du poumon s'élevaient globalement à un peu plus de 528millions de dollars. Le coût par année de vie gagnée grâce au traitement de la maladie était d'environ 19,450 $. Pour la première fois au Canada, on a pu estimer lescoûts pour chacune des cinq années postérieures au diagnostic ainsi que pour chacun des stades au moment du diagnostic. Finalement, le coût par année de viegagnée supplémentaire pour trois traitements alternatifs du cancer du poumon non à petite cellule (CPNPC) a pu être estimé. Une analyse de sensibilité a montré queces coûts variaient entre 1,867 $ et 6,850 $ par année de vie gagnée supplémentaire, ce qui se compare avantageusement aux coûts que peuvent entraîner letraitement d'autres maladies.Conclusions : Contrairement à certains avis répandus, il semble que le traitement du cancer du poumon soit efficace d'un point de vue économique. En outre,l'utilisation d'un modèle de micro-simulation comme POHEM permet non seulement l'intégration cohérente d'information de sources diverses mais offre aussi lapossibilité d'estimer l'effet d'interventions médicales alternatives du point de vue des pressions financières sur le système de soins de santé.

    Date de diffusion : 1997-04-22

  • Articles et rapports : 82-003-X19960043021
    Géographie : Canada
    Description :

    En 1994, on estime que 6% des Canadiens âgés de 18 ans et plus, soit 1.1 million d'adultes, ont subi un épisode dépressif majeur. Même si la dépression peut être traîtée, moins de la moitié (43%) des personnes présentant ce genre de trouble au cours de l'année écoulée (environ 487 000) ont indiqué avoir parlé de troubles émotifs ou mentaux avec un professionnel de la santé. En outre, seulement 26% des personnes ayant subi un épisode dépressif majeur ont indiqué avoir consulté quatre fois ou plus. Évidemment, c'est la dépression non chronique qui était la plus susceptible de ne pas avoir été traitée. De même, les personnes atteintes de dépression, en bonne santé physique et celles qui n'avaient pas connu récemment d'évènements négatifs étaient moins susceptibles d'être traitées. Toutefois, une fois ces facteurs contrôlés, le modèle multivarié fait ressortir qu'un plus faible niveau de scolarité et un revenu inadéquat constituent des obstacles au traitement. Des contacts relativement peu fréquents avec un omnipraticien réduisent considérablement les chances que la personne soit traitée. En outre, les hommes et les personnes mariées déprimés étaient moins susceptibles d'être traités pour la dépression. À partir des données de l'Enquête nationale sur la santé de la population (ENSP) de Statistique Canada pour 1994-1995, le présent article examine les caractéristiques des personnes qui répondent aux critères de l'épisode dépressif majeur, mais qui n'ont pas reçu de traitement ou qui l'ont interrompu. Le choix des variables explicatives a été justifié par un cadre théorique proposé par Andersen et Newman. Ce cadre établit les déterminants individuels dans l'utilisation des services de santé. La probabilité que des personnes ayant subi un épisode dépressif majeur ne soient pas traitées a été déterminée par la méthode de régression logistique.

    Date de diffusion : 1997-04-21
Données (2)

Données (2) ((2 résultats))

  • Tableau : 84-210-X
    Description :

    Les tableaux statistiques du présent document traitent principalement du nombre et du taux de naissances vivantes et de mortinaissances au cours des vingt dernières semaines de gestation; du taux de fécondité totale, du taux global de fécondité et du taux fécondité par âge; des naissances vivantes selon l'âge de la mère et l'ordre de la naissance vivante; des poids à la naissance des enfants de sexe masculin et de sexe féminin selon l'âge de la mère et la période de gestation au moment de la naissance et des naissances vivantes selon la division de recensement et les comtés de la ou des provinces.

    Date de diffusion : 1997-05-15

  • Tableau : 82F0008X
    Description :

    L'édition spéciale de 1997, marquant le dixième anniversaire des Statistiques canadiennes sur le cancer, est le fruit de la collaboration entre Statistique Canada, l'Institut national du cancer du Canada, Santé Canada, la Société canadienne du cancer et les registres du cancer provinciaux et territoriaux. Cette monographie de 71 pages contient une estimation de l'incidence du cancer et du taux de mortalité par cancer en 1997, des données historiques (réelles et estimatives) pour la période de 1969 à 1997 et quelques indicateurs du fardeau de la maladie. Les estimations viennent d'une modélisation des données réelles sur l'incidence et le taux de mortalité par province, pour certains sièges du cancer. Cette année, la publication compare le fardeau du cancer au Canada en 1997 et en 1987, année de la première édition.

    Date de diffusion : 1997-03-06
Analyses (12)

Analyses (12) (0 à 10 de 12 résultats)

  • Articles et rapports : 82-003-X19970023235
    Géographie : Canada
    Description :

    Cet article porte sur l'utilisation, aux fins d'analyse, de données ayant trait aux causes multiples de décès, qui rassemblent toutes les causes inscrites aux certificats de décès en plus de la cause initiale. On a retenu comme exemple celui des maladies du coeur.

    Date de diffusion : 1997-10-07

  • Articles et rapports : 82-003-X19970023237
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article vise à déterminer si les risques d'issues défavorables de la grossesse et de complications chez la mère sont plus élevés chez les femmes de 30 à 34 ans et de 35 ans et plus que chez les femmes plus jeunes, et si les enfants des femmes plus âgées sont exposés à des risques accrus de complications périnatales et de malformations congénitales.

    Date de diffusion : 1997-10-07

  • Articles et rapports : 91F0015M1997003
    Géographie : Canada, Province ou territoire
    Description :

    Pour des raisons historiques, les tables de mortalité les plus connues et fréquemment utilisées sont les tables du moment. Elles sont construites avec les taux de mortalité par âge observés sur une courte période (souvent l'année) et ont pour but de renseigner sur l'état de la mortalité à cette période. Les survivants et les décès qui figurent dans leurs colonnes sont en quelque sorte davantage des abstractions que des réalités. Il est donc fautif de croire que la table de mortalité d'une année (1995 par exemple) a une quelconque valeur prédictive de la cadence à laquelle disparaîtront ceux qui naissent cette année-là et par extension de la durée moyenne de la vie qu'ils commencent. À de rares exceptions la moyenne des années vécues par les individus a toujours été plus longue que l'espérance de vie de la table de mortalité de l'année de leur naissance. Cela vient de ce que l'incessante lutte contre la mort réduit année après année ces risques de décès à chaque âge et les individus, en avançant dans la vie bénéficient de ces gains successifs.

    Pour reconstituer (ou envisager) la cadence à laquelle les membres d'une génération ont réellement disparu (ou disparaîtront), il faut disposer de très longues séries de taux de mortalité par âge et d'indications fiables sur ceux qui manquent pour les agencer de manière à constituer le cheminement réel d'une génération. Construites exactement de la même manière que celles du moment ces tables portent tout naturellement le nom de tables de génération mais l'observation comparative de leurs paramètres livre des enseignements d'une grande richesse.

    Date de diffusion : 1997-10-01

  • Articles et rapports : 82-003-X19970013055
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article vise à examiner les taux d'opération des anévrismes de l'aorte abdominale (AAA) selon le sexe chez les personnes hospitalisées au Canada. On discute également des raisons possibles des écarts entre les taux observés chez les hommes et chez les femmes.

    Date de diffusion : 1997-07-28

  • Articles et rapports : 82-003-X19970013056
    Géographie : Canada
    Date de diffusion : 1997-07-28

  • Articles et rapports : 82-003-X19970013057
    Géographie : Canada
    Date de diffusion : 1997-07-28

  • Articles et rapports : 82-003-X19970013059
    Géographie : Canada
    Description :

    Examiner les données sur la mortalité au Canada, selon la cause de décès, de 1974 à 1995, en vue d'en dégager les tendances saisonnières et quotidiennes.

    Date de diffusion : 1997-07-28

  • Articles et rapports : 11F0019M1997099
    Géographie : Canada
    Description :

    Contexte : Le poumon est depuis plusieurs années le principal siège de cancer causant le décès pour les hommes et il est devenu depuis 1994 également laprincipale cause de décès par cancer pour les femmes au Canada. Il est donc important d'évaluer les ressources nécessaires à son diagnostic et à son traitement. Cetarticle présente, à partir d'un modèle de micro-simulation, une estimation des coûts médicaux directs associés au diagnostic et au traitement du cancer du poumon. L'incidence de 1992 est choisie comme référence alors que les coûts sont évalués selon les tarifs de 1993.Méthodes : Un module consacré au cancer du poumon a été incorporé au Modèle sur la santé de la population (POHEM). Les paramètres du module proviennent,entre autre, du régistre canadien des cancers (RCC) de Statistique Canada qui a fourni de l'information sur l'incidence et la classification histologique des cas decancer du poumon au Canada. Les registres de deux provinces ont permis d'estimer la distribution des stades du cancer au moment du diagnostic. Une équiped'oncologues a dérivé des méthodes de traitements «types» reflétant la pratique actuelle ainsi que les coûts directs associés. L'intégration de ces informations ainsique des courbes de survie appropriées au modèle POHEM permet, par simulation Monte Carlo, d'estimer les coûts globaux de traitement. Résultats : Nous avons estimé que les coûts médicaux directs de diagnostic et de traitement du cancer du poumon s'élevaient globalement à un peu plus de 528millions de dollars. Le coût par année de vie gagnée grâce au traitement de la maladie était d'environ 19,450 $. Pour la première fois au Canada, on a pu estimer lescoûts pour chacune des cinq années postérieures au diagnostic ainsi que pour chacun des stades au moment du diagnostic. Finalement, le coût par année de viegagnée supplémentaire pour trois traitements alternatifs du cancer du poumon non à petite cellule (CPNPC) a pu être estimé. Une analyse de sensibilité a montré queces coûts variaient entre 1,867 $ et 6,850 $ par année de vie gagnée supplémentaire, ce qui se compare avantageusement aux coûts que peuvent entraîner letraitement d'autres maladies.Conclusions : Contrairement à certains avis répandus, il semble que le traitement du cancer du poumon soit efficace d'un point de vue économique. En outre,l'utilisation d'un modèle de micro-simulation comme POHEM permet non seulement l'intégration cohérente d'information de sources diverses mais offre aussi lapossibilité d'estimer l'effet d'interventions médicales alternatives du point de vue des pressions financières sur le système de soins de santé.

    Date de diffusion : 1997-04-22

  • Articles et rapports : 82-003-X19960043021
    Géographie : Canada
    Description :

    En 1994, on estime que 6% des Canadiens âgés de 18 ans et plus, soit 1.1 million d'adultes, ont subi un épisode dépressif majeur. Même si la dépression peut être traîtée, moins de la moitié (43%) des personnes présentant ce genre de trouble au cours de l'année écoulée (environ 487 000) ont indiqué avoir parlé de troubles émotifs ou mentaux avec un professionnel de la santé. En outre, seulement 26% des personnes ayant subi un épisode dépressif majeur ont indiqué avoir consulté quatre fois ou plus. Évidemment, c'est la dépression non chronique qui était la plus susceptible de ne pas avoir été traitée. De même, les personnes atteintes de dépression, en bonne santé physique et celles qui n'avaient pas connu récemment d'évènements négatifs étaient moins susceptibles d'être traitées. Toutefois, une fois ces facteurs contrôlés, le modèle multivarié fait ressortir qu'un plus faible niveau de scolarité et un revenu inadéquat constituent des obstacles au traitement. Des contacts relativement peu fréquents avec un omnipraticien réduisent considérablement les chances que la personne soit traitée. En outre, les hommes et les personnes mariées déprimés étaient moins susceptibles d'être traités pour la dépression. À partir des données de l'Enquête nationale sur la santé de la population (ENSP) de Statistique Canada pour 1994-1995, le présent article examine les caractéristiques des personnes qui répondent aux critères de l'épisode dépressif majeur, mais qui n'ont pas reçu de traitement ou qui l'ont interrompu. Le choix des variables explicatives a été justifié par un cadre théorique proposé par Andersen et Newman. Ce cadre établit les déterminants individuels dans l'utilisation des services de santé. La probabilité que des personnes ayant subi un épisode dépressif majeur ne soient pas traitées a été déterminée par la méthode de régression logistique.

    Date de diffusion : 1997-04-21

  • Articles et rapports : 82-003-X19960043022
    Géographie : Canada
    Description :

    La disponibilité des médecins à l'extérieur des centres urbains fait depuis toujours partie des préoccupations en ce qui a trait aux politiques en matière de santé. Les défis qui se posent à cet égard viennent du nombre relativement peu élevé de médecins et des plus grandes distances à parcourir pour y avoir accès. En 1993, presque tous les habitants (99%) des grands centres urbains (comptant un million d'habitants ou plus) vivaient à moins de cinq kilomètres du médecin le plus proche. Toutefois, à l'extérieur des centres urbains, seulement 56% des habitants vivaient aussi près d'un médecin. De même, la proximité varie selon le revenu du secteur de dénombrement (SD) dans les régions moins urbanisées et rurales, mais non dans les régions plus urbanisées. Et, tandis que les Canadiens qui habitent les régions les plus au sud du pays vivent à peu de distance d'un médecin, plus au nord, la distance qui sépare les habitants des médecins est plus grande. Par exemple, en 1993, a' 65-69o de latitude nord, où l'on comptait 3 974 habitants par médecin, près des deux tiers de la population (64%) vivaient à 100 kilomètres ou plus du médecin le plus proche. Par contre, dans les régions les plus au sud du Canada (en-dessous du 45o de latitude nord), y compris Halifax, Toronto et tout le Sud-Ouest de l'Ontario, le ratio population-médecin était de 476.1, et 91% de la population vivait à moins de cinq kilomètres du médecin le plus proche. À partir du répertoire pour 1993 des adresses des médecins de l'Association médicale canadienne, le présent article analyse la proximité des médecins (57 291 médecins) à partir d'un point représentatif de chacun des 45 995 secteurs de dénombrement du recensement au Canada. On tient compte, en outre, de la distance que l'on doit parcourir pour consulter le médecin le plus proche, selon la spécialité de celui-ci.

    Date de diffusion : 1997-04-21
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