Étude : Dynamique des entreprises : l'entrée et la sortie d'entreprises au Canada, 2000 à 2009
Consulter la version la plus récente.
Information archivée dans le Web
L’information dont il est indiqué qu’elle est archivée est fournie à des fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. Elle n’est pas assujettie aux normes Web du gouvernement du Canada et elle n’a pas été modifiée ou mise à jour depuis son archivage. Pour obtenir cette information dans un autre format, veuillez communiquer avec nous.
Diffusion : 2013-12-10
L'étude « Dynamique des entreprises : l'entrée et la sortie d'entreprises dans les provinces canadiennes, 2000 à 2009 » offre un aperçu des tendances de l'entrée et de la sortie des entreprises au Canada. Les similarités et les différences relevées y font l'objet d'un examen, et des liens sont établis entre celles-ci et les différences de structure industrielle et de développement économique.
Les taux d'entrée fondés sur le nombre d'entreprises varient considérablement partout au pays. De 2000 à 2009, le taux d'entrée moyen allait d'un sommet de 12,5 % en Alberta à un creux de 9,2 % au Québec. Les taux de sortie variaient beaucoup moins, allant de 9,6 % en Colombie-Britannique à 8,5 % au Québec au cours de la période à l'étude.
Graphique 1
Taux annuels moyens d'entrée et de sortie dans les régions
L'entrée nette (différence entre l'entrée et la sortie) contribue positivement à la croissance de la population d'entreprises. De 2000 à 2009, l'Alberta a affiché le taux d'entrée net le plus élevé (3,1 % par année en moyenne) et les provinces de l'Atlantique, le taux le plus faible. L'entrée nette d'entreprises contribue beaucoup plus à la croissance de l'emploi qu'à la croissance du nombre d'entreprises. En général, le processus d'entrée et de sortie d'entreprises a été à l'origine de près d'un emploi sur cinq créé (ou perdu) de 2000 à 2009.
Les différences interindustrielles des taux d'entrée et de sortie des entreprises sont similaires partout au pays. Les taux d'entrée et de sortie fondés sur le nombre d'entreprises étaient généralement plus élevés dans les industries ayant connu une restructuration au cours de la période à l'étude, comme celles de l'extraction minière, pétrolière et gazière, de la construction, du transport et de la finance.
Note aux lecteurs
Terre-Neuve-et-Labrador, le Nouveau-Brunswick, l'Île-du-Prince-Édouard et la Nouvelle-Écosse ont été regroupés dans cette étude en raison des exigences de confidentialité.
L'étude « Dynamique des entreprises : l'entrée et la sortie d'entreprises dans les provinces canadiennes, 2000 à 2009 », qui fait partie de la série L'économie canadienne en transition (Numéro au catalogue11-622-M), est maintenant accessible à partir du module Publications de notre site Web, sous l'onglet Parcourir par ressource clé.
Des études similaires de la Division de l'analyse économique sont accessibles en ligne (www.statcan.gc.ca/analyseeconomique).
Coordonnées des personnes-ressources
Pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec nous au 514-283-8300 ou composez sans frais le 1-800-263-1136 (infostats@statcan.gc.ca).
Pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec John Baldwin au 613-951-8588 (john.baldwin@statcan.gc.ca), Division d'analyse économique.
- Date de modification :