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- Articles et rapports : 88F0017M2001012Géographie : CanadaDescription :
Ce rapport présente l'utilisation actuelle et l'utilisation prévue de 26 technologies de fabrication au niveau de l'établissement. Dans le cadre de l'Enquête sur les technologies de pointe dans l'industrie canadienne de la fabrication de 1998, on a obtenu des données supplémentaires au sujet des besoins de compétences, des méthodes de mise au point des technologies de pointe, des résultats de l'adoption des technologies de pointe, des obstacles à l'adoption et des activités de recherche et développement des entreprises.
Date de diffusion : 2001-11-29 - 2. Dynamique du secteur canadien de la fabrication dans les régions métropolitaines et rurales ArchivéArticles et rapports : 11F0019M2001169Géographie : CanadaDescription :
Nous documentons dans le présent rapport l'évolution de la géographie du secteur canadien de la fabrication au cours d'une période de 22 ans (de 1976 à 1997) en examinant les déplacements de l'emploi, et d'autres mesures du changement industriel, entre les différents niveaux de la hiérarchie urbaine-rurale : les villes-centres, les banlieues adjacentes, les villes moyennes, les petites villes et les régions rurales.
Notre analyse montre que les déplacements les plus spectaculaires de l'emploi dans le secteur de la fabrication se sont produits des villes-centres de grandes régions métropolitaines vers leurs banlieues. La part des régions rurales de l'emploi dans le secteur canadien de la fabrication s'est accrue, ce qui correspond à des tendances observées aux États-Unis. L'augmentation de la part des régions rurales de l'emploi était attribuable à la baisse de celle des petites villes et, dans une moindre mesure, à la diminution de celle également des grandes régions urbaines. L'augmentation des régions rurales de leur part sur ce plan a été particulièrement importante au Québec, où l'emploi s'est éloigné de la région de Montréal. À l'opposé, en Ontario, au cours de la période étudiée seules les régions rurales ont conservé leur part de l'emploi, tandis que la région de Toronto a accru la sienne au niveau provincial. La fortune changeante des régions rurales et urbaines était non pas le résultat de déplacements généraux de l'emploi dans le secteur de la fabrication, mais le résultat net de tendances géographiques divergentes d'une industrie à une autre.
On mesure aussi le changement à l'intérieur de la hiérarchie urbaine-rurale par les niveaux de salaire et de productivité, la diversité et la volatilité. Par opposition aux États-Unis, les salaires et la productivité au Canada ne baissent pas invariablement, ne suivent pas constamment de façon descendante la hiérarchie urbaine-rurale, des plus grandes villes aux régions les plus rurales du pays. Ce n'est qu'après avoir neutralisé les types d'industries de la fabrication qu'on trouve dans les régions urbaines et rurales qu'il paraît évident que les salaires et que la productivité baissent avec la taille du lieu. Notre analyse montre également qu'au fil du temps la plupart des régions urbaines et rurales se diversifient entre une plus grande variété d'industries de la fabrication et que les déplacements de parts de l'emploi entre les industries, une mesure de l'instabilité économique, se sont accrus modérément pour certaines régions (classifications) urbaines-rurales.
Date de diffusion : 2001-11-23 - Articles et rapports : 88-003-X20010035966Géographie : CanadaDescription :
Vers la fin des années 1990, les deux tiers des établissements de fabrication utilisant des technologies de poitne ont subi un type quelconque de pénurie de main-d'oeuvre qualifiée. Les pénuries les plus marquées ont touché les opérateurs de machine, les ingénieurs en procédés industriels et les machinistes, environ le quart des gestionnaires d'usine déclarant une pénurie dans chacune de ces catégories. Venaient ensuite les gestionnaires de la production et les spécialistes de l'informatique, une usine sur cinq déclarant une pénurie dans ces catégories.
Date de diffusion : 2001-10-31 - Articles et rapports : 21-004-X20010095953Géographie : CanadaDescription :
Les fabricants, les grossistes et les détaillants de produits alimentaires ont réussi à obtenir un rendement raisonnable au cours des années 90 en dépit des problèmes posés par l'avènement des accords de libre-échange et les changements en ce qui concerne les habitudes alimentaires de la population. Le présent article examine le rendement des investissements des entreprises qui oeuvraient dans le secteur alimentaire canadien au cours des années 90.
Date de diffusion : 2001-10-12 - Articles et rapports : 11F0019M2001174Géographie : CanadaDescription :
Le présent document s'intéresse à l'évolution de la structure industrielle du secteur de la fabrication au Canada de même qu'à son lien avec le changement technologique en examinant l'adoption de technologies de pointe et son rapport avec le processus de croissance stochastique dans la population des usines. Il s'articule autour du point de vue selon lequel la croissance est un processus stochastique dans lequel intervient l'apprentissage. L'expérimentation des nouvelles technologies récompense certaines entreprises à croissance et à rentabilité supérieures. Pour savoir lesquelles, on y examine le rapport entre la croissance et le choix de différentes stratégies technologiques.
Le document étudie l'évolution de ce processus en sondant la relation entre l'adoption de nouvelles technologies et la performance des usines dans le secteur de la fabrication; cela se fait par la combinaison de données transversales sur les technologies de pointe à des données de panel longitudinales sur la performance des usines. Il s'intéresse en particulier au lien entre l'utilisation des technologies de l'information et des communications (TIC) et la croissance de la part de marché et de la productivité relative d'une usine.
Il appert qu'une proportion considérable de la part de marché passe des entreprises en déclin aux entreprises en croissance sur une période de dix ans. En même temps, les secondes augmentent leur productivité par rapport aux premières. Les utilisatrices de technologies qui employaient des technologies de communication ou combinaient différents types de technologies ont accru le plus leur productivité relative. Ces hausses de la productivité relative se sont accompagnées délargissements de la part de marché. Ont aussi contribué à accroître la part de marché la présence d'installations de R et D et d'autres activités innovatrices.
Date de diffusion : 2001-10-03 - Articles et rapports : 11F0019M2001173Géographie : CanadaDescription :
Nous examinons dans le présent document, à l'aide de données d'enquête, les problèmes auxquels font face les entreprises du secteur canadien de la fabrication lorsqu'elles décident d'adopter des technologies de pointe. Les données montrent que l'utilisation des technologies de pointe est relativement importante (leurs utilisateurs représentant plus de 80 % de toutes les livraisons), mais que leur emploi n'est pas répandu dans les entreprises (leurs utilisateurs ne constituant qu'environ le tiers de tous les établissements). Cette situation vient notamment du fait que les technologies de pointe offrent une vaste gamme d'avantages, mais que les entreprises sont également confrontées à une série d'entraves, des problèmes qui les empêchent d'adopter ces technologies. Ces entraves s'inscrivent à l'intérieur de cinq groupes : les problèmes liés aux coûts, les problèmes liés au cadre institutionnel, les problèmes en matière de main-d'oeuvre, les problèmes liés à la structure organisationnelle et les problèmes en matière d'information.
Même si l'on pourrait s'attendre à ce que les entraves soient plus grandes pour les non-utilisateurs que pour les utilisateurs des technologies de pointe, c'est le contraire qui se produit. Nous postulons qu'il en est ainsi parce que l'innovation suppose un processus d'apprentissage. Les innovateurs et les utilisateurs des technologies de pointe font face à des problèmes qu'ils doivent régler et les entreprises plus innovatrices ont des plus gros problèmes. Nous vérifions ce postulat en examinant les facteurs liés au fait qu'une entreprise signale ou ne signale pas qu'elle a fait face à des entraves. Notre analyse multidimensionnelle révèle que les utilisateurs des technologies de pointe et que les entreprises qui innovent signalent plus souvent des entraves que les non-utilisateurs de ces technologies et que les entreprises qui n'innovent pas. Nous concluons qu'il ne faudrait pas interpréter l'information sur les entraves dans les rapports des enquêtes sur la technologie et d'autres enquêtes connexes (sur l'innovation) comme des obstacles infranchissables qui empêchent les entreprises d'adopter des technologies. Ces enquêtes indiquent plutôt les domaines où les entreprises qui connaissent le succès font face à des problèmes et les règlent.
Date de diffusion : 2001-09-21 - Articles et rapports : 11F0019M2001175Géographie : CanadaDescription :
Le présent document vise à déterminer dans quelle mesure les établissements du secteur canadien de la fabrication font face à des pénuries de main'd'oeuvre qualifiée et, le cas échéant, si ces pénuries semblent nuire à l'adoption des technologies de pointe. Les usines qui adoptent des technologies de pointe déclarent des pénuries, particulièrement chez les professionnels, comme les spécialistes des sciences et les ingénieurs, et chez les spécialistes techniques. Les problèmes qu'entraînent ces pénuries sur le marché du travail dépendent pour une large part des solutions adoptées par les établissements qui y font face. Le présent document démontre que les pénuries de main-d'oeuvre qualifiée ne semblent pas nuire à l'adoption des technologies, étant donné que les établissements qui déclarent des pénuries sont aussi ceux qui sont les plus avancés au niveau technologique. Même s'ils font face à des besoins plus grands de main-d'oeuvre qualifiée, ils semblent être en mesure de résoudre les pénuries qui se posent.
Date de diffusion : 2001-09-21 - Articles et rapports : 11F0019M2001165Géographie : CanadaDescription :
Le présent document vise à analyser le lien qui existe entre les réseaux d'innovation clients/fournisseurs et l'ampleur et le modèle de flux de marchandises entre les industries. Cette analyse repose sur la conception d'un indice de la diversification servant à mesurer la nature des liens inter-industriels qui découlent de la circulation de biens et de services entre fournisseurs et clients. Elle établit ensuite un lien entre ces schémas de diversification et l'importance des réseaux d'innovation clients/fournisseurs.
Des matrices d'entrées-sorties sont utilisées pour mesurer la portée des liens inter-industriels de même que le type de flux de marchandises entre les industries. L'importance des réseaux clients/fournisseurs est dérivée de données tirées de l'Enquête sur les innovations et les technologies de pointe 1993.
Dans la présente étude, nous avons constaté que l'importance des réseaux d'innovation établis avec des fournisseurs ou des clients est liée à la structure des flux de marchandises qui s'effectuent entre les secteurs d'activité. Lorsque le nombre de liens interindustriels en amont est faible, les entreprises sont plus susceptibles d'établir des partenariats avec des fournisseurs. En revanche, le nombre de réseaux établis avec des clients augmente lorsque le nombre de liens interindustriels en aval est important.
Date de diffusion : 2001-05-04 - Articles et rapports : 88-003-X20010025754Géographie : CanadaDescription :
Les constatations tirées de l'Enquête de 1999 sur l'innovation nous donnent un aperçu du pourcentage d'entreprises innovatrices dans le secteur de la fabrication, de leurs motivations, des obstacles à l'innovation et des retombées de l'innovation.
Date de diffusion : 2001-05-02 - Articles et rapports : 11F0019M2001154Géographie : CanadaDescription :
Nous examinons dans le présent document de quelles façons la situation sur le plan de l'innovation par opposition à l'utilisation des technologies influe sur les activités de formation des usines. Nous y étudions les programmes de formation offerts en réaction à des pénuries de main-d'oeuvre particulières par rapport aux programmes de formation mis en oeuvre en réaction à l'entrée en service d'équipement de pointe.
Les utilisateurs de technologies de pointe sont plus susceptibles d'avoir à leur service des travailleurs exerçant des professions très spécialisées, d'être confrontés à des pénuries plus marquées de tels travailleurs et sont aussi plus susceptibles que les usines qui n'utilisent pas de technologies de pointe de former des travailleurs en réaction à ces pénuries.
L'implantation de nouvelles techniques s'accompagne également de différences au niveau de l'incidence des programmes de formation, les utilisateurs de technologies de pointe étant davantage susceptibles que les non-utilisateurs de telles technologies d'offrir des programmes de formation. À ce niveau, la situation sur le plan de l'innovation à l'intérieur du groupe des utilisateurs de technologies influe aussi sur les décisions en matière de formation. Les utilisateurs de technologies qui innovent et de technologies qui n'innovent pas, en particulier, divergent pour ce qui est de l'ampleur et de la nature des programmes de formation entrepris en réaction à l'entrée en service de nouvel équipement de pointe. Les innovateurs sont plus susceptibles d'offrir des programmes de formation et de préférer la formation au travail à d'autres formes de formation. Les non-innovateurs sont moins susceptibles d'offrir des programmes de formation dans ces conditions et, lorsqu'ils le font, il est plus probable qu'ils le fassent dans une salle de classe, soit à l'extérieur des lieux de travail soit dans l'entreprise.
Ces conclusions font ressortir le fait que des programmes de formation sont offerts pour plus d'une raison. Les pénuries reliées à une offre insuffisante de main-d'oeuvre en fournissent une. Ce né,est cependant pas sur ce plan que les entreprises innovatrices se distinguent. Elles paraissent plutôt réagir différemment à l'entrée en service de nouvel équipement en mettant en oeuvre énormément de programmes de formation qui leur sont très particuliers. Cela laisse entendre que l'innovation exige non pas tant de nouvelles compétences propres aux professions (même s'il ne fait aucun doute que c'est le cas), que des aptitudes cognitives d'ordre général qui découlent du fonctionnement à l'intérieur d'un cadre ou d'un milieu innovateur supposant l'accroissement des capacités de beaucoup de gens dans le milieu de travail de régler des problèmes. Ces capacités de régler des problèmes se développent dans un cadre d'apprentissage par l'action, avec l'expérience pratique.
Date de diffusion : 2001-04-04
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- Articles et rapports : 88F0017M2001012Géographie : CanadaDescription :
Ce rapport présente l'utilisation actuelle et l'utilisation prévue de 26 technologies de fabrication au niveau de l'établissement. Dans le cadre de l'Enquête sur les technologies de pointe dans l'industrie canadienne de la fabrication de 1998, on a obtenu des données supplémentaires au sujet des besoins de compétences, des méthodes de mise au point des technologies de pointe, des résultats de l'adoption des technologies de pointe, des obstacles à l'adoption et des activités de recherche et développement des entreprises.
Date de diffusion : 2001-11-29 - 2. Dynamique du secteur canadien de la fabrication dans les régions métropolitaines et rurales ArchivéArticles et rapports : 11F0019M2001169Géographie : CanadaDescription :
Nous documentons dans le présent rapport l'évolution de la géographie du secteur canadien de la fabrication au cours d'une période de 22 ans (de 1976 à 1997) en examinant les déplacements de l'emploi, et d'autres mesures du changement industriel, entre les différents niveaux de la hiérarchie urbaine-rurale : les villes-centres, les banlieues adjacentes, les villes moyennes, les petites villes et les régions rurales.
Notre analyse montre que les déplacements les plus spectaculaires de l'emploi dans le secteur de la fabrication se sont produits des villes-centres de grandes régions métropolitaines vers leurs banlieues. La part des régions rurales de l'emploi dans le secteur canadien de la fabrication s'est accrue, ce qui correspond à des tendances observées aux États-Unis. L'augmentation de la part des régions rurales de l'emploi était attribuable à la baisse de celle des petites villes et, dans une moindre mesure, à la diminution de celle également des grandes régions urbaines. L'augmentation des régions rurales de leur part sur ce plan a été particulièrement importante au Québec, où l'emploi s'est éloigné de la région de Montréal. À l'opposé, en Ontario, au cours de la période étudiée seules les régions rurales ont conservé leur part de l'emploi, tandis que la région de Toronto a accru la sienne au niveau provincial. La fortune changeante des régions rurales et urbaines était non pas le résultat de déplacements généraux de l'emploi dans le secteur de la fabrication, mais le résultat net de tendances géographiques divergentes d'une industrie à une autre.
On mesure aussi le changement à l'intérieur de la hiérarchie urbaine-rurale par les niveaux de salaire et de productivité, la diversité et la volatilité. Par opposition aux États-Unis, les salaires et la productivité au Canada ne baissent pas invariablement, ne suivent pas constamment de façon descendante la hiérarchie urbaine-rurale, des plus grandes villes aux régions les plus rurales du pays. Ce n'est qu'après avoir neutralisé les types d'industries de la fabrication qu'on trouve dans les régions urbaines et rurales qu'il paraît évident que les salaires et que la productivité baissent avec la taille du lieu. Notre analyse montre également qu'au fil du temps la plupart des régions urbaines et rurales se diversifient entre une plus grande variété d'industries de la fabrication et que les déplacements de parts de l'emploi entre les industries, une mesure de l'instabilité économique, se sont accrus modérément pour certaines régions (classifications) urbaines-rurales.
Date de diffusion : 2001-11-23 - Articles et rapports : 88-003-X20010035966Géographie : CanadaDescription :
Vers la fin des années 1990, les deux tiers des établissements de fabrication utilisant des technologies de poitne ont subi un type quelconque de pénurie de main-d'oeuvre qualifiée. Les pénuries les plus marquées ont touché les opérateurs de machine, les ingénieurs en procédés industriels et les machinistes, environ le quart des gestionnaires d'usine déclarant une pénurie dans chacune de ces catégories. Venaient ensuite les gestionnaires de la production et les spécialistes de l'informatique, une usine sur cinq déclarant une pénurie dans ces catégories.
Date de diffusion : 2001-10-31 - Articles et rapports : 21-004-X20010095953Géographie : CanadaDescription :
Les fabricants, les grossistes et les détaillants de produits alimentaires ont réussi à obtenir un rendement raisonnable au cours des années 90 en dépit des problèmes posés par l'avènement des accords de libre-échange et les changements en ce qui concerne les habitudes alimentaires de la population. Le présent article examine le rendement des investissements des entreprises qui oeuvraient dans le secteur alimentaire canadien au cours des années 90.
Date de diffusion : 2001-10-12 - Articles et rapports : 11F0019M2001174Géographie : CanadaDescription :
Le présent document s'intéresse à l'évolution de la structure industrielle du secteur de la fabrication au Canada de même qu'à son lien avec le changement technologique en examinant l'adoption de technologies de pointe et son rapport avec le processus de croissance stochastique dans la population des usines. Il s'articule autour du point de vue selon lequel la croissance est un processus stochastique dans lequel intervient l'apprentissage. L'expérimentation des nouvelles technologies récompense certaines entreprises à croissance et à rentabilité supérieures. Pour savoir lesquelles, on y examine le rapport entre la croissance et le choix de différentes stratégies technologiques.
Le document étudie l'évolution de ce processus en sondant la relation entre l'adoption de nouvelles technologies et la performance des usines dans le secteur de la fabrication; cela se fait par la combinaison de données transversales sur les technologies de pointe à des données de panel longitudinales sur la performance des usines. Il s'intéresse en particulier au lien entre l'utilisation des technologies de l'information et des communications (TIC) et la croissance de la part de marché et de la productivité relative d'une usine.
Il appert qu'une proportion considérable de la part de marché passe des entreprises en déclin aux entreprises en croissance sur une période de dix ans. En même temps, les secondes augmentent leur productivité par rapport aux premières. Les utilisatrices de technologies qui employaient des technologies de communication ou combinaient différents types de technologies ont accru le plus leur productivité relative. Ces hausses de la productivité relative se sont accompagnées délargissements de la part de marché. Ont aussi contribué à accroître la part de marché la présence d'installations de R et D et d'autres activités innovatrices.
Date de diffusion : 2001-10-03 - Articles et rapports : 11F0019M2001173Géographie : CanadaDescription :
Nous examinons dans le présent document, à l'aide de données d'enquête, les problèmes auxquels font face les entreprises du secteur canadien de la fabrication lorsqu'elles décident d'adopter des technologies de pointe. Les données montrent que l'utilisation des technologies de pointe est relativement importante (leurs utilisateurs représentant plus de 80 % de toutes les livraisons), mais que leur emploi n'est pas répandu dans les entreprises (leurs utilisateurs ne constituant qu'environ le tiers de tous les établissements). Cette situation vient notamment du fait que les technologies de pointe offrent une vaste gamme d'avantages, mais que les entreprises sont également confrontées à une série d'entraves, des problèmes qui les empêchent d'adopter ces technologies. Ces entraves s'inscrivent à l'intérieur de cinq groupes : les problèmes liés aux coûts, les problèmes liés au cadre institutionnel, les problèmes en matière de main-d'oeuvre, les problèmes liés à la structure organisationnelle et les problèmes en matière d'information.
Même si l'on pourrait s'attendre à ce que les entraves soient plus grandes pour les non-utilisateurs que pour les utilisateurs des technologies de pointe, c'est le contraire qui se produit. Nous postulons qu'il en est ainsi parce que l'innovation suppose un processus d'apprentissage. Les innovateurs et les utilisateurs des technologies de pointe font face à des problèmes qu'ils doivent régler et les entreprises plus innovatrices ont des plus gros problèmes. Nous vérifions ce postulat en examinant les facteurs liés au fait qu'une entreprise signale ou ne signale pas qu'elle a fait face à des entraves. Notre analyse multidimensionnelle révèle que les utilisateurs des technologies de pointe et que les entreprises qui innovent signalent plus souvent des entraves que les non-utilisateurs de ces technologies et que les entreprises qui n'innovent pas. Nous concluons qu'il ne faudrait pas interpréter l'information sur les entraves dans les rapports des enquêtes sur la technologie et d'autres enquêtes connexes (sur l'innovation) comme des obstacles infranchissables qui empêchent les entreprises d'adopter des technologies. Ces enquêtes indiquent plutôt les domaines où les entreprises qui connaissent le succès font face à des problèmes et les règlent.
Date de diffusion : 2001-09-21 - Articles et rapports : 11F0019M2001175Géographie : CanadaDescription :
Le présent document vise à déterminer dans quelle mesure les établissements du secteur canadien de la fabrication font face à des pénuries de main'd'oeuvre qualifiée et, le cas échéant, si ces pénuries semblent nuire à l'adoption des technologies de pointe. Les usines qui adoptent des technologies de pointe déclarent des pénuries, particulièrement chez les professionnels, comme les spécialistes des sciences et les ingénieurs, et chez les spécialistes techniques. Les problèmes qu'entraînent ces pénuries sur le marché du travail dépendent pour une large part des solutions adoptées par les établissements qui y font face. Le présent document démontre que les pénuries de main-d'oeuvre qualifiée ne semblent pas nuire à l'adoption des technologies, étant donné que les établissements qui déclarent des pénuries sont aussi ceux qui sont les plus avancés au niveau technologique. Même s'ils font face à des besoins plus grands de main-d'oeuvre qualifiée, ils semblent être en mesure de résoudre les pénuries qui se posent.
Date de diffusion : 2001-09-21 - Articles et rapports : 11F0019M2001165Géographie : CanadaDescription :
Le présent document vise à analyser le lien qui existe entre les réseaux d'innovation clients/fournisseurs et l'ampleur et le modèle de flux de marchandises entre les industries. Cette analyse repose sur la conception d'un indice de la diversification servant à mesurer la nature des liens inter-industriels qui découlent de la circulation de biens et de services entre fournisseurs et clients. Elle établit ensuite un lien entre ces schémas de diversification et l'importance des réseaux d'innovation clients/fournisseurs.
Des matrices d'entrées-sorties sont utilisées pour mesurer la portée des liens inter-industriels de même que le type de flux de marchandises entre les industries. L'importance des réseaux clients/fournisseurs est dérivée de données tirées de l'Enquête sur les innovations et les technologies de pointe 1993.
Dans la présente étude, nous avons constaté que l'importance des réseaux d'innovation établis avec des fournisseurs ou des clients est liée à la structure des flux de marchandises qui s'effectuent entre les secteurs d'activité. Lorsque le nombre de liens interindustriels en amont est faible, les entreprises sont plus susceptibles d'établir des partenariats avec des fournisseurs. En revanche, le nombre de réseaux établis avec des clients augmente lorsque le nombre de liens interindustriels en aval est important.
Date de diffusion : 2001-05-04 - Articles et rapports : 88-003-X20010025754Géographie : CanadaDescription :
Les constatations tirées de l'Enquête de 1999 sur l'innovation nous donnent un aperçu du pourcentage d'entreprises innovatrices dans le secteur de la fabrication, de leurs motivations, des obstacles à l'innovation et des retombées de l'innovation.
Date de diffusion : 2001-05-02 - Articles et rapports : 11F0019M2001154Géographie : CanadaDescription :
Nous examinons dans le présent document de quelles façons la situation sur le plan de l'innovation par opposition à l'utilisation des technologies influe sur les activités de formation des usines. Nous y étudions les programmes de formation offerts en réaction à des pénuries de main-d'oeuvre particulières par rapport aux programmes de formation mis en oeuvre en réaction à l'entrée en service d'équipement de pointe.
Les utilisateurs de technologies de pointe sont plus susceptibles d'avoir à leur service des travailleurs exerçant des professions très spécialisées, d'être confrontés à des pénuries plus marquées de tels travailleurs et sont aussi plus susceptibles que les usines qui n'utilisent pas de technologies de pointe de former des travailleurs en réaction à ces pénuries.
L'implantation de nouvelles techniques s'accompagne également de différences au niveau de l'incidence des programmes de formation, les utilisateurs de technologies de pointe étant davantage susceptibles que les non-utilisateurs de telles technologies d'offrir des programmes de formation. À ce niveau, la situation sur le plan de l'innovation à l'intérieur du groupe des utilisateurs de technologies influe aussi sur les décisions en matière de formation. Les utilisateurs de technologies qui innovent et de technologies qui n'innovent pas, en particulier, divergent pour ce qui est de l'ampleur et de la nature des programmes de formation entrepris en réaction à l'entrée en service de nouvel équipement de pointe. Les innovateurs sont plus susceptibles d'offrir des programmes de formation et de préférer la formation au travail à d'autres formes de formation. Les non-innovateurs sont moins susceptibles d'offrir des programmes de formation dans ces conditions et, lorsqu'ils le font, il est plus probable qu'ils le fassent dans une salle de classe, soit à l'extérieur des lieux de travail soit dans l'entreprise.
Ces conclusions font ressortir le fait que des programmes de formation sont offerts pour plus d'une raison. Les pénuries reliées à une offre insuffisante de main-d'oeuvre en fournissent une. Ce né,est cependant pas sur ce plan que les entreprises innovatrices se distinguent. Elles paraissent plutôt réagir différemment à l'entrée en service de nouvel équipement en mettant en oeuvre énormément de programmes de formation qui leur sont très particuliers. Cela laisse entendre que l'innovation exige non pas tant de nouvelles compétences propres aux professions (même s'il ne fait aucun doute que c'est le cas), que des aptitudes cognitives d'ordre général qui découlent du fonctionnement à l'intérieur d'un cadre ou d'un milieu innovateur supposant l'accroissement des capacités de beaucoup de gens dans le milieu de travail de régler des problèmes. Ces capacités de régler des problèmes se développent dans un cadre d'apprentissage par l'action, avec l'expérience pratique.
Date de diffusion : 2001-04-04
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