Enquête sur les dépenses alimentaires

Depuis le début des années 1990, la possibilité que le taux d'inflation soit surestimé par suite de biais de mesure dans l'estimation de l'Indice des prix à la consommation (IPC) retient de plus en plus l'attention. Le biais de substitution de points de vente est l'une des sources de cette erreur possible. Ce type de distorsion peut se produire lorsque les consommateurs abandonnent un point de vente au détail pour un autre. Au fur et à mesure que les hypermarchés et les magasins de type entrepôt ouvrent et s'emparent d'une plus grande part du marché, l'actuel échantillon de l'IPC pourrait devenir de moins en moins représentatif. Si les prix dans les nouveaux points de vente sont inférieurs et si cette diminution des coûts n'est pas saisie avec exactitude dans l'IPC, l'indice présentera un biais par excès.

L'Enquête sur les dépenses alimentaires (EDA) est une enquête périodique recueillant des informations auprès des ménages sur les habitudes de dépense alimentaire. La collecte des renseignements se fait principalement à partir de journaux hebdomadaires des achats que les répondants doivent remplir quotidiennement durant deux semaines consécutives.

L'EDA, comme toutes les enquêtes, est sujette aux erreurs et ce malgré toutes les précautions prises aux différentes étapes de l'enquête pour les contrôler. Quoiqu'il n'existe pas de mesure exhaustive de la qualité des données d'une enquête, certaines mesures de qualité produites aux différentes étapes de l'enquête peuvent fournir à l'utilisateur de l'information pertinente pour une bonne interprétation des données.

Ce document présente, pour l'EDA de 2001, les indicateurs de qualité suivants : les coefficients de variation, les taux de non-réponse, les taux de vacance, les taux de glissement, les taux d'imputation ainsi que les incidences de l'imputation sur les estimations.

L'Enquête sur les dépenses alimentaires (EDA) est une enquête périodique recueillant des informations auprès des ménages sur les habitudes de dépenses alimentaires. La collecte des renseignements se fait principalement à partir de journaux hebdomadaires des achats que les répondants doivent remplir quotidiennement durant deux semaines consécutives.

Ce document présente une description détaillée de la méthodologie de cette enquête. On y décrit d'abord brièvement le plan d'échantillonnage qui est principalement basé sur le plan de l'Enquête sur la population active. Par la suite, on y présente les méthodes de collecte, de traitement des données, de pondération, d'estimation de la variance ainsi que de suppression des données non fiables dans les tableaux d'estimations.

Cette enquête fournit des estimations pour les dépenses alimentaires et les quantités d'aliments achetés par les ménages par environ 195 catégories différentes d'aliments et de boissons non alcoolisées. Tout au long de l'année de référence, les membres des ménages choisis devaient inscrire leurs dépenses au titre de divers aliments et boissons pour une période de deux semaines. Principaux sujets : caractérisitques des ménages, aliments achetés au magasin, aliments achetés dans un restaurant, aliments achetés localement ou au cours de voyages d'un jour, aliments achetés au cours de voyages de plus d'un jour, type de magasin et type de restaurant.

La publication Dépenses alimentaires des familles au Canada fournit des renseignements détaillés et sommaires sur les dépenses alimentaires par ménage. Les aliments achetés dans un magasin et les repas achetés dans un restaurant sont présentés séparément. Le sommaire des aliments achetés dans un magasin comprend : la viande et la volaille fraîches et congelées; le poisson; les produits laitiers (lait, fromage); les oeufs; les produits céréaliers et de boulangerie (pain, biscuits, gâteaux); les pâtes alimentaires; les céréales de table; les fruits frais; les autres fruits apprêtés; les légumes frais; les autres légumes apprêtés; les condiments; le sucre; le café et le thé; les huiles et les corps gras; les autres aliments apprêtés (soupes, croustilles); et les boissons non alcoolisées. Aussi, l'ensemble des aliments achetés dans un magasin est présenté par genre de magasin (supermarchés, magasins d'alimentation spécialisés, dépanneurs ou autres magasins). Les repas achetés dans un restaurant sont présentés de la façon suivante : déjeuners, dîners, soupers et aliments et boissons consommés entre les repas. On établit le profil des dépenses alimentaires selon la taille du ménage, le genre de ménage et d'autres caractéristiques du ménage. Il est question des habitudes d'achat d'aliments au cours des années, comme aller à l'épicerie, manger au restaurant, acheter des produits laitiers. Des renseignements sur le revenu du ménage sont présentés par tranche de revenu et quintile de revenu.

On retrouve des renseignements sommaires et détaillés pour les provinces (sauf les Territoires du Nord-Ouest et le Yukon), certaines régions métropolitaines (dont Whitehorse et Yellowknife) et la taille du secteur de résidence. Des renseignements détaillés sur les dépenses et des tableaux de recoupement pour tous les niveaux géographiques sont fournis sur demande.

Cette enquête fournit des estimations pour les dépenses alimentaires et les quantités d'aliments achetés par les ménages par environ 195 catégories différentes d'aliments et de boissons non alcoolisées. Tout au long de l'année de référence, les membres des ménages choisis devaient inscrire leurs dépenses au titre de divers aliments et boissons pour une période de deux semaines. Principaux sujets : caractérisitques des ménages, aliments achetés au magasin, aliments achetés dans un restaurant, aliments achetés localement ou au cours de voyages d'un jour, aliments achetés au cours de voyages de plus d'un jour, type de magasin et type de restaurant.

La publication Dépenses alimentaires des familles au Canada fournit des renseignements détaillés et sommaires sur les dépenses alimentaires par ménage. Les aliments achetés dans un magasin et les repas achetés dans un restaurant sont présentés séparément. Le sommaire des aliments achetés dans un magasin comprend : la viande et la volaille fraîches et congelées; le poisson; les produits laitiers (lait, fromage); les oeufs; les produits céréaliers et de boulangerie (pain, biscuits, gâteaux); les pâtes alimentaires; les céréales de table; les fruits frais; les autres fruits apprêtés; les légumes frais; les autres légumes apprêtés; les condiments; le sucre; le café et le thé; les huiles et les corps gras; les autres aliments apprêtés (soupes, croustilles); et les boissons non alcoolisées. Aussi, l'ensemble des aliments achetés dans un magasin est présenté par genre de magasin (supermarchés, magasins d'alimentation spécialisés, dépanneurs ou autres magasins). Les repas achetés dans un restaurant sont présentés de la façon suivante : déjeuners, dîners, soupers et aliments et boissons consommés entre les repas. On établit le profil des dépenses alimentaires selon la taille du ménage, le genre de ménage et d'autres caractéristiques du ménage. Il est question des habitudes d'achat d'aliments au cours des années, comme aller à l'épicerie, manger au restaurant, acheter des produits laitiers. Des renseignements sur le revenu du ménage sont présentés par tranche de revenu et quintile de revenu.

On retrouve des renseignements sommaires et détaillés pour les provinces (sauf les Territoires du Nord-Ouest et le Yukon), certaines régions métropolitaines (dont Whitehorse et Yellowknife) et la taille du secteur de résidence. Des renseignements détaillés sur les dépenses et des tableaux de recoupement pour tous les niveaux géographiques sont fournis sur demande.

Depuis le début des années 1990, la possibilité que le taux d'inflation soit surestimé par suite de biais de mesure dans l'estimation de l'Indice des prix à la consommation (IPC) retient de plus en plus l'attention. Le biais de substitution de points de vente est l'une des sources de cette erreur possible. Ce type de distorsion peut se produire lorsque les consommateurs abandonnent un point de vente au détail pour un autre. Au fur et à mesure que les hypermarchés et les magasins de type entrepôt ouvrent et s'emparent d'une plus grande part du marché, l'actuel échantillon de l'IPC pourrait devenir de moins en moins représentatif. Si les prix dans les nouveaux points de vente sont inférieurs et si cette diminution des coûts n'est pas saisie avec exactitude dans l'IPC, l'indice présentera un biais par excès.

L'Enquête sur les dépenses alimentaires (EDA) est une enquête périodique recueillant des informations auprès des ménages sur les habitudes de dépense alimentaire. La collecte des renseignements se fait principalement à partir de journaux hebdomadaires des achats que les répondants doivent remplir quotidiennement durant deux semaines consécutives.

L'EDA, comme toutes les enquêtes, est sujette aux erreurs et ce malgré toutes les précautions prises aux différentes étapes de l'enquête pour les contrôler. Quoiqu'il n'existe pas de mesure exhaustive de la qualité des données d'une enquête, certaines mesures de qualité produites aux différentes étapes de l'enquête peuvent fournir à l'utilisateur de l'information pertinente pour une bonne interprétation des données.

Ce document présente, pour l'EDA de 2001, les indicateurs de qualité suivants : les coefficients de variation, les taux de non-réponse, les taux de vacance, les taux de glissement, les taux d'imputation ainsi que les incidences de l'imputation sur les estimations.

L'Enquête sur les dépenses alimentaires (EDA) est une enquête périodique recueillant des informations auprès des ménages sur les habitudes de dépenses alimentaires. La collecte des renseignements se fait principalement à partir de journaux hebdomadaires des achats que les répondants doivent remplir quotidiennement durant deux semaines consécutives.

Ce document présente une description détaillée de la méthodologie de cette enquête. On y décrit d'abord brièvement le plan d'échantillonnage qui est principalement basé sur le plan de l'Enquête sur la population active. Par la suite, on y présente les méthodes de collecte, de traitement des données, de pondération, d'estimation de la variance ainsi que de suppression des données non fiables dans les tableaux d'estimations.