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Rangées d'arbres ou de haies naturels ou plantés, situées en bordure des champs, qui protègent le sol contre l'érosion causée par des vents dominants. Cette pratique est utilisée davantage dans l'Ouest canadien où les terres cultivées sont plus exposées au vent et où il est important de retenir la neige afin d'en capter l'humidité.
Cadres simples (soit de plastique ou de verre) qui servent à protéger les semis ou les plantes contre le gel; système de chauffage solaire passif (la seule source de chaleur étant les rayons de soleil) qui favorise la croissance des plantes et qui sert à endurcir les plantes avant la transplantation en plein champ.
Un processus qui décompose la matière organique (fumier et autres matières végétales) en humus stable qui servira comme engrais naturel ou amendement des sols.
Exploitation constituée en corporation (ou compagnie) enregistrée auprès d'une autorité fédérale ou provinciale qui constitue une entité morale juridiquement distincte. Compagnie familiale : une exploitation constituée en corporation (ou compagnie) dont la majorité des actions appartiennent à une personne ou à des membres d'une famille. Compagnie non familiale : une exploitation constituée en corporation (ou compagnie) dont la majorité des actions appartiennent à un groupe de personnes n'ayant aucune relation familiale.
Culture, comme le trèfle des prés ou le seigle d'automne, etc., ensemencée à l'automne pour protéger le sol de l'érosion causée par l'eau et le vent pendant l'hiver, et par les fortes pluies et l'écoulement au printemps.
Comprend la luzerne, l'orge, le trèfle, le maïs et le sorgho et toute autre culture dont la plante entière sert à l'alimentation des bovins, des moutons et des autres ruminants.
Dépenses engagées au chapitre des cultures ou de l'élevage, à l'exception des coûts liés à l'achat de terres, de bâtiments ou de matériel. Les dépenses d'exploitation comprennent aussi les dépenses faites au titre des semences, des aliments pour animaux, du carburant, des engrais, etc. Les dépenses d'exploitation ne comprennent pas l'amortissement ou la dépréciation pour amortissement.
Jeunes plants verts, tels que le sarrasin et le trèfle des prés (trèfle rouge), qui sont enfouis dans le sol afin d'améliorer le niveau de fertilité du sol. En général, la culture vise uniquement à améliorer le sol. Engrais vert pour enfouissement : lorsqu'une culture, p. ex., le blé d'hiver, le seigle d'automne, le sarrasin ou le trèfle des prés (trèfle rouge), est semée et enfouie avant qu'elle puisse être récoltée.
Culture, telle que le maïs et le sorgho ou d’autres fourrages verts qui sont suffisamment humides, préservée par une fermentation partielle dans un silo, une trémie, des sacs ou enrubannage de plastique ou en tas pour servir à l’alimentation pour animaux. Les fourrages sont habituellement hachés. Ils sont souvent appelés « ensilage préfané » ou « ensilage mi-fané » lorsqu’ils sont composés de cultures fourragères telles que le foin ou la luzerne. Aussi appelé « silage ».
Les personnes qui sont responsables de prendre les décisions de gestion d'une exploitation agricole. Il peut s'agir du propriétaire ou du locataire de l'exploitation, ou encore d'un gérant engagé, y compris les personnes qui sont responsables de prendre des décisions de gestion touchant certains aspects de l'exploitation — les semis, la récolte, l'élevage, la commercialisation et les ventes, et l'achat de biens immobilisés et d'autres questions financières. Ne comprend pas les experts-comptables, les avocats et notaires, les vétérinaires, les conseillers en matière de cultures ou d'herbicides, etc. qui font des recommandations quant à l'exploitation agricole, mais qui, finalement, ne sont pas responsables de la prise de décisions de gestion.
Les expressions exploitant agricole et exploitation sont utilisées dans le recensement parce qu'elles ont une portée plus large que les mots fermier et ferme, et reflètent mieux la diversité des activités agricoles sur lesquelles le Recensement de l'agriculture recueille des données. Par exemple, le mot ferme n'est pas normalement associé à des activités comme celle des érablières, des champignonnières, des ranchs et des parcs d'engraissement.
Une ferme, un ranch ou une autre exploitation agricole qui produit des produits agricoles en vue de les vendre. Les exploitations comprennent aussi : les parcs d'engraissement, les serres, les champignonnières et les pépinières; les fermes de production d'arbres de Noël, les fermes d'élevage d'animaux à fourrure, les fermes d'élevage de gibier, les gazonnières, les érablières et les exploitations de culture de fruits et de petits fruits; les exploitations apicoles et les couvoirs; les exploitations d'élevage de bétail non traditionnel (bisons, chevreuils, élans, lamas, alpagas, sangliers, etc.) et de volaille non traditionnelle (autruches, émeus, etc.) si les animaux ou les produits dérivés sont produits dans l'intention de vendre; les jardins potagers si les produits agricoles sont produits dans l'intention de vendre; et les exploitations qui gardent des chevaux en pension, les écuries de randonnée et les écuries qui s'occupent de garder ou d'entraîner les chevaux, même si aucun produit agricole n'est vendu. Il n'est pas nécessaire que l'exploitation ait réalisé des ventes au cours des 12 derniers mois, mais elle doit avoir l'intention d'en réaliser.
NOTA : Pour le Yukon, le Nunavut et les Territoires du Nord-Ouest seulement, la définition englobe aussi les exploitations qui s'adonnent aux activités suivantes :
Les facteurs de conversion utilisés par le Recensement de l'agriculture sont les suivants :
1 acre = 0,404 685 59 hectareIl s'agit d'un produit chimique utilisé pour contrôler, supprimer ou enrayer les champignons qui ralentissent considérablement la croissance normale des plantes.
Voir cultures fourragères.
Déjections animales ou urine, souvent mélangées avec de la paille ou d'autres matières organiques, qui, par décomposition, sont devenues un humus stable.
Graines de cultures fourragères cultivées pour la vente de semences; sont compris la fléole (ou phléole) des prés, la fétuque, le trèfle, la luzerne, l'agropyre et la semence de gazon.
Comprend le foin, la luzerne, les mélanges de luzerne, le blé (de printemps, dur, d'hiver), l'avoine, l'orge, les mélanges de céréales, le maïs (maïs-grain et maïs à ensilage), le seigle (d'automne et de printemps), le canola, le soya, le lin, les pois secs de grande culture, les pois chiches, les lentilles, les haricots (haricots blancs secs et autres haricots), les graines de plantes fourragères, les pommes de terre, les graines de moutarde, le tournesol, l'alpiste des Canaries, le tabac, le ginseng, le sarrasin, la betterave à sucre, les graines de carvi, le triticale et d'autres grandes cultures dont le solin, le carthame, la coriandre et les autres épices, etc.
Il s'agit d'un produit chimique utilisé pour contrôler, supprimer ou enrayer les plantes ou pour ralentir considérablement leur croissance normale.
Il s'agit d'une substance, ou d'une combinaison de substances, destinée à prévenir, détruire, éloigner ou réduire les effets de la présence d'insectes.
La jachère consiste à laisser une terre habituellement cultivée sans végétation durant toute une saison de croissance à l'aide de travaux agricoles (labour, etc.) ou en y épandant des produits chimiques pour détruire les mauvaises herbes et les insectes, combattre les maladies du sol et laisser l'humidité du sol se refaire pour la prochaine campagne agricole. Y sont compris la jachère chimique, le sarclage ou une combinaison de produits chimiques et de sarclage sur les mêmes terres. La jachère fait partie d'un système de rotation des cultures dans l'Ouest canadien. Il est peu probable de retrouver cette pratique dans l'Est du Canada.
Type de jachère; la pratique de laisser les terres cultivables sans végétation pendant une campagne agricole et d'utiliser seulement des herbicides pour le désherbage.
Luzerne ou foin qui pousse sur la même terre pendant plus d'une saison, c'est-à-dire qui a passé au moins un hiver.
Maïs cultivé et coupé pour l'alimentation animale. On se sert de la plante entière, y compris l'épi, et on l'entrepose dans des silos verticaux, des silos horizontaux ou des sacs de plastique.
Entente entre un propriétaire foncier et la personne qui exploite les terres (le métayer) où il y a un partage des cultures au lieu d'un loyer payé. Les dépenses pour les cultures peuvent être ou ne pas être partagées. La personne qui ne possède pas les terres, mais qui les exploite, devrait déclarer les superficies en métayage.
Il s'agit d'une pratique qui prévoit la revitalisation des fourrages après chaque période de pâturage. Cette pratique comprend la rotation périodique de deux pâturages ou plus et l'utilisation de clôtures temporaires à l'intérieur des pâturages pour éviter le surpâturage.
Terres en pâturage qui ont été améliorées par rapport à leur état naturel par l'ensemencement, le drainage, l'irrigation, la fertilisation et le désherbage. N'incluent pas les superficies des terres récoltées pour le foin, l'ensilage ou la semence.
Tout type de produits chimiques utilisés pour contrôler, supprimer ou enrayer les insectes, les mauvaises herbes ou les champignons. Les pesticides incluent les fongicides, les herbicides et les insecticides.
L'un ou l'autre des produits suivants produits dans l'intention de vendre :
Produits des exploitations agricoles qui respectent un ensemble de principes de production biologique. Produit certifié biologique : un produit agricole qui satisfait aux normes biologiques à toutes les étapes de la production et de la transformation, en plus d'être certifié par un organisme certificateur reconnu. Organisme certificateur biologique : une association coopérative ou un organisme constitué en société qui a l'autorité d'homologuer les producteurs biologiques. La certification biologique prend appui sur la Norme sur l'agriculture biologique qui est établie par l'Office des normes générales du Canada. Produit biologique non certifié : un produit agricole produit et transformé d'après des techniques biologiques, mais qui n'est pas homologué par un organisme certificateur. Les exploitations agricoles qui choisissent de ne pas adopter le processus de certification peuvent s'estimer biologiques sans être homologuées. Produit en transition : terme couramment utilisé par les organismes certificateurs pour indiquer les champs qui sont en voie de devenir certifiés biologiques. Le terme signifie que les exploitants adoptent par étape les pratiques conformes aux normes biologiques. La certification peut prendre jusqu'à quatre ans.
Pratique consistant à changer le type de cultures cultivées sur une même parcelle de terre d'une année à l'autre ou périodiquement afin de faciliter le contrôle des mauvaises herbes, des insectes et des maladies, de permettre l'accroissement des éléments fertilisants du sol et de protéger contre l'érosion.
Terres non cultivables comme les boisés, les érablières, les brise-vent et les broussailles qui ne sont pas utilisées pour le pâturage.
Toutes les terres arables et défrichées, y compris les superficies en foin, en culture, en jachère et les pâturages cultivés ou ensemencés.
Il s'agit des terres dénudées de toute culture durant l'année, et sur lesquelles le désherbage est assuré par les travaux agricoles et par l'application de produits chimiques.
Superficies non cultivables telles que les étangs, les marais et les terrains marécageux.
Superficies pour le pâturage sur lesquelles il n'y a eu aucune activité de culture, de semis, de drainage, d'irrigation ou de fertilisation. Comprennent les pâturages ou pacages naturels (plantes graminées indigènes qui peuvent alimenter le bétail et le gibier), les grandes prairies (terres ayant un couvert végétal naturel, principalement d'herbes ou de buissons indigènes servant au fourrage) ainsi que les pâturages grossiers (terres boisées servant au pâturage qui ne sont pas cultivées pour les cultures ou en forêt dense), etc.
Comprennent les pâturages naturels, les boisés, les terres humides, les étangs, les marais, les terrains marécageux, etc. ainsi que les terres où se trouvent les bâtiments, la cour de ferme, les chemins, etc.
Travail qu'effectue l'exploitant agricole avec son équipement à un endroit autre que son exploitation en contrepartie d'une somme d'argent ou de toute autre forme de rémunération. En voici des exemples : le labourage, le moissonnage-battage, le camionnage, le séchage du grain, le nettoyage des graines, l'épandage d'engrais, la pulvérisation des cultures et le nettoyage des parcs d'engraissement.
Zones de végétation naturelle (aucune activité agricole) se trouvant le long des cours d'eau. Ces zones visent à prévenir l'érosion, surtout dans le lit des cours d'eau, qui s'élargit et devient peu profond; à préserver la faune et les stocks de poissons; et à protéger la qualité de l'eau pour le bétail et les humains. Aussi connues comme zones riveraines, c'est-à-dire, les terres qui longent un cours d'eau ou une étendue d'eau.