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- 1. L'homicide au Canada, 2004 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X20050068650Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Ce rapport annuel est une analyse de l'homicide au Canada. De l'information détaillée sur les caractéristiques des incidents d'homicide (meurtre, homicide involontaire coupable, infanticide), des victimes et des accusés est présentée dans une perspective à court et à long terme. Les homicides font l'objet d'un examen aux échelons national, provincial ou territorial ainsi qu'à celui des principales régions métropolitaines. D'autres aspects sont également examinés : la comparaison internationale des niveaux d'homicides, les homicides reliés aux gangs, les homicides par arme à feu, les homicides commis par les jeunes et les homicides familiaux. Ces données tentent de répondre aux besoins en information des intervenants du système de justice ainsi que des chercheurs, des analystes en politique, des universitaires, des médias et du public sur la nature et la fréquence des homicides au Canada.
Date de diffusion : 2005-10-06 - Tableau : 85-566-XGéographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
Le présent document donne un aperçu du point de vue des Canadiens sur le crime et le système de justice pénale aux niveaux national et de la région métropolitaine de recensement. Cette information a été recueillie en 2004 lors du Cycle 18 de l'Enquête sociale générale (ESG) sur la victimisation. Cette enquête qui avait d'abord été menée en 1999, 1993 et 1988, recueille des données sur l'expérience de victimisation des Canadiens et sur les attitudes du public par rapport au crime, à la police, aux tribunaux, à l'emprisonnement et à la liberté conditionnelle. La population cible de l'ESG est formée de toutes les personnes de 15 ans et plus vivant dans un ménage privé de l'une des dix provinces.
Date de diffusion : 2005-07-07 - 3. Situation des peuples autochtones dans les régions métropolitaines de recensement, 1981 à 2001 ArchivéArticles et rapports : 89-613-M2005008Géographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
Le présent rapport porte sur les caractéristiques démographiques et socioéconomiques des Autochtones habitant dans onze centres métropolitains en 1981 et 2001; on y examine la taille, l'âge et la mobilité, la structure familiale, la fréquentation scolaire et le niveau de scolarité ainsi que les caractéristiques sur le marché du travail et la dépendance à l'égard des transferts de la population autochtone.
Les auteurs en arrivent à la conclusion que la situation des Autochtones vivant dans les plus grands centres métropolitains du Canada s'était améliorée en 2001 par rapport à ce qu'elle était 20 ans auparavant.
Néanmoins, les Autochtones vivant en milieu urbain restaient appelés à relever d'énormes défis, particulièrement dans les centres urbains dans l'Ouest du pays, où de grands écarts subsistaient entre eux et leurs homologues non autochtones.
Le rapport porte sur la population d'identité autochtone, qui fait référence aux personnes ayant déclaré appartenir à au moins un groupe autochtone, soit Indien de l'Amérique du Nord, Métis ou Inuit. Le concept d'identité permet une comparaison historique avec le concept utilisé dans le Recensement de 2001 afin d'examiner les changements survenus au fil du temps. Les données ont été tirées des recensements de 1981, 1996 et 2001 ainsi que de l'Enquête de 2001 auprès des peuples autochtones.
Les régions métropolitaines examinées comprennent Montréal, Ottawa Hull (maintenant appelée Ottawa Gatineau), Toronto, Sudbury, Thunder Bay, Winnipeg, Regina, Saskatoon, Calgary, Edmonton et Vancouver.
Date de diffusion : 2005-06-23 - Articles et rapports : 11F0019M2005252Géographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
De nombreux chercheurs considèrent l'accession des immigrants à la propriété comme signifiant leur assimilation au secteur résidentiel général, même si l'étude du caractère ethnique des quartiers où les immigrants achètent effectivement des maisons confirme rarement cette affirmation. Dans le présent article, nous nous servons des données des fichiers maîtres des recensements de la population du Canada de 1996 et de 2001, ainsi que de modèles probit bivariés avec correction pour la sélection de l'échantillon (que nous appelons modèles probit d'Heckman) pour évaluer les déterminants ethniques au niveau du quartier de l'accession à la propriété à Toronto, au Canada. En déterminant si l'achat d'une maison est associé à une faible concentration ethnique, il est possible de préciser si les immigrants quittent leur enclave à la recherche d'une maison dans la « terre promise », comme le laisse entendre la théorie classique de l'assimilation, ou si, aujourd'hui, certains d'entre eux cherchent à s'établir dans les « collectivités ethniques » décrites récemment par Logan, Alba et Zhang (2002) dans le American Sociological Review. L'évaluation du rôle de la concentration ethnique dans des conditions d'équilibre permet de constater que, dans le cas de plusieurs groupes, la concentration de membres d'un même groupe influe sur la propension à acheter une maison.
Date de diffusion : 2005-05-26 - Articles et rapports : 11F0019M2005253Géographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
Le present article résume les conclusions de le document de recherché intitulée Les immigrants achètent-ils pour s'intégrer? : Le rôle du regroupement ethnique dans la propension à devenir propriétaire chez douze groupes d'immigrants à Toronto, 1996 à 2001. La théorie de l'assimilation spatiale est un modèle d'accession à un statut social reliant les positions spatiale et sociale des membres des groupes minoritaires (Massey et Denton, 1985). Lorsqu'on l'applique aux immigrants, le modèle fait ressortir que ceux ci se regrouperont d'abord dans des quartiers typiquement pauvres, où il existe des concentrations élevées de membres de la même collectivité ethnique, mais que cette concentration ethnique est temporaire et perd de son utilité au fil du temps. Dès que le statut socioéconomique de la famille de l'immigrant s'améliore, celle ci s'intègre dans le secteur résidentiel général et s'installe dans un meilleur quartier, où il existe généralement une moins grande ségrégation résidentielle (Massey et Denton, 1985). Par ailleurs, même si le mode d'occupation du logement ne constitue pas une dimension explicite de la théorie de l'assimilation spatiale, compte tenu de la relation bien établie entre le revenu, le capital humain et l'accession à la propriété (Balakrishnan et Wu, 1992; Laryea, 1999), de même que de l'importance de l'accession à la propriété en tant qu'indicateur de bien être et d'assimilation résidentielle (Myers et Lee, 1998), un des éléments de l'ascension socioéconomique d'une famille d'immigrants est la transition de l'état de locataire à celui de propriétaire (Alba et Logan, 1992). Toujours selon la théorie de l'assimilation spatiale, la concentration de membres d'un même groupe devrait être inversement corrélée à l'accession à la propriété, les enclaves ethniques étant généralement perçues comme des zones à logements locatifs pauvres (Fong et Gulia, 1999; Myles et Hou, 2004).
Selon des recherches récentes (Alba et Nee, 2003; Logan, Alba et Zhang, 2002), toutefois, certains groupes d'immigrants pourraient choisir d'aller à l'encontre de l'assimilation spatiale en formant des « collectivités ethniques » durables (Logan, Alba et Zhang, 2002), exerçant ainsi un « effet d'enclave » positif et croissant sur l'accession à la propriété (Borjas, 2002). Dans le présent rapport, nous évaluons la possibilité d'un effet d'enclave en tant qu'explication des profils d'accession à la propriété observés entre 1996 et 2001 chez les douze plus grands groupes de nouveaux immigrants à Toronto. Au moyen de données sur la composition ethnique des quartiers longitudinalement cohérentes et temporellement antécédentes à 1996, nous déterminons si les immigrants choisissent d'acheter une maison en dehors de leur enclave, ou préfèrent un quartier habité par des membres du même groupe qu'eux qui sont propriétaires de leur logement. À cette fin, nous passons en revue les avantages qu'il pourrait y avoir à vivre dans une enclave et à y acheter une maison. Puis nous élaborons un cadre prédictif, en vue de déterminer quels groupes seraient susceptibles de bénéficier de la création de collectivités ethniques de propriétaires. Nous présentons ensuite le problème du « déséquilibre par rapport au quartier » et nous évaluons l'effet d'enclave sur l'accession à la propriété à partir d'un échantillon de nouveaux résidents (1996 à 2001) et des caractéristiques ethniques du quartier où ils habitaient en 1996, au moyen de modèles probit bivariés avec correction pour la sélection de l'échantillon (Van de Ven et Van Praag, 1981).
Date de diffusion : 2005-05-26 - Articles et rapports : 11F0019M2005238Géographie : Canada, Région métropolitaine de recensementDescription :
Par le passé, les familles d'immigrants en âge de travailler dans les grandes agglomérations urbaines du Canada présentaient des taux de propriété de l'habitation supérieurs à ceux de la population de souche. Ces 20 dernières années cependant, l'avantage est passé à la population de souche à cause tant d'une baisse des taux d'immigration que d'une hausse des taux de propriété chez les Canadiens nés au pays. Mon propos sera d'évaluer l'efficacité des modèles standard des choix de consommation avec des indicateurs comme ceux de l'âge, du revenu, de la scolarité et du type de familles et avec plusieurs caractéristiques des immigrants comme éléments d'explication de cette évolution. Je constaterai que le modèle standard explique presque entièrement l'avantage dont jouissaient les immigrants en matière de propriété en 1981, ainsi que la montée des taux de propriété au fil des ans dans la population de souche. Le modèle standard explique toutefois le tiers seulement en gros de l'évolution des taux de 1981 à 2001 dans la population immigrante même après prise en compte de la baisse bien connue des fortunes économiques des immigrants. J'examinerai certaines des conséquences de cette sous-explication et ferai plusieurs recommandations de recherches complémentaires.
Date de diffusion : 2005-02-03
Données (1)
Données (1) ((1 résultat))
- Tableau : 85-566-XGéographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
Le présent document donne un aperçu du point de vue des Canadiens sur le crime et le système de justice pénale aux niveaux national et de la région métropolitaine de recensement. Cette information a été recueillie en 2004 lors du Cycle 18 de l'Enquête sociale générale (ESG) sur la victimisation. Cette enquête qui avait d'abord été menée en 1999, 1993 et 1988, recueille des données sur l'expérience de victimisation des Canadiens et sur les attitudes du public par rapport au crime, à la police, aux tribunaux, à l'emprisonnement et à la liberté conditionnelle. La population cible de l'ESG est formée de toutes les personnes de 15 ans et plus vivant dans un ménage privé de l'une des dix provinces.
Date de diffusion : 2005-07-07
Analyses (5)
Analyses (5) ((5 résultats))
- 1. L'homicide au Canada, 2004 ArchivéArticles et rapports : 85-002-X20050068650Géographie : Province ou territoire, Région métropolitaine de recensementDescription :
Ce rapport annuel est une analyse de l'homicide au Canada. De l'information détaillée sur les caractéristiques des incidents d'homicide (meurtre, homicide involontaire coupable, infanticide), des victimes et des accusés est présentée dans une perspective à court et à long terme. Les homicides font l'objet d'un examen aux échelons national, provincial ou territorial ainsi qu'à celui des principales régions métropolitaines. D'autres aspects sont également examinés : la comparaison internationale des niveaux d'homicides, les homicides reliés aux gangs, les homicides par arme à feu, les homicides commis par les jeunes et les homicides familiaux. Ces données tentent de répondre aux besoins en information des intervenants du système de justice ainsi que des chercheurs, des analystes en politique, des universitaires, des médias et du public sur la nature et la fréquence des homicides au Canada.
Date de diffusion : 2005-10-06 - 2. Situation des peuples autochtones dans les régions métropolitaines de recensement, 1981 à 2001 ArchivéArticles et rapports : 89-613-M2005008Géographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
Le présent rapport porte sur les caractéristiques démographiques et socioéconomiques des Autochtones habitant dans onze centres métropolitains en 1981 et 2001; on y examine la taille, l'âge et la mobilité, la structure familiale, la fréquentation scolaire et le niveau de scolarité ainsi que les caractéristiques sur le marché du travail et la dépendance à l'égard des transferts de la population autochtone.
Les auteurs en arrivent à la conclusion que la situation des Autochtones vivant dans les plus grands centres métropolitains du Canada s'était améliorée en 2001 par rapport à ce qu'elle était 20 ans auparavant.
Néanmoins, les Autochtones vivant en milieu urbain restaient appelés à relever d'énormes défis, particulièrement dans les centres urbains dans l'Ouest du pays, où de grands écarts subsistaient entre eux et leurs homologues non autochtones.
Le rapport porte sur la population d'identité autochtone, qui fait référence aux personnes ayant déclaré appartenir à au moins un groupe autochtone, soit Indien de l'Amérique du Nord, Métis ou Inuit. Le concept d'identité permet une comparaison historique avec le concept utilisé dans le Recensement de 2001 afin d'examiner les changements survenus au fil du temps. Les données ont été tirées des recensements de 1981, 1996 et 2001 ainsi que de l'Enquête de 2001 auprès des peuples autochtones.
Les régions métropolitaines examinées comprennent Montréal, Ottawa Hull (maintenant appelée Ottawa Gatineau), Toronto, Sudbury, Thunder Bay, Winnipeg, Regina, Saskatoon, Calgary, Edmonton et Vancouver.
Date de diffusion : 2005-06-23 - Articles et rapports : 11F0019M2005252Géographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
De nombreux chercheurs considèrent l'accession des immigrants à la propriété comme signifiant leur assimilation au secteur résidentiel général, même si l'étude du caractère ethnique des quartiers où les immigrants achètent effectivement des maisons confirme rarement cette affirmation. Dans le présent article, nous nous servons des données des fichiers maîtres des recensements de la population du Canada de 1996 et de 2001, ainsi que de modèles probit bivariés avec correction pour la sélection de l'échantillon (que nous appelons modèles probit d'Heckman) pour évaluer les déterminants ethniques au niveau du quartier de l'accession à la propriété à Toronto, au Canada. En déterminant si l'achat d'une maison est associé à une faible concentration ethnique, il est possible de préciser si les immigrants quittent leur enclave à la recherche d'une maison dans la « terre promise », comme le laisse entendre la théorie classique de l'assimilation, ou si, aujourd'hui, certains d'entre eux cherchent à s'établir dans les « collectivités ethniques » décrites récemment par Logan, Alba et Zhang (2002) dans le American Sociological Review. L'évaluation du rôle de la concentration ethnique dans des conditions d'équilibre permet de constater que, dans le cas de plusieurs groupes, la concentration de membres d'un même groupe influe sur la propension à acheter une maison.
Date de diffusion : 2005-05-26 - Articles et rapports : 11F0019M2005253Géographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
Le present article résume les conclusions de le document de recherché intitulée Les immigrants achètent-ils pour s'intégrer? : Le rôle du regroupement ethnique dans la propension à devenir propriétaire chez douze groupes d'immigrants à Toronto, 1996 à 2001. La théorie de l'assimilation spatiale est un modèle d'accession à un statut social reliant les positions spatiale et sociale des membres des groupes minoritaires (Massey et Denton, 1985). Lorsqu'on l'applique aux immigrants, le modèle fait ressortir que ceux ci se regrouperont d'abord dans des quartiers typiquement pauvres, où il existe des concentrations élevées de membres de la même collectivité ethnique, mais que cette concentration ethnique est temporaire et perd de son utilité au fil du temps. Dès que le statut socioéconomique de la famille de l'immigrant s'améliore, celle ci s'intègre dans le secteur résidentiel général et s'installe dans un meilleur quartier, où il existe généralement une moins grande ségrégation résidentielle (Massey et Denton, 1985). Par ailleurs, même si le mode d'occupation du logement ne constitue pas une dimension explicite de la théorie de l'assimilation spatiale, compte tenu de la relation bien établie entre le revenu, le capital humain et l'accession à la propriété (Balakrishnan et Wu, 1992; Laryea, 1999), de même que de l'importance de l'accession à la propriété en tant qu'indicateur de bien être et d'assimilation résidentielle (Myers et Lee, 1998), un des éléments de l'ascension socioéconomique d'une famille d'immigrants est la transition de l'état de locataire à celui de propriétaire (Alba et Logan, 1992). Toujours selon la théorie de l'assimilation spatiale, la concentration de membres d'un même groupe devrait être inversement corrélée à l'accession à la propriété, les enclaves ethniques étant généralement perçues comme des zones à logements locatifs pauvres (Fong et Gulia, 1999; Myles et Hou, 2004).
Selon des recherches récentes (Alba et Nee, 2003; Logan, Alba et Zhang, 2002), toutefois, certains groupes d'immigrants pourraient choisir d'aller à l'encontre de l'assimilation spatiale en formant des « collectivités ethniques » durables (Logan, Alba et Zhang, 2002), exerçant ainsi un « effet d'enclave » positif et croissant sur l'accession à la propriété (Borjas, 2002). Dans le présent rapport, nous évaluons la possibilité d'un effet d'enclave en tant qu'explication des profils d'accession à la propriété observés entre 1996 et 2001 chez les douze plus grands groupes de nouveaux immigrants à Toronto. Au moyen de données sur la composition ethnique des quartiers longitudinalement cohérentes et temporellement antécédentes à 1996, nous déterminons si les immigrants choisissent d'acheter une maison en dehors de leur enclave, ou préfèrent un quartier habité par des membres du même groupe qu'eux qui sont propriétaires de leur logement. À cette fin, nous passons en revue les avantages qu'il pourrait y avoir à vivre dans une enclave et à y acheter une maison. Puis nous élaborons un cadre prédictif, en vue de déterminer quels groupes seraient susceptibles de bénéficier de la création de collectivités ethniques de propriétaires. Nous présentons ensuite le problème du « déséquilibre par rapport au quartier » et nous évaluons l'effet d'enclave sur l'accession à la propriété à partir d'un échantillon de nouveaux résidents (1996 à 2001) et des caractéristiques ethniques du quartier où ils habitaient en 1996, au moyen de modèles probit bivariés avec correction pour la sélection de l'échantillon (Van de Ven et Van Praag, 1981).
Date de diffusion : 2005-05-26 - Articles et rapports : 11F0019M2005238Géographie : Canada, Région métropolitaine de recensementDescription :
Par le passé, les familles d'immigrants en âge de travailler dans les grandes agglomérations urbaines du Canada présentaient des taux de propriété de l'habitation supérieurs à ceux de la population de souche. Ces 20 dernières années cependant, l'avantage est passé à la population de souche à cause tant d'une baisse des taux d'immigration que d'une hausse des taux de propriété chez les Canadiens nés au pays. Mon propos sera d'évaluer l'efficacité des modèles standard des choix de consommation avec des indicateurs comme ceux de l'âge, du revenu, de la scolarité et du type de familles et avec plusieurs caractéristiques des immigrants comme éléments d'explication de cette évolution. Je constaterai que le modèle standard explique presque entièrement l'avantage dont jouissaient les immigrants en matière de propriété en 1981, ainsi que la montée des taux de propriété au fil des ans dans la population de souche. Le modèle standard explique toutefois le tiers seulement en gros de l'évolution des taux de 1981 à 2001 dans la population immigrante même après prise en compte de la baisse bien connue des fortunes économiques des immigrants. J'examinerai certaines des conséquences de cette sous-explication et ferai plusieurs recommandations de recherches complémentaires.
Date de diffusion : 2005-02-03
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