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![]() Le vendredi 30 juillet 2004 Effectifs universitaires2001-2002Un nombre record d'étudiants se sont inscrits dans les universités canadiennes en 2001-2002, dépassant le sommet observé en 1992-1993. Les effectifs universitaires ont augmenté de 4,3 % par rapport à 2000-2001, la plus forte hausse en dix ans, pour atteindre le sommet de 886 800. La proportion des étudiants inscrits à temps plein dans les universités n'a cessé de s'accroître au cours des dernières années. Près des trois-quarts (72 %) des étudiants étaient inscrits à temps plein en 2001-2002, soit la plus forte proportion jamais observée. Les effectifs universitaires à temps plein ont augmenté de 11 % entre 1997-1998 et 2001-2002, alors que ceux à temps partiel connaissaient une hausse de moins de 1 % au cours de la même période. Effectifs records chez les femmes et chez les hommesEn 2001-2002, les femmes se sont inscrites en nombre record et leur effectif a atteint 510 000, en hausse de 4 % par rapport au précédent sommet établi en 1992-1993. Les femmes se sont également inscrites en nombre record au premier cycle, leur effectif y franchissant pour la première fois la barre des 400 000. Des gains de 39 200 étudiantes, observés depuis la reprise de la croissance des effectifs débutant en 1997-1998, dont 14 200 au cours de la dernière année, ont permis d'atteindre un tel nombre.
Ce sont les effectifs féminins à temps plein qui ont contribué le plus à l'accroissement du nombre d'étudiantes au premier cycle universitaire. Ils ont augmenté de 13,3 % par rapport à 1997-1998, comparativement à 3,7 % pour les effectifs à temps partiel. Pour la première fois en dix ans, les hommes ont observé une augmentation annuelle de leurs effectifs universitaires similaire à celle des femmes, soit 4,1 % comparativement à 4,4 %. Le nombre d'hommes inscrits dans les universités en 2001-2002 a atteint 376 800. Cette importante augmentation, attribuable en grande partie à l'augmentation des inscriptions à temps plein (+11 200), leur a permis d'atteindre un sommet des effectifs à temps plein, tant au niveau du premier cycle qu'aux cycles supérieurs. Cette hausse n'était cependant pas suffisante pour permettre aux hommes d'atteindre les effectifs records enregistrés en 1992-1993 (394 300). Hausse des effectifs dans presque tous les domaines d'étude traditionnels et non traditionnelsLes effectifs universitaires se sont accrus dans presque tous les domaines d'étude. Le domaine «Santé, parcs, récréation et conditionnement physique » a connu la plus forte hausse (+9 %) par rapport à 2000-2001. Cet accroissement appréciable a mis fin à une stagnation de plus de quatre ans de ces effectifs. La forte croissance du nombre d'étudiants dans ce domaine est principalement attribuable aux augmentations observées dans les catégories «Santé et éducation physique/conditionnement physique» (+2 700), «Sciences infirmières» (+2 400) et «Programmes de résidence en médecine » (+1 500). Ce domaine est le quatrième en importance quant au nombre d'étudiants sur les 13 grands domaines d'étude de la Classification des programmes d'enseignement. Les femmes ont connu une hausse de 10 % dans ce domaine au cours de la dernière année. Le domaine «Architecture, génie et technologies connexes» a affiché la plus forte augmentation des cinq dernières années (+7 %), les étudiants en génie ayant représenté 91 % des effectifs de ce domaine. Bien que les hommes y soient grandement majoritaires, les femmes y ont enregistré depuis 1997-1998 une hausse de 50 %. Elles ont représenté 24 % des effectifs de ce domaine par rapport à 19 % en 1992-1993. Le nombre d'étudiants inscrits en «Mathématiques, informatique et sciences de l'information» a également connu une hausse appréciable de 6 % au cours de la dernière année. Dominé à près de 76 % par les étudiants en «Informatique, sciences de l'information et services de soutien connexes», ce domaine d'étude est celui qui a connu la plus forte croissance depuis 1992-1993 (44 %). Après avoir atteint un sommet de 11 % en 1999-2000, les taux de croissance dans ce domaine semblent cependant s'essouffler, affichant 4 % et 6 % pour les deux années suivantes. Le domaine du «Commerce, gestion et administration publique» a affiché sa plus forte hausse (+5 %) annuelle en dix ans. Premier secteur quant à l'importance de ses effectifs totaux (143 700) et masculins en 2001-2002, il s'est établi au troisième rang chez les femmes. La croissance de la dernière année est attribuable à une hausse presque identique du nombre d'hommes et de femmes. Les deux autres domaines d'étude les plus populaires, soit «Sciences sociales et de comportements et droit» ainsi que «Sciences humaines» ont connu des hausses respectives de 3% et de 5% par rapport à 2000-2001. Les domaines «Agriculture, ressources naturelles et conservation» (-4%) ainsi que «Services personnels, de protection et de transport» (-13 %) sont les seuls à avoir enregistré une baisse de leurs effectifs depuis un an. Effectifs universitaires à temps plein à l'échelon provincialLa plupart des provinces ont vu leur nombre d'étudiants croître au cours de la dernière année. Elles ont affiché des hausses variant de 2 % en Saskatchewan à 7 % en Colombie-Britannique. Les effectifs à l'Île-du-Prince-Édouard sont demeurés stables. Seule Terre-Neuve-et-Labrador a enregistré une faible baisse (-200). Au cours des cinq dernières années, les effectifs à temps plein se sont accrus de telle sorte que toutes les provinces ont vu leurs effectifs dépasser ceux de 1997-1998. En contrepartie, le Québec, le Manitoba et la Colombie-Britannique ont observé une baisse de leurs effectifs à temps partiel au cours de la même période. Toutes les autres provinces ont enregistré des augmentations. Les effectifs d'étudiants étrangers sont toujours en hausseLe nombre d'étudiants étrangers inscrits dans les universités canadiennes a continué de progresser. Il a franchi la barre des 50 000 en 2001-2002 pour se situer à 52 600, en hausse de 60 % par rapport à 1997-1998. Leur proportion par rapport aux effectifs totaux est cependant demeurée relativement faible, soit près de 6 % de l'ensemble des effectifs. Cette hausse est largement tributaire des inscriptions au premier cycle, où se retrouvent actuellement un peu plus que la moitié (54 %) des étudiants étrangers. Alors qu'on en comptait 15 200 en 1997-1998, ils étaient 28 600 inscrits au premier cycle dans les établissements canadiens en 2001-2002. Les inscriptions aux cycles supérieurs ont quant à elles fait un bond de 11 % par rapport à 2000-2001, soit la plus importante augmentation des cinq dernières années. La proportion d'inscriptions d'étudiants étrangers masculins diminue d'année en année au profit des étudiantes étrangères. En 1992-1993, un peu plus de 60 % étaient des hommes alors qu'en 2001-2002, cette proportion se situait à 55 %. La provenance des étudiants étrangers s'est diversifiée au cours des 10 dernières années. Alors que près de 50 % des étudiants étrangers venaient d'Asie en 1992-1993, cette proportion n'était plus que 39 % en 2001-2002. Ce remaniement des effectifs des étudiants étrangers s'est effectué au profit de l'Europe (21 % des effectifs totaux) et de l'Amérique du Nord, de l'Amérique centrale et des Antilles (18 % des effectifs totaux) en 2001-2002. Données stockées dans CANSIM : tableau 477-0011. Définitions, source de données et méthodes : numéros d'enquête, y compris ceux des enquêtes connexes, 3124 et 5017. Pour obtenir des données ou des renseignements généraux, communiquez avec les Services à la clientèle au (613) 951-7608 ou composez sans frais le 1 800 307-3382 (educationstats@statcan.gc.ca). Télécopieur : (613) 951-9040. Pour plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec Sylvie Bonhomme au (613) 951-5366 (sylvie.bonhomme@statcan.gc.ca) ou avec Manon Declos au (613) 951-9298 (manon.declos@statcan.gc.ca), Culture, tourisme et centre de la statistique de l'éducation. Télécopieur : (613) 951-6765.
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