Enquête sur les infrastructures publiques essentielles du Canada : actifs de transport en commun, 2016
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Diffusion : 2018-11-27
La majorité du matériel roulant de transport en commun dont dépendent les Canadiens pour se déplacer a été jugé en bon ou en très bon état en 2016. Les autobus ont été le type de matériel roulant le plus courant appartenant aux organismes gouvernementaux, suivis des trains et des véhicules de transport en commun spécialisé pour personnes ayant une incapacité.
Statistique Canada, en partenariat avec Infrastructure Canada, a dressé son tout premier catalogue de l'état des infrastructures au pays afin de fournir des renseignements statistiques sur le stock, l'état et le rendement des actifs relatifs aux infrastructures publiques essentielles du Canada, ainsi que sur les stratégies de gestion de ces actifs. Ces infrastructures comprennent une grande variété d'actifs détenus et exploités par des administrations publiques provinciales, territoriales, régionales et municipales, notamment les ponts et tunnels; les routes et les actifs relatifs aux eaux usées, aux eaux pluviales, à l'eau potable et aux déchets solides, de même que le logement social et abordable; les installations pour la culture, les loisirs et les sports et le transport en commun.
Le Quotidien présentera une série de diffusions comprenant ces nouveaux renseignements, chaque diffusion portant sur un sous-groupe d'actifs. Cette cinquième diffusion de la série présente les résultats sur les actifs de transport en commun; une diffusion finale sur le sujet de la gestion des actifs est prévue au cours des semaines à venir.
En 2016, 315 organismes gouvernementaux dans l'ensemble du Canada possédaient des actifs de transport en commun, la plupart de ces organismes étant des administrations publiques municipales (292). Leurs actifs de matériel roulant de transport en commun comprenaient 17 852 autobus de divers types, 3 479 trains, 1 281 véhicules de transport en commun spécialisé, 247 tramways et 12 traversiers.
Les actifs fixes de transport en commun comprenaient 28 140 abribus, 13 937 supports à vélos et abris, 740 gares et terminus de voyageurs, 375 installations d'entretien et d'entreposage, 334 emplacements de stationnement incitatifs, 255 débarcadères « arrêt-minute » et 207 droits de passage exclusifs. Il y avait également 7 103 kilomètres de routes à une voie et 1 573 kilomètres de voie ferrée à une voie, formant le réseau routier et ferroviaire du transport en commun.
Les deux tiers des autobus au Canada fonctionnent au diesel
En 2016, les organismes gouvernementaux dans l'ensemble du Canada étaient propriétaires de 17 852 autobus de divers types. Les organismes en Ontario (38,8 %) et au Québec (21,9 %) possédaient un peu plus des trois cinquièmes du total du parc d'autobus au pays. Les municipalités urbaines étaient propriétaires de plus de 85 % de l'ensemble des autobus.
Les autobus au diesel étaient le principal type d'autobus au Canada (65,9 %), suivis des autobus au biodiesel (18,1 %) et des autobus hybrides (9,4 %). Les autobus électriques, les autobus au gaz naturel et les autres types d'autobus ont représenté ensemble les 6,6 % restants.
La vaste majorité (93,6 %) des autobus détenus permettaient l'accessibilité, selon les données déclarées.
La vaste majorité des autobus au Canada ont été achetés après 1999
Plus de la moitié (51,1 %) de tous les autobus ont été achetés de 2000 à 2009. Un peu plus des deux cinquièmes (42,9 %) de tous les autobus ont été achetés après 2009. La proportion restante, soit 6,0 % des autobus, a été achetée avant l'an 2000.
Le Nouveau-Brunswick possédait le plus vieux parc d'autobus au Canada, près du tiers (29,9 %) de leurs autobus ayant été achetés avant l'an 2000. Moins du cinquième (16,8 %) de tous les autobus au Nouveau-Brunswick ont été achetés après 2009. En revanche, 59,3 % des autobus à Terre-Neuve-et-Labrador ont été achetés après 2009. La majorité (61,1 %) des 18 autobus de l'Île-du-Prince-Édouard ont été achetés en 2016.
Près des deux tiers de tous les autobus sont jugés en bon ou en très bon état physique
Les propriétaires des actifs ont été invités à évaluer l'état physique général de leurs actifs de transport en commun sur l'échelle d'évaluation de l'état suivante : très mauvais, mauvais, passable, bon et très bon. Consultez la note aux lecteurs pour obtenir une description détaillée de chaque évaluation de l'état.
Environ deux tiers (66,4 %) de tous les autobus ont été jugés en bon ou en très bon état physique. Les administrations publiques de Terre-Neuve-et-Labrador (100,0 %), du Yukon (100,0 %), des Territoires du Nord-Ouest (83,0 %), du Québec (81,9 %), de l'Alberta (75,0 %) et de la Colombie-Britannique (74,8 %) ont déclaré les parts les plus importantes de leurs parcs d'autobus en bon ou en très bon état physique.
En revanche, 6,0 % de tous les autobus au Canada ont été jugés en mauvais ou en très mauvais état physique. Le Manitoba (45,2 %), la Nouvelle-Écosse (39,5 %) et le Nouveau-Brunswick (32,5 %) ont déclaré les parts les plus grandes de leurs parcs d'autobus en mauvais ou en très mauvais état.
Les autobus hybrides et les autobus au biodiesel présentent la plus longue vie utile prévue
La vie utile prévue des autobus achetés en 2016 était de 16 ans pour les autobus hybrides et les autobus au biodiesel, de 14 ans pour les autobus au gaz naturel, de 13 ans pour les autobus au diesel et de 8 ans pour les autres types d'autobus.
La plupart des tramways sont vieux et en très mauvais état
En 2016, tous les tramways au Canada, au nombre de 247, appartenaient à la Ville de Toronto. La vaste majorité (87,9 %) de ces tramways ont été achetés de 1970 à 1999, tandis que 12,1 % d'entre eux ont été achetés en 2016. Reflet de l'âge des tramways, 88,0 % d'entre eux ont été jugés en très mauvais état, tandis que 12,0 % ont été jugés en bon état. La vie utile moyenne prévue des tramways achetés en 2016 était de 30 ans. Par ailleurs, 12 % des tramways ont été identifiés comme permettant l'accessibilité.
Près des trois cinquièmes des trains sont en bon ou en très bon état
En 2016, il y avait 3 479 trains au Canada, tous étant la propriété des administrations publiques de l'Ontario (1 719), du Québec (1 131), de la Colombie-Britannique (336) et de l'Alberta (293). Parmi tous les trains, 2 056 étaient des trains lourds, 1 124 étaient des voitures de train de banlieue et 299, des trains légers sur rail. La majorité des trains lourds (85,5 %) et des trains légers sur rail (100,0 %) ont été identifiés comme permettant l'accessibilité. À l'échelle nationale, 38,3 % des trains de banlieue ont été identifiés comme permettant l'accessibilité; 10,0 % en Ontario et 100,0 % au Québec et en Colombie-Britannique.
Plus de la moitié (57,2 %) de tous les trains ont été achetés après 1999, tandis que la proportion restante a été achetée de 1970 à 1999.
Plus des trois cinquièmes (61,0 %) de tous les trains ont été jugés en bon ou en très bon état, l'Ontario (75,0 %) et la Colombie-Britannique (72,8 %) venant en tête à ce chapitre. En revanche, 12,9 % de tous les trains ont été jugés en mauvais ou très mauvais état. L'Alberta (39,0 %) et le Québec (26,4 %) ont jugé les parts les plus grandes de leur parc de trains en mauvais ou en très mauvais état physique.
La vie utile moyenne prévue des trains lourds achetés en 2016 était de 43 ans, tandis que la vie utile moyenne prévue des trains de banlieue achetés en 2016 était de 30 ans.
Près des deux tiers des véhicules de transport en commun spécialisé sont en bon ou en très bon état
Les administrations publiques de huit provinces et du Yukon possédaient 1 281 véhicules de transport en commun spécialisé pour personnes ayant une incapacité en 2016, tandis que les administrations publiques de Terre-Neuve-et-Labrador, de l'Île-du-Prince-Édouard, des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut n'en possédaient aucun. La majorité (85,3 %) des véhicules de transport en commun spécialisés ont été achetés après 2009.
En 2016, près des deux tiers (63,2 %) des véhicules de transport en commun spécialisé ont été jugés en bon ou en très bon état physique, le Québec (91,8 %) venant en tête à ce chapitre.
Les véhicules de transport en commun spécialisé achetés en 2016 avaient une vie utile moyenne prévue de neuf ans, selon les données déclarées.
La majorité des abribus, gares et terminus de voyageurs sont la propriété des organismes gouvernementaux de quatre provinces
En 2016, il y avait 28 140 abribus et 740 gares et terminus de voyageurs. La plupart des gares et terminus de voyageurs (96,6 %) et des abribus (91,8 %) étaient la propriété des organismes gouvernementaux en Ontario, au Québec, en Alberta et en Colombie-Britannique.
Un peu plus des trois quarts (75,3 %) des abribus et moins de la moitié (43,0 %) des gares et terminus de voyageurs ont été construits après 1999.
Plus des deux tiers (68,9 %) des gares et terminus de voyageurs ont été jugés en bon ou en très bon état, les organismes gouvernementaux du Manitoba (100,0 %), de l'Alberta (88,1 %) et de la Colombie-Britannique (86,9 %) venant en tête à ce chapitre. Près des trois cinquièmes (59,5 %) de tous les abribus ont été jugés en bon ou en très bon état.
Près des quatre cinquièmes (79,3 %) des gares et terminus de voyageurs ont été identifiés comme permettant l'accessibilité.
La vie utile moyenne prévue des gares et terminus de voyageurs nouvellement construits était de 41 ans et celle des abribus, de 18 ans.
L'Ontario, l'Alberta et le Québec sont propriétaires d'un peu plus des trois quarts de tous les parcs de stationnement incitatifs et de presque tous les débarcadères « arrêt-minute »
En 2016, il y avait 334 parcs de stationnement incitatifs et 255 débarcadères « arrêt-minute » au Canada. Ensemble, l'Ontario, l'Alberta et le Québec étaient propriétaires d'un peu plus des trois quarts (75,7 %) de tous les parcs de stationnement incitatifs et de presque tous (94,9 %) les débarcadères « arrêt-minute ».
La majorité des débarcadères « arrêt-minute » (62,3 %) et des parcs de stationnement incitatifs (54,5 %) ont été construits après 1999.
Plus des quatre cinquièmes des parcs de stationnement incitatifs (86,1 %) et des débarcadères « arrêt-minute » (82,3 %) ont été jugés en bon ou en très bon état physique.
Les parcs de stationnement incitatifs nouvellement construits avaient une vie utile moyenne prévue de 33 ans, tandis que les débarcadères « arrêt-minute » affichaient une vie utile moyenne prévue de 13 ans.
Plus des deux tiers des routes réservées au transport en commun et des voies ferrées ont été construites avant l'an 2000
En 2016, il y avait 7 103 kilomètres de routes à une voie réservées au transport en commun et 1 573 kilomètres de voie ferrée à une voie, formant le réseau routier et ferroviaire du transport en commun. Les organismes gouvernementaux en Ontario (68,4 %), au Québec (13,0 %), en Alberta (9,3 %) et en Colombie-Britannique (9,2 %) possédaient ensemble la totalité des kilomètres de voies ferrées. L'Ontario (40,4 %), la Colombie-Britannique (29,4 %) et l'Alberta (17,7 %) étaient propriétaires de plus des quatre cinquièmes des routes réservées au transport en commun.
Plus des deux tiers des routes réservées au transport en commun (72,4 %) et des voies ferrées (70,9 %) ont été construites avant l'an 2000.
Près des trois quarts (72,7 %) des voies ferrées et près de la moitié (45,2 %) des routes réservées au transport en commun ont été jugées en bon ou en très bon état physique.
Les voies ferrées nouvellement construites avaient une vie utile moyenne prévue de 50 ans, tandis que les routes réservées au transport en commun affichaient une vie utile moyenne prévue de 20 ans.
Près du quart de tous les propriétaires d'actifs de transport en commun ont un plan de gestion de l'actif
Près du quart (24,8 %) des propriétaires avaient un plan de gestion de l'actif pour leurs actifs de transport en commun en 2016. Les propriétaires dans les municipalités urbaines étaient plus susceptibles (30,1 %) que les propriétaires dans les municipalités rurales (12,3 %) d'avoir un tel plan.
Parmi les propriétaires possédant un plan de gestion de l'actif, près des trois quarts (73,1 %) ont déclaré mettre leur plan à jour entre une fois par année et une fois tous les quatre ans. Parmi ceux qui n'en avaient pas, 33,8 % comptaient en mettre un en œuvre d'ici un à quatre ans et 5,9 %, dans cinq ans ou plus.
Note aux lecteurs
L'Enquête sur les infrastructures publiques essentielles du Canada de 2016 a été menée en partenariat avec Infrastructure Canada.
Les données sont fondées sur les réponses d'environ 1 500 organismes gouvernementaux sélectionnés à partir du Registre des entreprises de Statistique Canada, qui est un dépôt central de renseignements sur les organisations publiques et privées en exploitation au Canada. Le Registre des entreprises est utilisé comme cadre principal dans la plupart des programmes statistiques économiques de Statistique Canada. Les organisations suivantes sont incluses dans l'enquête :
- ministères et organismes provinciaux et territoriaux responsables des routes; des ponts et tunnels; du logement public social et abordable; de la culture, des loisirs et des sports et du transport public;
- administrations publiques régionales au sein d'un noyau urbain;
- municipalités urbaines;
- municipalités rurales d'au moins 1 000 résidents.
Les résultats de l'enquête englobent 9 types d'actifs (ponts et tunnels; installations de culture, loisirs et sports; eau potable; transport public; routes; logement public social et abordable; déchets solides; eaux pluviales; eaux usées), de même que des renseignements sur les pratiques de gestion des actifs, 13 régions géographiques, 5 tailles de municipalité et les municipalités urbaines et rurales.
Tout au long de la présente diffusion, l'expression « de propriété publique » désigne un actif détenu ou loué par les ordres de gouvernements provinciaux, territoriaux, régionaux ou municipaux.
Les répondants ont été invités à évaluer l'état physique général de leurs actifs sur l'échelle d'évaluation de l'état suivante :
Très mauvais : l'actif n'est pas adapté à un service prolongé; il approche la fin de sa durée de service prévue ou l'a dépassée; il présente des signes très répandus de détérioration avancée; certains actifs peuvent être inutilisables.
Mauvais : potentiel croissant de problèmes pouvant se répercuter sur le service; il approche de la fin de durée de service; présente un état inférieur aux normes; une grande portion du système présente des signes importants de détérioration.
Passable : nécessite d'y porter attention; l'actif présente des signes de détérioration et certains éléments présentent des défaillances.
Bon : l'état de l'actif est acceptable; il a généralement atteint la moitié de sa durée de service prévue.
Très bon : L'actif est dans un état qui convient à une utilisation continue. Il est bien entretenu, en bon état ou neuf, ou il a récemment été remis à neuf.
Les actifs de transport en commun comprennent les suivants :
Matériel roulant : les autobus; les tramways; les traversiers; les trains lourds (métro); les voitures de train de banlieue (locomotives et voitures de voyageurs); les trains légers sur rail; et les véhicules de transport en commun spécialisé (para transpo, transport adapté, service d'autobus à la demande).
Les tramways circulent généralement sur les voies centrales d'un réseau de circulation mixte, mais peuvent également circuler sur des voies exclusives.
Traversiers (faisant partie du réseau de transport en commun) : comprennent les navires utilisés pour le transport en commun (c.-à.-d. faisant partie du réseau de transport). Ces traversiers circulent sur des voies navigables existantes et nécessitent des installations d'amarrage, d'embarquement et de débarquement de passagers. Ils comprennent les traversiers en eaux de mer, en eaux libres et sur voies fluviales. Ils ne comprennent pas les traversiers faisant partie du réseau routier.
Trains lourds (métro) : circulent généralement dans des tunnels, mais peuvent également circuler sur des dénivelés. Ils comprennent les trains lourds (métro) sur rail ou guidés sur pneus.
Voitures de train de banlieue (locomotives et voitures destinées aux passagers) : relient les centres régionaux aux collectivités périphériques et peuvent circuler dans les mêmes couloirs que les voies utilisées pour les services ferroviaires de marchandises ainsi que les services interurbains aux passagers.
Systèmes légers sur rail et systèmes légers et automatisés sur rail : circulent généralement en surface dans leurs propres voies exclusives, mais certains circulent dans des tunnels et sur des voies de guidage surélevées.
Les véhicules de transport en commun spécialisé désignent les services de transport en commun destiné aux personnes ayant une incapacité.
Actifs fixes de transport en commun : comprennent les gares et terminus de voyageurs, les abribus, les droits de passage exclusifs, les emplacements de stationnement (parc-o-bus), les supports à vélos et abris, les débarcadères « arrêt-minute », les installations d'entretien et d'entreposage (garages, ateliers ferroviaires et installations d'entretien), les ponts, tunnels, voies ferrées et les routes réservés au transport en commun.
Les droits de passage exclusifs comprennent les routes réservées en tout temps au transport en commun et/ou aux autres véhicules multioccupants. Ils excluent les voies qui ne sont réservées au transport en commun que pendant les heures de pointe.
Installations d'entretien et d'entreposage : fournissent une assistance et permettent l'entretien du parc de véhicules de transport en commun, notamment l'entretien lourd et l'entretien léger des véhicules de transport en commun. Ce type de bâtiments est généralement contigu à un bâtiment ou à une cour où ces véhicules peuvent être stationnés lorsqu'ils ne sont pas utilisés.
Parcs de stationnement incitatifs : fournissent des aires de stationnement offrant des liaisons directes avec le réseau de transport en commun, où les voyageurs peuvent stationner leur véhicule personnel afin d'utiliser le réseau de transport en commun.
Accessibilité : signifie de prendre des mesures appropriées afin d'assurer aux personnes ayant une incapacité, sur une même base d'égalité que les autres, l'accès à l'environnement physique, aux transports et aux autres installations et services ouverts ou fournis au public, tant dans les zones urbaines que rurales.
Le plan de gestion des actifs décrit les méthodes de gestion d'un groupe d'actifs pendant une certaine période. Il décrit les caractéristiques et l'état des actifs relatifs à l'infrastructure, les niveaux de service qu'ils sont censés fournir, les mesures planifiées pour s'assurer qu'ils fournissent ces niveaux de service et les stratégies de financement pour mettre en œuvre les mesures planifiées.
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