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- Articles et rapports : 91F0015M1997004Géographie : CanadaDescription :
L'estimation des effectifs de population par âge, sexe, état matrimonial par provinces, est une entreprise difficile surtout à cause des migrations. En effet, on ne peut caractériser le migrant que par ses déclarations au recensement. Jusqu'en 1991, le recensement ne comportait que la question sur le lieu de résidence cinq ans auparavant. Ainsi, l'individu qui avait cinq ans auparavant une résidence différente était considéré comme un migrant et en tant que tel on lui attribuait au moment de sa migration les caractéristiques qu'il déclarait au recensement. Or, il avait eu cinq ans pour en changer, en particulier son état matrimonial.
Depuis 1991, le recensement pose la question sur la résidence un an auparavant. La même démarche fait attribuer au migrant, au moment de sa migration, des caractéristiques qui selon toute vraisemblance risque davantage d'être les mêmes que celles qu'il déclare. Il n'a eu qu'une seule année pour en changer.L'article décrit en détail les méthodes utilisées maintenant par Statistique Canada pour estimer les caractéristiques des migrants et mesure les avantages par rapport à l'utilisation de la mobilité sur cinq ans.
Date de diffusion : 1997-12-23 - Articles et rapports : 62F0014M19970103362Géographie : CanadaDescription :
On a discuté du biais de mesure de l'IPC des décennies durant, mais c'est la question de la surestimation de l'inflation et donc des prestations sociales qui, en raison de l'importance des déficits budgétaires de l'État, a avivé l'intérêt pour ce biais. Dans le rapport final de la U.S. Advisory Commission to Study the Concumer Price Index, que présidait Michael Boskin, on affirme que, depuis 1996, l'IPC américain a été surévalué de 1.1% par an. Depuis que ce rapport a été rendu public, maints groupes intéressés se sont interrogés sur l'ordre de grandeur de ce biais dans l'IPC canadien. Il s'agissait de savoir si le biais canadien avait la même ampleur. Dans cet article, nous commencerons par présenter la question du biais dans le contexte de l'IPC canadien, et nous traiterons de certains des plans que Statistique Canada entend bientôt réaliser pour améliorer sa mesure de l'IPC. Nous concluons que, si l'IPC canadien peut être entaché des problèmes que pose l'IPC américain, l'effet global de ces biais est moins marqué, puisque Statistique Canada s'est doté plus tôt d'une méthodologie appropriée. En fait, dans des études récentes, Crawford (1993 et 1997) a essayé d'estimer un biais global et est parvenu à la conclusion que, à cause du généreux jugement porté dans les estimations, il est probable que le biais de mesure soit en moyenne moins de 0,5%.
Date de diffusion : 1997-10-02 - Articles et rapports : 62F0014M19970103363Géographie : CanadaDescription :
Les débats autour des problèmes de mesure de l'inflation ne sont pas nouveaux. Ils sont revenus récemment dans l'actualité avec la publication, par une commission du Sénat américain présidée par M.J. Boskin, d'un rapport affirmant que l'indice des prix à la consommation (IPC) américain surestimait l'inflation de 1,1% par an. Le présent article montre que le biais qui pourrait affecter l'indice des prix en France serait d'un ordre de grandeur très nettement inférieur. Résumer l'évolution d'une multitude de prix en un seul chiffre est forcément difficile. Même dans le cas théorique le plus favorable où l'on considère un consommateur unique face à un choix budgétaire, les problèmes de traitement des substitutions entre produits existants sont importants. On sait néanmoins assez bien caractériser les propriétés des diverses approches envisageables et les procédures statistiques utilisées en France mettent notre indice largement à l'abri des critiques sur ce point. L'apparition de nouveaux produits (entendus au sens large: produits réellement nouveaux sur le marché, produits déjà vendus ailleurs mais apparaissant dans un nouveau point de vente, en remplacement ou pas d'un produit ancien) soulève des difficultés non encore complètement résolues que ce soit aux États-Unis, en France ou dans les autres pays. La commission Boskin a affirmé qu'il existerait du fait des nouveaux produits, une surestimation de 0,6% par ans dans l'IPC des États-Unis. Cette affirmation reporse sur des estimations fragiles et probablement exagérées. Cette conclusion rejoint l'avis exprimé par un certain nombre d'experts américains.
Date de diffusion : 1997-10-02 - Articles et rapports : 62F0014M1997010Géographie : CanadaDescription :
Le débat sur la mesure des biais de l'Indice des prix à la consommation, né du rapport de la "Commission consultative américaine sur l'étude de l'indice des prix à la consommation", mieux connu sous le nom du rapport Boskin, n'est pas nouveau : il remonte à plusieurs décennies. Toutefois, plusieurs circonstances confèrent un caractère spécial au débat actuel.
Cette publication présente l'expérience et le point de vue de cinq pays différents de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) en ce qui a trait à la mesure des biais de l'IPC. Alors que la plupart des organismes statistiques reconnaissent que leur IPC n'est pas une mesure parfaite de l'inflation, certains organismes des pays de l'OCDE ont toujours préconisé le développement de programme de recherche destiné à améliorer ces mesures.
Date de diffusion : 1997-10-02 - Articles et rapports : 75-001-X19970023071Géographie : CanadaDescription :
Le présent article propose une méthode visant à mesurer la façon dont se répartissent les âges de début de la retraite (en calculant à cet égard les médianes) tout en cherchant à établir comment les répartitions de ces âges évoluent au fil du temps. On examine pour ce faire le niveau d'instruction des retraités, le sexe, la catégorie de travailleur et l'industrie à laquelle était associé le dernier emploi.
Date de diffusion : 1997-06-11 - Articles et rapports : 11F0019M1997100Géographie : CanadaDescription :
Des changements fondamentaux ont pris place dans le marché du travail et au sein des entreprises au cours des années 1980 et 1990. Dans certains cas, on comprend ce qui s'est produit, sans toutefois en connaître les causes. Dans d'autres cas, on ne dispose pas des données qui permettraient de faire la lumière sur ce qui se passe exactement, et encore moins sur les causes. Les changements qui se produisent sur le marché du travail sont souvent liés à l'évolution des méthodes que les entreprises utilisent pour embaucher et rémunérer la main-d'oeuvre, à l'adoption de nouvelles technologies, à des changements dans les types de marchés surlesquels les entreprises sont en concurrence, ainsi qu'à d'autre événements qui prennent place dans les entreprises, p. ex. l'évolution de l'élément demande du marchédu travail. Toutefois, on ne dispose pas de données permettant d'établir des liens entre de tels événements et la condition des employés. La présente étude donne unaperçu des raisons pour lesquelles de telles données sont nécessaires. L'exemple de l'augmentation de l'inégalité des gains sert à démontrer la nécessité d'uneenquête de ce type. On présente aussi une vue d'ensemble de la façon dont on pourra fournir les nouvelles données en adoptant une nouvelle méthode d'enquête.L'enquête proposée porte d'abord sur des établissements, puis sur les travailleurs qui y sont employés. On établit ainsi un lien direct entre les activités qui prennentplace dans l'établissement et les résultats pour les travailleurs. Inversement, on établit un lien direct entre les événements qui se produisent dans l'entreprise et lescaractéristiques des travailleurs - un autre domaine de recherche où sévit une pénurie de microdonnées. La présente étude donne une vue d'ensemble des raisons quijustifient une telle enquête, de son contenu éventuel et des sujets de recherche que ces données pourraient permettre de traiter.
Date de diffusion : 1997-05-15 - Articles et rapports : 62F0014M1997004Géographie : CanadaDescription :
Le concept d'inflation sous-jacente est devenu avec les années des plus importants pour les banques centrales de différents pays. En effet, plusieurs d'entre elles ont reçu à un moment ou à un autre le mandat de réduire l'inflation et de réaliser la stabilité des prix. Au Canada, ce mandat a été confié à la Banque du Canada en février 1991.
L'inflation sous-jacente est souvent perçue comme étant la tendance dans les mouvements de prix à la consommation. Cette revue de la littérature montre que plus d'une définition de l'inflation sous-jacente existe. Puis, une brève description des différentes méthodes proposées pour mesurer l'inflation sous-jacente, ainsi que certains de leurs résultats sont présentés. Finalement, la revue offre une bibliographie d'articles traitant de l'inflation sous-jacente.
Date de diffusion : 1997-05-05 - Articles et rapports : 11F0019M1997099Géographie : CanadaDescription :
Contexte : Le poumon est depuis plusieurs années le principal siège de cancer causant le décès pour les hommes et il est devenu depuis 1994 également laprincipale cause de décès par cancer pour les femmes au Canada. Il est donc important d'évaluer les ressources nécessaires à son diagnostic et à son traitement. Cetarticle présente, à partir d'un modèle de micro-simulation, une estimation des coûts médicaux directs associés au diagnostic et au traitement du cancer du poumon. L'incidence de 1992 est choisie comme référence alors que les coûts sont évalués selon les tarifs de 1993.Méthodes : Un module consacré au cancer du poumon a été incorporé au Modèle sur la santé de la population (POHEM). Les paramètres du module proviennent,entre autre, du régistre canadien des cancers (RCC) de Statistique Canada qui a fourni de l'information sur l'incidence et la classification histologique des cas decancer du poumon au Canada. Les registres de deux provinces ont permis d'estimer la distribution des stades du cancer au moment du diagnostic. Une équiped'oncologues a dérivé des méthodes de traitements «types» reflétant la pratique actuelle ainsi que les coûts directs associés. L'intégration de ces informations ainsique des courbes de survie appropriées au modèle POHEM permet, par simulation Monte Carlo, d'estimer les coûts globaux de traitement. Résultats : Nous avons estimé que les coûts médicaux directs de diagnostic et de traitement du cancer du poumon s'élevaient globalement à un peu plus de 528millions de dollars. Le coût par année de vie gagnée grâce au traitement de la maladie était d'environ 19,450 $. Pour la première fois au Canada, on a pu estimer lescoûts pour chacune des cinq années postérieures au diagnostic ainsi que pour chacun des stades au moment du diagnostic. Finalement, le coût par année de viegagnée supplémentaire pour trois traitements alternatifs du cancer du poumon non à petite cellule (CPNPC) a pu être estimé. Une analyse de sensibilité a montré queces coûts variaient entre 1,867 $ et 6,850 $ par année de vie gagnée supplémentaire, ce qui se compare avantageusement aux coûts que peuvent entraîner letraitement d'autres maladies.Conclusions : Contrairement à certains avis répandus, il semble que le traitement du cancer du poumon soit efficace d'un point de vue économique. En outre,l'utilisation d'un modèle de micro-simulation comme POHEM permet non seulement l'intégration cohérente d'information de sources diverses mais offre aussi lapossibilité d'estimer l'effet d'interventions médicales alternatives du point de vue des pressions financières sur le système de soins de santé.
Date de diffusion : 1997-04-22 - Avis et consultations : 87-003-X19970012882Géographie : CanadaDescription :
Ce texte a été préparé dans le but d'éclairer les lecteurs d'info-voyages au sujet de l'utilité d'un nouvel outil d'anlyse que sont les Indicateurs nationaux du tourisme. Ces estimations, qui mesurent les tendances du tourisme au Canada, seront mises en perspective ici, en tenant compte des concepts et des définitions qui ont servi à leur élaboration.
Date de diffusion : 1997-01-08
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Analyses (8)
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- Articles et rapports : 91F0015M1997004Géographie : CanadaDescription :
L'estimation des effectifs de population par âge, sexe, état matrimonial par provinces, est une entreprise difficile surtout à cause des migrations. En effet, on ne peut caractériser le migrant que par ses déclarations au recensement. Jusqu'en 1991, le recensement ne comportait que la question sur le lieu de résidence cinq ans auparavant. Ainsi, l'individu qui avait cinq ans auparavant une résidence différente était considéré comme un migrant et en tant que tel on lui attribuait au moment de sa migration les caractéristiques qu'il déclarait au recensement. Or, il avait eu cinq ans pour en changer, en particulier son état matrimonial.
Depuis 1991, le recensement pose la question sur la résidence un an auparavant. La même démarche fait attribuer au migrant, au moment de sa migration, des caractéristiques qui selon toute vraisemblance risque davantage d'être les mêmes que celles qu'il déclare. Il n'a eu qu'une seule année pour en changer.L'article décrit en détail les méthodes utilisées maintenant par Statistique Canada pour estimer les caractéristiques des migrants et mesure les avantages par rapport à l'utilisation de la mobilité sur cinq ans.
Date de diffusion : 1997-12-23 - Articles et rapports : 62F0014M19970103362Géographie : CanadaDescription :
On a discuté du biais de mesure de l'IPC des décennies durant, mais c'est la question de la surestimation de l'inflation et donc des prestations sociales qui, en raison de l'importance des déficits budgétaires de l'État, a avivé l'intérêt pour ce biais. Dans le rapport final de la U.S. Advisory Commission to Study the Concumer Price Index, que présidait Michael Boskin, on affirme que, depuis 1996, l'IPC américain a été surévalué de 1.1% par an. Depuis que ce rapport a été rendu public, maints groupes intéressés se sont interrogés sur l'ordre de grandeur de ce biais dans l'IPC canadien. Il s'agissait de savoir si le biais canadien avait la même ampleur. Dans cet article, nous commencerons par présenter la question du biais dans le contexte de l'IPC canadien, et nous traiterons de certains des plans que Statistique Canada entend bientôt réaliser pour améliorer sa mesure de l'IPC. Nous concluons que, si l'IPC canadien peut être entaché des problèmes que pose l'IPC américain, l'effet global de ces biais est moins marqué, puisque Statistique Canada s'est doté plus tôt d'une méthodologie appropriée. En fait, dans des études récentes, Crawford (1993 et 1997) a essayé d'estimer un biais global et est parvenu à la conclusion que, à cause du généreux jugement porté dans les estimations, il est probable que le biais de mesure soit en moyenne moins de 0,5%.
Date de diffusion : 1997-10-02 - Articles et rapports : 62F0014M19970103363Géographie : CanadaDescription :
Les débats autour des problèmes de mesure de l'inflation ne sont pas nouveaux. Ils sont revenus récemment dans l'actualité avec la publication, par une commission du Sénat américain présidée par M.J. Boskin, d'un rapport affirmant que l'indice des prix à la consommation (IPC) américain surestimait l'inflation de 1,1% par an. Le présent article montre que le biais qui pourrait affecter l'indice des prix en France serait d'un ordre de grandeur très nettement inférieur. Résumer l'évolution d'une multitude de prix en un seul chiffre est forcément difficile. Même dans le cas théorique le plus favorable où l'on considère un consommateur unique face à un choix budgétaire, les problèmes de traitement des substitutions entre produits existants sont importants. On sait néanmoins assez bien caractériser les propriétés des diverses approches envisageables et les procédures statistiques utilisées en France mettent notre indice largement à l'abri des critiques sur ce point. L'apparition de nouveaux produits (entendus au sens large: produits réellement nouveaux sur le marché, produits déjà vendus ailleurs mais apparaissant dans un nouveau point de vente, en remplacement ou pas d'un produit ancien) soulève des difficultés non encore complètement résolues que ce soit aux États-Unis, en France ou dans les autres pays. La commission Boskin a affirmé qu'il existerait du fait des nouveaux produits, une surestimation de 0,6% par ans dans l'IPC des États-Unis. Cette affirmation reporse sur des estimations fragiles et probablement exagérées. Cette conclusion rejoint l'avis exprimé par un certain nombre d'experts américains.
Date de diffusion : 1997-10-02 - Articles et rapports : 62F0014M1997010Géographie : CanadaDescription :
Le débat sur la mesure des biais de l'Indice des prix à la consommation, né du rapport de la "Commission consultative américaine sur l'étude de l'indice des prix à la consommation", mieux connu sous le nom du rapport Boskin, n'est pas nouveau : il remonte à plusieurs décennies. Toutefois, plusieurs circonstances confèrent un caractère spécial au débat actuel.
Cette publication présente l'expérience et le point de vue de cinq pays différents de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) en ce qui a trait à la mesure des biais de l'IPC. Alors que la plupart des organismes statistiques reconnaissent que leur IPC n'est pas une mesure parfaite de l'inflation, certains organismes des pays de l'OCDE ont toujours préconisé le développement de programme de recherche destiné à améliorer ces mesures.
Date de diffusion : 1997-10-02 - Articles et rapports : 75-001-X19970023071Géographie : CanadaDescription :
Le présent article propose une méthode visant à mesurer la façon dont se répartissent les âges de début de la retraite (en calculant à cet égard les médianes) tout en cherchant à établir comment les répartitions de ces âges évoluent au fil du temps. On examine pour ce faire le niveau d'instruction des retraités, le sexe, la catégorie de travailleur et l'industrie à laquelle était associé le dernier emploi.
Date de diffusion : 1997-06-11 - Articles et rapports : 11F0019M1997100Géographie : CanadaDescription :
Des changements fondamentaux ont pris place dans le marché du travail et au sein des entreprises au cours des années 1980 et 1990. Dans certains cas, on comprend ce qui s'est produit, sans toutefois en connaître les causes. Dans d'autres cas, on ne dispose pas des données qui permettraient de faire la lumière sur ce qui se passe exactement, et encore moins sur les causes. Les changements qui se produisent sur le marché du travail sont souvent liés à l'évolution des méthodes que les entreprises utilisent pour embaucher et rémunérer la main-d'oeuvre, à l'adoption de nouvelles technologies, à des changements dans les types de marchés surlesquels les entreprises sont en concurrence, ainsi qu'à d'autre événements qui prennent place dans les entreprises, p. ex. l'évolution de l'élément demande du marchédu travail. Toutefois, on ne dispose pas de données permettant d'établir des liens entre de tels événements et la condition des employés. La présente étude donne unaperçu des raisons pour lesquelles de telles données sont nécessaires. L'exemple de l'augmentation de l'inégalité des gains sert à démontrer la nécessité d'uneenquête de ce type. On présente aussi une vue d'ensemble de la façon dont on pourra fournir les nouvelles données en adoptant une nouvelle méthode d'enquête.L'enquête proposée porte d'abord sur des établissements, puis sur les travailleurs qui y sont employés. On établit ainsi un lien direct entre les activités qui prennentplace dans l'établissement et les résultats pour les travailleurs. Inversement, on établit un lien direct entre les événements qui se produisent dans l'entreprise et lescaractéristiques des travailleurs - un autre domaine de recherche où sévit une pénurie de microdonnées. La présente étude donne une vue d'ensemble des raisons quijustifient une telle enquête, de son contenu éventuel et des sujets de recherche que ces données pourraient permettre de traiter.
Date de diffusion : 1997-05-15 - Articles et rapports : 62F0014M1997004Géographie : CanadaDescription :
Le concept d'inflation sous-jacente est devenu avec les années des plus importants pour les banques centrales de différents pays. En effet, plusieurs d'entre elles ont reçu à un moment ou à un autre le mandat de réduire l'inflation et de réaliser la stabilité des prix. Au Canada, ce mandat a été confié à la Banque du Canada en février 1991.
L'inflation sous-jacente est souvent perçue comme étant la tendance dans les mouvements de prix à la consommation. Cette revue de la littérature montre que plus d'une définition de l'inflation sous-jacente existe. Puis, une brève description des différentes méthodes proposées pour mesurer l'inflation sous-jacente, ainsi que certains de leurs résultats sont présentés. Finalement, la revue offre une bibliographie d'articles traitant de l'inflation sous-jacente.
Date de diffusion : 1997-05-05 - Articles et rapports : 11F0019M1997099Géographie : CanadaDescription :
Contexte : Le poumon est depuis plusieurs années le principal siège de cancer causant le décès pour les hommes et il est devenu depuis 1994 également laprincipale cause de décès par cancer pour les femmes au Canada. Il est donc important d'évaluer les ressources nécessaires à son diagnostic et à son traitement. Cetarticle présente, à partir d'un modèle de micro-simulation, une estimation des coûts médicaux directs associés au diagnostic et au traitement du cancer du poumon. L'incidence de 1992 est choisie comme référence alors que les coûts sont évalués selon les tarifs de 1993.Méthodes : Un module consacré au cancer du poumon a été incorporé au Modèle sur la santé de la population (POHEM). Les paramètres du module proviennent,entre autre, du régistre canadien des cancers (RCC) de Statistique Canada qui a fourni de l'information sur l'incidence et la classification histologique des cas decancer du poumon au Canada. Les registres de deux provinces ont permis d'estimer la distribution des stades du cancer au moment du diagnostic. Une équiped'oncologues a dérivé des méthodes de traitements «types» reflétant la pratique actuelle ainsi que les coûts directs associés. L'intégration de ces informations ainsique des courbes de survie appropriées au modèle POHEM permet, par simulation Monte Carlo, d'estimer les coûts globaux de traitement. Résultats : Nous avons estimé que les coûts médicaux directs de diagnostic et de traitement du cancer du poumon s'élevaient globalement à un peu plus de 528millions de dollars. Le coût par année de vie gagnée grâce au traitement de la maladie était d'environ 19,450 $. Pour la première fois au Canada, on a pu estimer lescoûts pour chacune des cinq années postérieures au diagnostic ainsi que pour chacun des stades au moment du diagnostic. Finalement, le coût par année de viegagnée supplémentaire pour trois traitements alternatifs du cancer du poumon non à petite cellule (CPNPC) a pu être estimé. Une analyse de sensibilité a montré queces coûts variaient entre 1,867 $ et 6,850 $ par année de vie gagnée supplémentaire, ce qui se compare avantageusement aux coûts que peuvent entraîner letraitement d'autres maladies.Conclusions : Contrairement à certains avis répandus, il semble que le traitement du cancer du poumon soit efficace d'un point de vue économique. En outre,l'utilisation d'un modèle de micro-simulation comme POHEM permet non seulement l'intégration cohérente d'information de sources diverses mais offre aussi lapossibilité d'estimer l'effet d'interventions médicales alternatives du point de vue des pressions financières sur le système de soins de santé.
Date de diffusion : 1997-04-22
Références (1)
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- Avis et consultations : 87-003-X19970012882Géographie : CanadaDescription :
Ce texte a été préparé dans le but d'éclairer les lecteurs d'info-voyages au sujet de l'utilité d'un nouvel outil d'anlyse que sont les Indicateurs nationaux du tourisme. Ces estimations, qui mesurent les tendances du tourisme au Canada, seront mises en perspective ici, en tenant compte des concepts et des définitions qui ont servi à leur élaboration.
Date de diffusion : 1997-01-08
- Date de modification :