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- Articles et rapports : 11F0019M1998120Géographie : CanadaDescription :
Les changements structurels qui se traduisent par une demande accrue de travailleurs spécialisés suscitent un intérêt considérable et on s'efforce de bien les comprendre. Ces changements sont perçus comme étant le résultat de développements associés à l'émergence ce qui est aujourd'hui mieux connu sous le nom d'économie du savoir, dont le potentiel est souvent lié à la croissance des nouvelles entreprises axées sur la technologie. Mais où se retrouvent ces entreprises? Des études connexes sur l'évolution technologique et l'innovation ont mené à l'élaboration de systèmes visant à classer les secteurs d'activité selon qu'ils relèvent de la haute technologie ou du savoir, en se fondant principalement sur les caractéristiques des grandes entreprises. La tentation est forte d'utiliser ces classifications pour faire de la haute technologie le privilège exclusif de certains secteurs. Nous utilisons les données recueillies dans le cadre d'une enquête spéciale auprès des nouvelles entreprises pour démontrer qu'il serait imprudent d'adopter une telle pratique.
Nous examinons dans un premier temps les limitations des systèmes de classification actuels qui pourraient être utilisés pour classer les industries en fonction de leur niveau technologique faible ou élevé, de leur évolution technologique ou de toute autre caractéristique. Pour la plupart unidimensionnelles au plan des caractéristiques étudiées, bon nombre de ces classifications (par exemple la classification de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) qui est utilisée pour attribuer une valeur de rendement) utilisent des mesures conceptuelles et opérationnelles qui sont à la fois limitées et incomplètes. Par conséquent, les systèmes classiques qui, à partir de ces mesures, classent les secteurs selon qu'ils sont à forte ou à faible composante technologique ne tiennent pas compte du degré d'innovation, ni des compétences du capital humain que l'on retrouve dans certains secteurs d'activité. Or dans un contexte politique où de telles classifications du type tableau de score chargées de connotations ont un effet direct sur l'affectation des ressources, les coûts sociaux d'une erreur de classification risquent d'être considérables.
Au moyen d'une analyse comparative, nous examinons le rôle de la conceptualisation dans l'élaboration de classifications qui répartissent les secteurs d'activité selon qu'ils sont à forte ou à faible composante technologique. Loin de produire des classifications définitives, les mesures de rechange actuelles du progrès technologique s'avèrent déficientes lorsqu'on en examine de plus près les fondements intellectuels. Qui plus est, comme bon nombre de ces classifications sont établies à partir des valeurs globales du secteur d'activité visé-elles-mêmes basées principalement sur les caractéristiques des grandes entreprises-elles peuvent masquer les caractéristiques réelles des petites entreprises nouvelles dans certains secteurs-celles-là même qui nous intéressent, c'est-à-dire les nouvelles entreprises axées sur la technologie. Le but de la présente analyse est d'examiner les limites des systèmes de classification types particulièrement lorsqu'ils sont appliqués aux petites entreprises nouvelles et de proposer un autre cadre de classification basé sur les compétences de l'entreprise.
Date de diffusion : 1998-12-08 - Articles et rapports : 11F0019M1998117Géographie : CanadaDescription :
Dans le présent, sont examinés les facteurs déterminants des retards en matière d'adoption des technologies de pointe dans le secteur des entreprises. On y utilise des données portant sur les retards d'adoption au niveau des entreprises (c'est-à-dire la période de temps écoulée entre le moment où l'entreprise prend conscience de l'existence d'une technologie donnée et l'adoption de celle-ci), afin de déterminer à quel point le retard d'adoption agit en fonction des avantages et des coûts associés à l'adoption de la technologie, de même que certaines caractéristiques qui font office de substituts à la capacité d'absorber de l'entreprise.
Selon la théorie de l'économie, que procure la diffusion des technologies de pointe devrait être liée aux avantages que procure l'adoption de nouvelles technologies. D'autres études ont eu à remplacer les avantages par des caractéristiques environnementales, notamment la proximité des marchés, la fertilité des terres et la taille de l'entreprise. Ici, on a recours à des faits plus directs tirés de l'Enquête sur les innovations et les technologies de pointe 1993 en ce qui a trait aux propres évaluations de l'entreprise quant aux avantages et aux coûts liés à l'adoption en question, de même qu'aux mesures de la compétence technologique dans son ensemble. Ces deux facteurs s'avèrent être des facteurs déterminants d'une grande importance quant aux retards d'adoption. La proximité géographique des fournisseurs vient réduire les retards d'adoption. Les variables ayant servi antérieurement de substitus aux avantages liés à l'adoption d'une technologie-des variables telles que les entreprises d'une grande taille, une date de création récente et une plus grande diversification de la part de l'entreprise mère viennent aussi réduire les retards d'adoption-mais elles ont un effet beaucoup moins important que la mesure directe des avantages et la compétence de l'entreprise.
Date de diffusion : 1998-08-31 - Articles et rapports : 11F0019M1998098Géographie : CanadaDescription :
Les années 1980 et 1990 ont vu progresser la part de la main-d'oeuvre qualifiée dans l'emploi total du secteur manufacturier canadien. Durant la même période, les salaires des travailleurs qualifiés ont augmenté, de sorte que l'inégalité entre travailleurs qualifiés et non qualifiés s'est accentuée. Les causes de ces changements ne font pas l'unanimité, et plusieurs hypothèses visent à les expliquer - concurrence internationale accrue, variation de la disponibilité relative des travailleurs très qualifiés par rapport aux travailleurs peu qualifiés, évolution technologique exigeant le perfectionnement des compétences. Le présent document se penche sur la nature, le profil et les causes des transformations qui s'opèrent dans la composition de la main-d'oeuvre manufacturière. Il décrit la composition de l'emploi dans le secteur manufacturier. Il examine principalement la direction et l'ampleur des changements qui se rapportent à la proportion de la main-d'oeuvre indirecte dans l'ensemble du secteur manufacturier et dans les diverses branches d'activité qui le composent. Il explore la mesure dans laquelle les écarts salariaux entre travailleurs de la production et main-d'oeuvre indirecte se sont élargis au cours des années 1980. Enfin, il évalue le rôle que le commerce et la technologie ont joué dans ces transformations. Les résultats donnent à penser que l'élargissement des écarts salariaux est lié tant à l'intensification des activités commerciales qu'aux types de technologie utilisés dans les usines.
Date de diffusion : 1998-05-06 - Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 61F0041M1998003Description :
Le présent document en direct décrit la personnalisation des questionnaires complets de l'Enquête annuelle des manufactures (EAM) du Canada. On a voulu personnaliser ces questionnaires en vue de réduire le fardeau de réponse. Avant la personnalisation, les questionnaires complets étaient les mêmes pour tous les établissements d'une industrie donnée (code à quatre chiffres de la CTI). Chaque questionnaire contenait une liste de presque tous les produits pouvant servir d'entrées ou pouvant résulter des activités de production de cette industrie. Pour l'établissement typique, seul un sous-ensemble restreint des produits énumérés était applicable. La personnalisation consistait à adapter les listes à chaque établissement à partir des données déclarées antérieurement par l'établissement en question.
Après avoir défini les termes et donné quelques indications quantitatives de la nécessité de personnaliser les questionnaires, le document précise un certain nombre de conditions préalables - un algorithme pour la sélection des produits, un ensemble de descriptions indépendantes des produits et un système automatisé de production des questionnaires. Le document examine ensuite en détail - sous l'angle du fardeau de réponse, de la perte d'information et de l'automatisation - certain des effets de la personnalisation. Enfin, le document se termine par la présentation d'un sommaire et certaines recommandations.
Date de diffusion : 1998-04-03 - Articles et rapports : 61F0041M1998001Description :
Les ratios de spécialisation e t de couverture des produits principaux sont maintenant produits et publies pour les industries manufacturières du Canada. Ce document du travail énonce les concepts et les utilisations possibles, résume les données de 1994, décrit en détail un certain nombre de questions d'ordre méthodologique, examine les sources de changement chronologiques et mesure ces derniers par décomposition changement.
Date de diffusion : 1998-04-01
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Analyses (4)
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- Articles et rapports : 11F0019M1998120Géographie : CanadaDescription :
Les changements structurels qui se traduisent par une demande accrue de travailleurs spécialisés suscitent un intérêt considérable et on s'efforce de bien les comprendre. Ces changements sont perçus comme étant le résultat de développements associés à l'émergence ce qui est aujourd'hui mieux connu sous le nom d'économie du savoir, dont le potentiel est souvent lié à la croissance des nouvelles entreprises axées sur la technologie. Mais où se retrouvent ces entreprises? Des études connexes sur l'évolution technologique et l'innovation ont mené à l'élaboration de systèmes visant à classer les secteurs d'activité selon qu'ils relèvent de la haute technologie ou du savoir, en se fondant principalement sur les caractéristiques des grandes entreprises. La tentation est forte d'utiliser ces classifications pour faire de la haute technologie le privilège exclusif de certains secteurs. Nous utilisons les données recueillies dans le cadre d'une enquête spéciale auprès des nouvelles entreprises pour démontrer qu'il serait imprudent d'adopter une telle pratique.
Nous examinons dans un premier temps les limitations des systèmes de classification actuels qui pourraient être utilisés pour classer les industries en fonction de leur niveau technologique faible ou élevé, de leur évolution technologique ou de toute autre caractéristique. Pour la plupart unidimensionnelles au plan des caractéristiques étudiées, bon nombre de ces classifications (par exemple la classification de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) qui est utilisée pour attribuer une valeur de rendement) utilisent des mesures conceptuelles et opérationnelles qui sont à la fois limitées et incomplètes. Par conséquent, les systèmes classiques qui, à partir de ces mesures, classent les secteurs selon qu'ils sont à forte ou à faible composante technologique ne tiennent pas compte du degré d'innovation, ni des compétences du capital humain que l'on retrouve dans certains secteurs d'activité. Or dans un contexte politique où de telles classifications du type tableau de score chargées de connotations ont un effet direct sur l'affectation des ressources, les coûts sociaux d'une erreur de classification risquent d'être considérables.
Au moyen d'une analyse comparative, nous examinons le rôle de la conceptualisation dans l'élaboration de classifications qui répartissent les secteurs d'activité selon qu'ils sont à forte ou à faible composante technologique. Loin de produire des classifications définitives, les mesures de rechange actuelles du progrès technologique s'avèrent déficientes lorsqu'on en examine de plus près les fondements intellectuels. Qui plus est, comme bon nombre de ces classifications sont établies à partir des valeurs globales du secteur d'activité visé-elles-mêmes basées principalement sur les caractéristiques des grandes entreprises-elles peuvent masquer les caractéristiques réelles des petites entreprises nouvelles dans certains secteurs-celles-là même qui nous intéressent, c'est-à-dire les nouvelles entreprises axées sur la technologie. Le but de la présente analyse est d'examiner les limites des systèmes de classification types particulièrement lorsqu'ils sont appliqués aux petites entreprises nouvelles et de proposer un autre cadre de classification basé sur les compétences de l'entreprise.
Date de diffusion : 1998-12-08 - Articles et rapports : 11F0019M1998117Géographie : CanadaDescription :
Dans le présent, sont examinés les facteurs déterminants des retards en matière d'adoption des technologies de pointe dans le secteur des entreprises. On y utilise des données portant sur les retards d'adoption au niveau des entreprises (c'est-à-dire la période de temps écoulée entre le moment où l'entreprise prend conscience de l'existence d'une technologie donnée et l'adoption de celle-ci), afin de déterminer à quel point le retard d'adoption agit en fonction des avantages et des coûts associés à l'adoption de la technologie, de même que certaines caractéristiques qui font office de substituts à la capacité d'absorber de l'entreprise.
Selon la théorie de l'économie, que procure la diffusion des technologies de pointe devrait être liée aux avantages que procure l'adoption de nouvelles technologies. D'autres études ont eu à remplacer les avantages par des caractéristiques environnementales, notamment la proximité des marchés, la fertilité des terres et la taille de l'entreprise. Ici, on a recours à des faits plus directs tirés de l'Enquête sur les innovations et les technologies de pointe 1993 en ce qui a trait aux propres évaluations de l'entreprise quant aux avantages et aux coûts liés à l'adoption en question, de même qu'aux mesures de la compétence technologique dans son ensemble. Ces deux facteurs s'avèrent être des facteurs déterminants d'une grande importance quant aux retards d'adoption. La proximité géographique des fournisseurs vient réduire les retards d'adoption. Les variables ayant servi antérieurement de substitus aux avantages liés à l'adoption d'une technologie-des variables telles que les entreprises d'une grande taille, une date de création récente et une plus grande diversification de la part de l'entreprise mère viennent aussi réduire les retards d'adoption-mais elles ont un effet beaucoup moins important que la mesure directe des avantages et la compétence de l'entreprise.
Date de diffusion : 1998-08-31 - Articles et rapports : 11F0019M1998098Géographie : CanadaDescription :
Les années 1980 et 1990 ont vu progresser la part de la main-d'oeuvre qualifiée dans l'emploi total du secteur manufacturier canadien. Durant la même période, les salaires des travailleurs qualifiés ont augmenté, de sorte que l'inégalité entre travailleurs qualifiés et non qualifiés s'est accentuée. Les causes de ces changements ne font pas l'unanimité, et plusieurs hypothèses visent à les expliquer - concurrence internationale accrue, variation de la disponibilité relative des travailleurs très qualifiés par rapport aux travailleurs peu qualifiés, évolution technologique exigeant le perfectionnement des compétences. Le présent document se penche sur la nature, le profil et les causes des transformations qui s'opèrent dans la composition de la main-d'oeuvre manufacturière. Il décrit la composition de l'emploi dans le secteur manufacturier. Il examine principalement la direction et l'ampleur des changements qui se rapportent à la proportion de la main-d'oeuvre indirecte dans l'ensemble du secteur manufacturier et dans les diverses branches d'activité qui le composent. Il explore la mesure dans laquelle les écarts salariaux entre travailleurs de la production et main-d'oeuvre indirecte se sont élargis au cours des années 1980. Enfin, il évalue le rôle que le commerce et la technologie ont joué dans ces transformations. Les résultats donnent à penser que l'élargissement des écarts salariaux est lié tant à l'intensification des activités commerciales qu'aux types de technologie utilisés dans les usines.
Date de diffusion : 1998-05-06 - Articles et rapports : 61F0041M1998001Description :
Les ratios de spécialisation e t de couverture des produits principaux sont maintenant produits et publies pour les industries manufacturières du Canada. Ce document du travail énonce les concepts et les utilisations possibles, résume les données de 1994, décrit en détail un certain nombre de questions d'ordre méthodologique, examine les sources de changement chronologiques et mesure ces derniers par décomposition changement.
Date de diffusion : 1998-04-01
Références (1)
Références (1) ((1 résultat))
- Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 61F0041M1998003Description :
Le présent document en direct décrit la personnalisation des questionnaires complets de l'Enquête annuelle des manufactures (EAM) du Canada. On a voulu personnaliser ces questionnaires en vue de réduire le fardeau de réponse. Avant la personnalisation, les questionnaires complets étaient les mêmes pour tous les établissements d'une industrie donnée (code à quatre chiffres de la CTI). Chaque questionnaire contenait une liste de presque tous les produits pouvant servir d'entrées ou pouvant résulter des activités de production de cette industrie. Pour l'établissement typique, seul un sous-ensemble restreint des produits énumérés était applicable. La personnalisation consistait à adapter les listes à chaque établissement à partir des données déclarées antérieurement par l'établissement en question.
Après avoir défini les termes et donné quelques indications quantitatives de la nécessité de personnaliser les questionnaires, le document précise un certain nombre de conditions préalables - un algorithme pour la sélection des produits, un ensemble de descriptions indépendantes des produits et un système automatisé de production des questionnaires. Le document examine ensuite en détail - sous l'angle du fardeau de réponse, de la perte d'information et de l'automatisation - certain des effets de la personnalisation. Enfin, le document se termine par la présentation d'un sommaire et certaines recommandations.
Date de diffusion : 1998-04-03
- Date de modification :