Recherche par mot-clé

Aide à l'ordre
entrées

Résultats

Tout (4)

Tout (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2004235
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans ce document, on présente les résultats d'une analyse empirique de l'écart entre les gains des hommes et des femmes ayant récemment obtenu un diplôme de baccalauréat dans les universités canadiennes. Les heures de travail constituent l'influence la plus importante, tandis que l'expérience de travail antérieure, les caractéristiques de l'emploi, la situation familiale, la province de résidence et la langue ont des effets plus faibles et plus mixtes.

    Date de diffusion : 2004-11-30

  • Articles et rapports : 11F0019M2002183
    Géographie : Canada
    Description :

    On présume souvent que les changements sur le marché du travail tels qu'un accroissement de l'incidence du travail à temps partiel ou saisonnier, du cumul de plusieurs emplois ou du travail indépendant sont régis par des variations de la demande, c'est-à-dire qu'ils résultent d'un manque de débouchés pour les emplois plus traditionnels plutôt que d'un changement des préférences des travailleurs. Pourtant, malgré l'intérêt et l'importance de la question du travail non classique, on dispose à son sujet de relativement peu de données empiriques.

    L'objectif général du présent rapport est d'exposer les résultats d'une étude empirique qui utilise l'indicateur de statut du travail indépendant disponible dans les bases de données de l'Enquête nationale auprès des diplômés (et les enquêtes de suivi). Il présente et analyse les modes de travail indépendant dans plusieurs cohortes de diplômés d'études supérieures au Canada au cours des cinq premières années suivant l'obtention de leur diplôme. Plus précisément, il fournit de solides données empiriques sur l'incidence du travail indépendant (niveaux, configurations, tendances) parmi les diplômés récents des secteurs collégial et universitaire, dans leur ensemble et selon le sexe, l'année et le niveau du diplôme. Ce document aborde aussi la question de savoir si le travail indépendant tend à être l'option privilégiée par ceux qui s'y engagent ou s'il découle d'un manque de débouchés dans les emplois dits « conventionnels », ou encore d'une combinaison des deux.

    Deux grandes conclusions se dégagent de cette analyse. Premièrement, pour les trois premières cohortes étudiées, l'incidence du travail indépendant est relativement stable. Les taux globaux se situent entre 6,5 % et 11,1 % chez les hommes et entre 3,2 % et 6,7 % chez les femmes. Les taux tendent à être supérieurs chez certains diplômés (mais pas tous) de la cohorte la plus récente (1995).

    Deuxièmement, le travail indépendant semble généralement représenter un statut professionnel relativement attrayant en moyenne : Dans chaque cohorte, les taux de travail indépendant augmentent de la première entrevue (deux ans après l'obtention du diplôme) à la seconde (cinq ans après), un intervalle durant lequel les débouchés s'améliorent généralement beaucoup pour les diplômés.Il ressort de simples comparaisons ponctuelles (transversales) des rémunérations, de l'adéquation entre emplois et qualifications scolaires ainsi que des niveaux de satisfaction au travail que, malgré des résultats un peu inégaux, le travail indépendant ne se caractérise généralement pas par des résultats moins favorables et se démarque peut-être par des niveaux de satisfaction au travail habituellement supérieurs (plutôt qu'inférieurs).Finalement, tant le modèle transversal conventionnel des rémunérations que les équations en différences premières, dans lesquelles sont neutralisés différents effets fixes susceptibles d'être corrélés avec le statut professionnel, confirment que le travail indépendant offre de meilleures rémunérations (et est donc plus attrayant) que le statut de salarié conventionnel.

    Date de diffusion : 2002-03-21

  • Articles et rapports : 11F0019M2000141
    Géographie : Canada
    Description :

    L'aide des données de trois reprises (1982, 1986 et 1990) de l'Enquête nationale auprès des diplômés (END), nous analyserons, à l'aide du modèle des hasards proportionnels de Cox, le temps que prennent les diplômés des universités canadiennes à occuper un emploi à temps plein qui dure au moins six mois. D'après nos résultats, la rapidité du passage des études au travail varierait amplement dans et entre les cohortes. Il semblerait aussi que les différences de durée de recherche d'un premier emploi entre les cohortes END ne tiennent pas uniquement à des différences de conjoncture économique au moment de l'obtention du diplôme. Pour certaines tranches de durée, les tendances de l'occupation d'un premier emploi se ressemblent entre les cohortes. À l'intérieur de ces dernières, on relève des différences ténues de passage des études au travail entre certains groupes démographiques et, dans quelques cas, les écarts sont stables de cohorte en cohorte.

    Date de diffusion : 2000-12-08

  • Articles et rapports : 11F0019M1994069
    Géographie : Canada
    Description :

    Les règlements sur l'équité en matière d'emploi prennent de plus en plus d'importance sur les marchés du travail au Canada. Cependant, outre des données globales sur la disponibilité, il existe peu de documents sur les expériences des groupes désignés sur ces marchés. Le présent rapport, qui se fonde sur l'Enquête nationale auprès des diplômés de 1992, établit le profil des premières expériences sur le marché du travail des minorités visibles, des autochtones et des personnes atteintes d'une incapacité qui ont reçu leur diplôme d'une université ou d'un collège communautaire canadien en 1990. En général, on constate que les gains des membres des groupes désignés se rapprochent de ceux de leurs condisciples. Cependant, on constate également que ces membres sont plus susceptible d'être des chômeurs et moins susceptibles de faire partie de la population active que les autres étudiants de leur promotion.

    Date de diffusion : 1994-11-16
Données (0)

Données (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Analyses (4)

Analyses (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2004235
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans ce document, on présente les résultats d'une analyse empirique de l'écart entre les gains des hommes et des femmes ayant récemment obtenu un diplôme de baccalauréat dans les universités canadiennes. Les heures de travail constituent l'influence la plus importante, tandis que l'expérience de travail antérieure, les caractéristiques de l'emploi, la situation familiale, la province de résidence et la langue ont des effets plus faibles et plus mixtes.

    Date de diffusion : 2004-11-30

  • Articles et rapports : 11F0019M2002183
    Géographie : Canada
    Description :

    On présume souvent que les changements sur le marché du travail tels qu'un accroissement de l'incidence du travail à temps partiel ou saisonnier, du cumul de plusieurs emplois ou du travail indépendant sont régis par des variations de la demande, c'est-à-dire qu'ils résultent d'un manque de débouchés pour les emplois plus traditionnels plutôt que d'un changement des préférences des travailleurs. Pourtant, malgré l'intérêt et l'importance de la question du travail non classique, on dispose à son sujet de relativement peu de données empiriques.

    L'objectif général du présent rapport est d'exposer les résultats d'une étude empirique qui utilise l'indicateur de statut du travail indépendant disponible dans les bases de données de l'Enquête nationale auprès des diplômés (et les enquêtes de suivi). Il présente et analyse les modes de travail indépendant dans plusieurs cohortes de diplômés d'études supérieures au Canada au cours des cinq premières années suivant l'obtention de leur diplôme. Plus précisément, il fournit de solides données empiriques sur l'incidence du travail indépendant (niveaux, configurations, tendances) parmi les diplômés récents des secteurs collégial et universitaire, dans leur ensemble et selon le sexe, l'année et le niveau du diplôme. Ce document aborde aussi la question de savoir si le travail indépendant tend à être l'option privilégiée par ceux qui s'y engagent ou s'il découle d'un manque de débouchés dans les emplois dits « conventionnels », ou encore d'une combinaison des deux.

    Deux grandes conclusions se dégagent de cette analyse. Premièrement, pour les trois premières cohortes étudiées, l'incidence du travail indépendant est relativement stable. Les taux globaux se situent entre 6,5 % et 11,1 % chez les hommes et entre 3,2 % et 6,7 % chez les femmes. Les taux tendent à être supérieurs chez certains diplômés (mais pas tous) de la cohorte la plus récente (1995).

    Deuxièmement, le travail indépendant semble généralement représenter un statut professionnel relativement attrayant en moyenne : Dans chaque cohorte, les taux de travail indépendant augmentent de la première entrevue (deux ans après l'obtention du diplôme) à la seconde (cinq ans après), un intervalle durant lequel les débouchés s'améliorent généralement beaucoup pour les diplômés.Il ressort de simples comparaisons ponctuelles (transversales) des rémunérations, de l'adéquation entre emplois et qualifications scolaires ainsi que des niveaux de satisfaction au travail que, malgré des résultats un peu inégaux, le travail indépendant ne se caractérise généralement pas par des résultats moins favorables et se démarque peut-être par des niveaux de satisfaction au travail habituellement supérieurs (plutôt qu'inférieurs).Finalement, tant le modèle transversal conventionnel des rémunérations que les équations en différences premières, dans lesquelles sont neutralisés différents effets fixes susceptibles d'être corrélés avec le statut professionnel, confirment que le travail indépendant offre de meilleures rémunérations (et est donc plus attrayant) que le statut de salarié conventionnel.

    Date de diffusion : 2002-03-21

  • Articles et rapports : 11F0019M2000141
    Géographie : Canada
    Description :

    L'aide des données de trois reprises (1982, 1986 et 1990) de l'Enquête nationale auprès des diplômés (END), nous analyserons, à l'aide du modèle des hasards proportionnels de Cox, le temps que prennent les diplômés des universités canadiennes à occuper un emploi à temps plein qui dure au moins six mois. D'après nos résultats, la rapidité du passage des études au travail varierait amplement dans et entre les cohortes. Il semblerait aussi que les différences de durée de recherche d'un premier emploi entre les cohortes END ne tiennent pas uniquement à des différences de conjoncture économique au moment de l'obtention du diplôme. Pour certaines tranches de durée, les tendances de l'occupation d'un premier emploi se ressemblent entre les cohortes. À l'intérieur de ces dernières, on relève des différences ténues de passage des études au travail entre certains groupes démographiques et, dans quelques cas, les écarts sont stables de cohorte en cohorte.

    Date de diffusion : 2000-12-08

  • Articles et rapports : 11F0019M1994069
    Géographie : Canada
    Description :

    Les règlements sur l'équité en matière d'emploi prennent de plus en plus d'importance sur les marchés du travail au Canada. Cependant, outre des données globales sur la disponibilité, il existe peu de documents sur les expériences des groupes désignés sur ces marchés. Le présent rapport, qui se fonde sur l'Enquête nationale auprès des diplômés de 1992, établit le profil des premières expériences sur le marché du travail des minorités visibles, des autochtones et des personnes atteintes d'une incapacité qui ont reçu leur diplôme d'une université ou d'un collège communautaire canadien en 1990. En général, on constate que les gains des membres des groupes désignés se rapprochent de ceux de leurs condisciples. Cependant, on constate également que ces membres sont plus susceptible d'être des chômeurs et moins susceptibles de faire partie de la population active que les autres étudiants de leur promotion.

    Date de diffusion : 1994-11-16
Références (0)

Références (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Date de modification :