Recherche par mot-clé

Filtrer les résultats par

Aide à la recherche
Currently selected filters that can be removed

Mot(s)-clé(s)

Type

1 facets displayed. 0 facets selected.

Année de publication

2 facets displayed. 0 facets selected.

Géographie

1 facets displayed. 0 facets selected.
Aide à l'ordre
entrées

Résultats

Tout (2)

Tout (2) ((2 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2005250
    Géographie : Canada
    Description :

    Des données tirées de l'Enquête sur la population active (EPA) montrent que le pourcentage de travailleurs occupés cherchant un autre emploi a plus que doublé au Canada entre 1976 et 1995. Des données comparables tirées de la Current Population Survey (CPS), de la Panel Study of Income Dynamics (PSID) et de la National Longitudinal Survey (NLS) semblent indiquer que les États-Unis ont connu une tendance à la hausse remarquablement semblable au cours de cette période en ce qui a trait aux taux de recherche d'emploi en cours d'emploi (RECE). En utilisant des données américaines pour compléter les données canadiennes chaque fois où cela est possible, nous essayons d'expliquer dans la présente communication cette tendance générale à long terme observée dans les taux de RECE au Canada, notamment en effectuant une décomposition et des analyses au niveau des industries ainsi qu'en prenant en considération des variations concomitantes observées dans les taux de transition d'employeur à employeur et dans les avantages salariaux liés au changement d'emploi. Les résultats obtenus dans l'examen des données relatives aux deux pays laissent penser qu'une partie importante de la tendance à la hausse des taux de RECE ne s'explique pas par des effets de composition, y compris les effets de cohorte. L'augmentation de la RECE semble également s'être produite de manière indépendante de la hausse de l'insécurité en matière d'emploi due à des variations brusques de la demande dans des secteurs précis et des tendances relatives à la dispersion des valeurs salariales logarithmiques résiduelles. Les données examinées concordent le plus avec une diminution à long terme des coûts de la recherche d'emploi.

    Date de diffusion : 2005-04-29

  • Articles et rapports : 11F0019M1997103
    Géographie : Canada
    Description :

    Les Canadiens sont de plus en plus préoccupés par les mises à pied permanentes, car un grand nombre d'entre eux estiment que l'instabilité d'emploi et la possibilité de perdre son emploi se sont accrues au cours des années 90. Aussi les gouvernements, qui font face chaque année à une multitude de mises à pied permanentes, doivent-ils savoir comment réagir pour améliorer l'adaptation des travailleurs déplacés et leur possibilité de trouver rapidement un nouvel emploi. Dans ce contexte, nous utilisons ici une nouvelle source de données longitudinales sur les cessations d'emploi pour traiter trois questions. Premièrement, le taux des mises à pied permanentes au Canada a-t-il réellement augmenté pendant les années 90, comme on pourrait s'y attendre étant donné les craintes entourant l'instabilité accrue d'emploi? Deuxièmement, quelles sont les causes sous-jacentes de la plupart des mises à pied permanentes? Dans le présent document, nous examinons explicitement le rôle que jouent les variations cycliques de la demande globale, les variations de la demande industrielle qui est souvent associée au changement structurel, et les différences des taux des mises à pied selon la taille des entreprises, qui elles, sont associées au processus de création et de disparition des entreprises.

    Troisièmement, dans ce contexte, l'auteur pose une question fondamentale qui présente de l'intérêt pour les analystes de politique : les mises à pied permanentes sont-elles le plus souvent un événement rare pour les travailleurs, ou sont-elles la prolongation d'une série de mises à pied répétitives? Cela importe beaucoup, parce que l'aide à l'adaptation pour un travailleur dont la mise à pied est un événement rare est très différente de celle dont aura besoin le travailleur dont les antécédents d'emploi comprennent des mises à pied fréquentes - ce qui porte à conclure à l'incapacité du travailleur de garder un emploi ou à l'instabilité de la demande dans l'entreprise ou la branche d'activité dans laquelle la personne a travaillé. Les antécédents d'emploi du travailleur sur 10 ans servent à explorer le lien entre les antécédents de mises à pied permanentes et la probabilité de mise à pied. Les travailleurs déplacés sont classés " à faible risque ", " à risque moyen " et "à haut risque" selon leurs antécédents de mises à pied, et on utilise une analyse logistique multinomiale pour distinguer les caractéristiques des travailleurs et de l'entreprise associées à des mises à pied successives ou à des mises à pied qui sont des événements rares.

    Date de diffusion : 1997-09-12
Données (0)

Données (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Analyses (2)

Analyses (2) ((2 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2005250
    Géographie : Canada
    Description :

    Des données tirées de l'Enquête sur la population active (EPA) montrent que le pourcentage de travailleurs occupés cherchant un autre emploi a plus que doublé au Canada entre 1976 et 1995. Des données comparables tirées de la Current Population Survey (CPS), de la Panel Study of Income Dynamics (PSID) et de la National Longitudinal Survey (NLS) semblent indiquer que les États-Unis ont connu une tendance à la hausse remarquablement semblable au cours de cette période en ce qui a trait aux taux de recherche d'emploi en cours d'emploi (RECE). En utilisant des données américaines pour compléter les données canadiennes chaque fois où cela est possible, nous essayons d'expliquer dans la présente communication cette tendance générale à long terme observée dans les taux de RECE au Canada, notamment en effectuant une décomposition et des analyses au niveau des industries ainsi qu'en prenant en considération des variations concomitantes observées dans les taux de transition d'employeur à employeur et dans les avantages salariaux liés au changement d'emploi. Les résultats obtenus dans l'examen des données relatives aux deux pays laissent penser qu'une partie importante de la tendance à la hausse des taux de RECE ne s'explique pas par des effets de composition, y compris les effets de cohorte. L'augmentation de la RECE semble également s'être produite de manière indépendante de la hausse de l'insécurité en matière d'emploi due à des variations brusques de la demande dans des secteurs précis et des tendances relatives à la dispersion des valeurs salariales logarithmiques résiduelles. Les données examinées concordent le plus avec une diminution à long terme des coûts de la recherche d'emploi.

    Date de diffusion : 2005-04-29

  • Articles et rapports : 11F0019M1997103
    Géographie : Canada
    Description :

    Les Canadiens sont de plus en plus préoccupés par les mises à pied permanentes, car un grand nombre d'entre eux estiment que l'instabilité d'emploi et la possibilité de perdre son emploi se sont accrues au cours des années 90. Aussi les gouvernements, qui font face chaque année à une multitude de mises à pied permanentes, doivent-ils savoir comment réagir pour améliorer l'adaptation des travailleurs déplacés et leur possibilité de trouver rapidement un nouvel emploi. Dans ce contexte, nous utilisons ici une nouvelle source de données longitudinales sur les cessations d'emploi pour traiter trois questions. Premièrement, le taux des mises à pied permanentes au Canada a-t-il réellement augmenté pendant les années 90, comme on pourrait s'y attendre étant donné les craintes entourant l'instabilité accrue d'emploi? Deuxièmement, quelles sont les causes sous-jacentes de la plupart des mises à pied permanentes? Dans le présent document, nous examinons explicitement le rôle que jouent les variations cycliques de la demande globale, les variations de la demande industrielle qui est souvent associée au changement structurel, et les différences des taux des mises à pied selon la taille des entreprises, qui elles, sont associées au processus de création et de disparition des entreprises.

    Troisièmement, dans ce contexte, l'auteur pose une question fondamentale qui présente de l'intérêt pour les analystes de politique : les mises à pied permanentes sont-elles le plus souvent un événement rare pour les travailleurs, ou sont-elles la prolongation d'une série de mises à pied répétitives? Cela importe beaucoup, parce que l'aide à l'adaptation pour un travailleur dont la mise à pied est un événement rare est très différente de celle dont aura besoin le travailleur dont les antécédents d'emploi comprennent des mises à pied fréquentes - ce qui porte à conclure à l'incapacité du travailleur de garder un emploi ou à l'instabilité de la demande dans l'entreprise ou la branche d'activité dans laquelle la personne a travaillé. Les antécédents d'emploi du travailleur sur 10 ans servent à explorer le lien entre les antécédents de mises à pied permanentes et la probabilité de mise à pied. Les travailleurs déplacés sont classés " à faible risque ", " à risque moyen " et "à haut risque" selon leurs antécédents de mises à pied, et on utilise une analyse logistique multinomiale pour distinguer les caractéristiques des travailleurs et de l'entreprise associées à des mises à pied successives ou à des mises à pied qui sont des événements rares.

    Date de diffusion : 1997-09-12
Références (0)

Références (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Date de modification :